Lundi dernier, j’ai pris rendez vous chez la pédiatre pour une visite de « routine » pour le Dernier. Il faut dire que l’hiver nous avait laissé tranquille et qu’à l’inverse de moi et mon combi angino-sinusite (oui, j’invente des maladies), les enfants s’en sortaient sans encombre et je voyais déjà arriver le printemps avec joie. Nous n’avions donc pas vu la pédiatre depuis plusieurs mois.

La visite de « contrôle » du mercredi s’est super bien passé. Vérification des vaccins, ampoule de vitamine D, homéopathie pour le traitement de l’exzéma. All good.

Mercredi à 19h, le Dernier avait 39°C de fièvre.

Jeudi matin, le Dernier, fourré au Doliprane, est parti vaillamment à l’école. La maitresse l’a rendu en fin de journée sur un « Il est un peu chaud ». Traduisez : il est rouge brulant, et un peu ko mais je savais que vous arriviez dans 30 min donc je vous le rends tel quel. Il avait à nouveau plus de 39 de température.

Vendredi matin, il n’était vraiment pas en état d’aller à l’école, même avec son Doliprane. Je suis donc restée pour le garder ET travailler depuis à la maison (Je vous ai dit que j’ai un chef compréhensif). Après quelques mémorys (ies?) et quelques puzzles sur la tablette (merci Lucky Sophie pour cet article qui tombait à propos !), et une visite chez la pédiatre (Grosse RhinoPharyngite), j’avais une réunion en ligne et j’ai proposé Cars sur la tablette. Mais là, bug : refus catégorique. J’ai donc dû faire au mieux avec un Dernier sur les genous, qui jouait avec la roulette de ma souris (adieu Power Point) et qui m’appelait toutes les 10 secondes (Mamannnnnn!). Je n’ai pas vu les visages de mes collègues – audio sans visio : ouf – mais j’imagine que certains ont dû grimacer, quant aux autres, ils ont salué mon effort et gratifié d’un « C’est mignoonnnn ». On voit bien que ca n’est pas le tien !

Le week end fut bien trop court mais c’est terminé avec un Dernier toujours à 39 et un Petit Bonhomme… à 39° !!

Lundi, c’est donc Monsieur qui est resté pour gérer la marmaille et conduire tout le monde chez la pédiatre. Hier, nous avons sollicité BôPapa et BelMaman… et misons, après 5 jours à haute température sur les pouvoirs magiques de antibiotiques, même pas automatiques, pour nous sortir de ces difficultés.

Conclusion de cette histoire : j’ai vu là comme un signe du destin. Mon étoile me disait :  » ne va plus jamais chez la pédiatre sans une BONNE raison! » #Fail

Heureusement, aujourd’hui, c’est mercredi.

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Toujours plongée dans l’Hygiène Naturelle Infantile, je vous propose dans la foulée le deuxième bouquin que j’ai acheté sur le sujet, en plus de Sans couches, c’est la liberté de Ingrid Bauer.

C’est un petit livre, peu cher et qui se lit très rapidement.

En lisant ce livre, j’ai eu une impression assez nette de redite du livre d’Ingrid Bauer. Les plans sont très semblables et je n’y ai pas appris grand chose de plus. Je vous dirais donc que l’intérêt majeur de ce livre est d’y trouver un résumé des grandes idées du livre – référence en la matière.

Voilà, c’était court et efficace.

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J’ai acheté ce livre il y a presque 2 ans, lorsque je me suis lancée dans l’application de l’hygiène naturelle infantile pour mon P’tit Dernier. J’avais commencé sans appui et, l’internet mondial ayant désigné ce livre comme la référence du sujet, je m’étais décidé à l’acheter.

Je vous en livre ici un résumé succinct et forcément subjectif :

1er partie / Chapitre 1 à 6 : Principes et fondements.

Dans cette partie, l’auteure nous parle de son cheminement personnel et des fondamentaux de l’HNI. On comprend bien que ce sont la connaissance d’autres cultures et son désir d’un maternage poussé qui ont conduit Ingrid Bauer à appliquer l’hygiène naturelle infantile. La vie sans couche est arrivée comme une évidence lorsqu’elle a souhaité rester en phase avec son bébé, tout en respectant ses souhaits profonds : portage en peau à peau, cododo, etc… Un chapitre entier est consacré à « La remise en cause des mythes contemporains sur la propreté », démontrant que les préceptes qui nous sont enseignés aujourd’hui, sont en fait une extension abusive (à but commercial?) de ce que les médecins et psychologues avaient indiqués dans le but de protéger les enfants des méthodes dites « coercitives ».

Je pense que cette partie prend bien sa place pour convaincre les plus hésitants et expliquer les origines et surtout les intentions de cette relation parent-enfant. Cela permet notamment de sortir de l’image de « dressage » que certains en ont.

2ième partie / Chapitre 7 à 16 : La pratique

 » Rappelez-vous : Vous n’avez pas à être totalement connecté à votre bébé pour commencer. Vous avez juste à être ouvert de désireux d’apprendre. […] Vous n’avez pas besoin d’être un expert pour commencer ; vous avez juste besoin du simple désir d’essayer. »

Cette partie vous donne les « clés » de la pratique : Quand commencer? Comment commencer? Comment s’y prendre? Que faire dans quelle situation? Bref, cela donne des points de repères pour se lancer et avancer. Cela m’a permis également de ne pas être découragée quand, par exemple, le Dernier pleurait sur le pot, quand je me trompais dans l’interprétation de ses messages, quand, à certaines périodes, je « ratais » beaucoup de pipi…

Par ailleurs, Ingrid Bauer a la bonne idée de ne pas culpabiliser les parents qui choisissent de faire les choses « à moitié », c’est à dire uniquement à la maison, ou de jour, ou le matin… Bref, faire un peu, c’est mieux que de rien faire du tout.
Je cite : « Alors que signifie être « sans couches » ? Est-ce que cela veut dire ne jamais utiliser de couches? Pour moi, être sans couches signifie que nous nous sommes détaché de la dépendance que nous avions vis-à-vis d’elles, d’être libre de choisir, […]. Dans l’Hygiène Naturelle du Bébé, nous pouvons voir la valeur d’être sans couches, et nous pouvons aussi voir quand les couches sont utiles. Dans l’absolu, les couches ne sont pas utiles bien entendu. Mais dans des situations de stress, il est important que les mères se sentent libres d’utiliser des couches selon leurs besoins. Si le fait de ne pas utiliser de couches crée des tensions affectant la sérénité des parents et la relation parents-enfant, alors il vaut mieux en utiliser. »

Enfin, un dernier passage est j’arrête de vous saouler :  « Mon souhait est que le manque d’informations et l’incompréhension que suscitent l’Hygiène Naturelle du Bébé disparaissent. Aucun parent ne peut choisir de faire quelque chose s’il n’est même pas conscient que ça existe, ou s’il n’a eu que des informations vagues, insuffisantes ou erronées. » Cela m’a fait pensé à La Poule Pondeuse qui milite pour que les mères et les parents en général aient la possibilité de faire leurs choix de manière éclairée. Et bien voilà, c’est ma façon à moi de militer et de vous éclairer !

DernierIci, le Dernier a 3 mois et nous sommes assis ensemble, moi, par terre, lui, sur le pot.

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Pour celles (et ceux?) qui me suivent depuis un moment, vous vous souvenez peut être que je vous ai annoncé le progrès en matière de propreté du P’tit Dernier.

Pour les autres, je vous résume brièvement : partant du principe que, dans de nombreuses cultures dans le monde, les enfants ne portent pas de couche, j’ai essayé d’appliquer les mêmes principes. Pour se faire, il est nécessaire d’être à l’écoute de l’enfant, d’être vigilant quand aux signaux d’annonce des mictions ou défécations (des pipis et des cacas, hein!). En indiquant clairement à l’enfant, à chaque fois que le besoin se fait sentir, qu’il y a un lieu approprié pour faire, il finit par intégrer les différentes étapes : avertir, aller au bon endroit, se retenir…

Bref, en décembre 2012, soit à 17 mois, le P’tit Dernier était propre de jour.

Pour les pipi de nuit, j’ai décidé de ne rien faire. J’avais un peu lutter pour Grand Bonhomme et Petit Bonhomme…

Et le miracle s’est produit. En rentrant de vacances, à mi-août, la couche du matin est devenu sèche. Alors même que 3 jours avant elle était pleine.

Après 1 semaine de couche archi-sèche, nous avons décidé de laisser le P’tit Dernier en pyjama. Et depuis, c’est plié. Quand il a besoin, il m’appelle la nuit et heureusement pour moi, ca n’est pas toutes les nuits, et même pas très souvent.

Voilà comment, à 2 ans, notre P’tit Dernier est complètement « propre » (même si cette expression ne me satisfait pas pleinement).

Nous n’aurons même pas eu à utiliser les tailles 5 !

Si je devais transmettre un message, j’aimerais faire comprendre qu’avant de dire que c’est juste « impossible » car un bébé est trop petit pour s’exprimer, que c’est juste « compliqué » parce qu’il faut être à l’écoute constante de son enfant, que c’est juste du « dressage » parce que cela fait penser aux méthodes proposées à nos grands-mères, … , je suis vraiment ravie d’avoir procéder ainsi avec mon Dernier.

Je ne me permettrais jamais de dire que c’est LA méthode à employer, car c’est qui est vrai pour les uns ne l’est pas pour les autres, ce qui fonctionne pour un binôme parent-enfant, n’est pas applicable à un autre.

Je voudrais juste conseiller à celles (et ceux?) qui y réfléchissent et hésitent, de se lancer et d’essayer, en n’ayant pas peur de se tromper, nous, ça nous a réussi  !

N.B. : Mes références littéraires sur le sujet : La vie sans couches – L’apprentissage naturel de la propreté de Sandrine Monrocher-Zaffarano et Sans couches, c’est la liberté! de Ingrid Bauer. Je vous en fais un résumé rapidement !

 

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L’Hygiène Naturelle Infantile, je vous en avais déjà parlé ici, en mars dernier. J’en étais au stade où je jonglais avec les périodes avec et sans couche. Et ca n’était pas simple. Même si l’affaire du caca était déjà réglé.

Et puis l’été est arrivé. L’acquisition de la marche également. Les siestes du matin ont commencé à se réduire, ou à disparaitre.

Avec ce rythme plus échelonné, j’ai choisi l’option « violente », j’ai viré la couche. Ma mère s’offusquait de voir le Dernier toujours le cul à l’air mais j’ai trouvé la solution plus efficace : dès que le pipi se pointait, hop, je le téléportais sur le pot en courant.

Et aussi incroyable que ca puisse paraître, il a très vite compris ce qu’on attendait de lui, à savoir signaler l’arrivée du pipi. Sauf qu’en général, il annonçait « caca » (à la place de pipi) lorsque l’affaire était déjà faite. Oups. Donc, j’ai épongé plusieurs beaucoup des litres de pipi. Ca, c’était en août. Mais je reconnais qu’avec les autres grands à la maison, j’étais pas très « connectée »

En octobre, il arrivait à annoncer les pipis dans la grande majorité des cas. Nous avions encore quelques rares accidents.

A mi-décembre, à 17 mois, il était officiellement propre, annonçait « caca » pour toute envie d’aller aux toilettes et savait se retenir s’il n’était pas possible de se libérer immédiatement.

Évidemment, il conserve encore la couche pour la sieste (même si elle ressort souvent sèche) et pour la nuit.

Quand les « gens » que nous rencontrons s’en rendent compte, la réaction est unanime : l’étonnement. Un mélange de « Il est doué », de « Comment avez vous fait? » et de « Ca n’est pas possible ». Combien de fois ai je entendu : « mais un enfant ne peut maitriser ses sphincters avant 18 mois minimum » ?…  Alors j’essaie d’expliquer la théorie et la pratique… en espérant faire passer le message.

Bien entendu, soyons lucide, éponger des pipis est loin d’être très fun et je comprends tout à fait qu’on veuille attendre le « bon » moment. De mon coté, je me félicite d’en avoir (déjà!) fini avec les couches et de ne pas avoir à essuyer des crottes collées à des fesses irritées…

Par ailleurs, il me parait évident que cette solution n’est pas applicable dans un accueil collectif, car d’une part, il faut accorder à l’enfant une attention poussée, pour ne pas dire constante, et d’autre part, le coté « pipi partout » est contraire aux règles d’hygiène d’un tel établissement. Mais bon, à la maison, c’est pas pareil : on a le temps et puis, on n’est pas une cradouillerie près.

Enfin, 17 mois, , c’est la classe, non?

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Amies mamans, amis papas, la gastro, tu connais. Si, j’en suis sure.

Moi aussi, je l’ai déjà croisé mais fort heureusement, pas trop souvent. A peine 2 fois pour Grand Bonhomme, et 2 ou 3 fois pour Petit Bonhomme. Et pour tout dire, en général, en 2 jours, c’est plié. La gastro sympa quoi.

Mais en fait, j’étais une grosse naïve : je croyais vraiment que la gastro, c’était çà, 2 jours aux toilettes, 3 malheureux vomis. Naïve, je vous dit !

C’était sans compter sur le Dernier. Malade dès vendredi matin, et encore samedi, et encore dimanche (pendant le magnifique repas de Pâques, les invités étaient ravis), et toujours lundi, et toujours mardi… 5 jours et 5 nuits…. Une monstrueuse série de vomis et de diarrhées. Bien entendu, j’ai surveillé son hydratation, même si le Motilium faisait demi-tour rapidement, le Tiorfan entrait difficilement, le soluté de réhydrataion n’entrait pas tout… Bref, la gloriole mes amis !

Mercredi matin, il dodelinait de la tête, amorphe sur les genoux mais au moins, il ne vomissait plus. Et il dormait beaucoup. Pour tout dire, j’étais à deux doigts de l’emmener aux urgences pour le faire perfuser. Mais ma pédiatre m’a confirmé qu’il suffirait peut être de persévérer un peu.

Effectivement, jeudi, il allait déjà mieux.

Vendredi, il pétait la forme. On n’aurait jamais dit qu’il avait été malade 5 jours.

Et que gardera t’on de cet épisode?

Des nuits de merde ! Car un petit Bonhomme qui se réveille toutes les 2 heures pour vomir ou pour faire caca, se réveille encore toutes les 2 heures dans les jours suivant alors qu’il ne vomit plus ! Il appelle, il me regarde, me sort son plus grand sourire et ne veut plus dormir… Alors j’avoue qu’après 2 nuit, j’ai fait ma vilaine maman, je lui ai fait des gros bisous et ensuite, je l’ai laissé pleuré. Parce que moi aussi, même sans être malade, j’avais une bonne tête de déterrée.

Et 1 semaine plus tard, le sommeil est de retour : victoire !!

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Il y a 1 an, aujourd’hui, le P’tit Dernier, qui s’était incrusté dans mon ventre sans trop nous demander notre avis, prenait sa liberté.

Une nuit complète à contracter, pour prendre dans mes bras cette toute petite souris, qui m’aura réconciliée avec mon accouchement… et fachée avec mon allaitement.

1 an. Court et long à la fois.

J’ai essayé de ne rien rater. Je suis sure que j’ai raté des tas de choses.

J’ai essayé de ne rien oublier. Je suis certaine que j’en oublierai beaucoup.

Monsieur s’émerveille toujours d’un « C’est fou comme ca change en un an ». Vrai. Et encore plus vrai la première année.

Maintenant, P’tit Dernier lance la balle comme un chef, shoote dans un ballon pour jouer au foot comme ses frères, essaie désespérément de mettre les pilotes dans l’hélicoptère playmobil (il manque encore de minutie), essaie de manger avec une cuillère (en en balançant partout, sur moi et même aux murs), me donne, par contre, super bien à manger, danse comme un fou dès qu’il entend de la musique, s’amuse à arréter l’eau dès que j’essaie de le doucher, refuse de s’allonger sur la table à langer, s’éclate en se cachant sous des vêtements, puis en le retirant comme pour dire « coucou », nous léchouille la joue en guise de bisous, mais refuse toujours de dire bonjour ou au revoir,… Une liste infinie de petites choses qui nous émerveillent chaque jour tant qu’il me faut lutter contre l’envie quasi irrépressible de le prendre dans mes bras dès que je le vois, pour lui faire un calin.

Bon anniversaire mon P’tit Loulou.

Au fait, à l’époque, j’avais oublié de vous montrer ces petites photos, prises en salle d’accouchement, preuve que pour la maternité locale, l’accouchement physiologique n’est pas une illusion lointaine :

J’espère que vous apprécierez toutes à sa juste valeur la dernière image, où la jeune maman fraichement accouchée, lève les bras bien haut en signe de victoire, commentée d’un « Bravo, vous avez réussi »… Personnellement, c’est une situation que je n’ai jamais vécue comme ça !

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Comme convenu, début juillet, j’ai emmené le Dernier au Stade des Bébés by Pampers.

Bonne aubaine pour Monsieur, qui a embarqué Grand et Petit Bonhomme, direction Madagascar. Pas l’île, Le film ! – On en reparle une autre fois.

De mon coté, j’ai enchaîné train – RER – métro (1h) pour débarquer Porte de Pantin. L’affluence de poussettes et de bébés m’a convaincu que j’étais dans la bonne direction.

Et puis, j’ai vu ca :

 

Une file immense de gens…

Heureusement pour nous tous, ca entrait plutôt vite.

Jusqu’à ce que le charmant Monsieur-le-responsable-de-la-sécurité vienne nous expliquer qu’on n’allait pas tarder à dépasser les quotats autorisés à l’intérieur et qu’on allait devoir attendre… entre 45 min et 1h. Oups. J’ai eu un moment d’arrêt parce que j’avoue que l’idée d’attendre aussi longtemps dehors ne me tentait pas du tout.

Et puis en fait, le file continuait d’avancer, encore, encore et encore… jusqu’à ce que nous rentrions, seulement 10 min après. Ouf. Merci  Monsieur-le-responsable-de-la-sécurité pour le coup de stress gratos.

A l’intérieur, beaucoup de bruit mais le Dernier qui s’était endormi dans mes bras ne semble pas en souffrir. On n’était pas venu pour lui? Ah si.

Un premier tour permet de constater que la plupart des activités sont plutôt destinées aux enfants de plus de un an, surtout les ateliers. P’tit Dernier est peut être un peu jeune.

Après avoir bien dormi dans les bras de sa MamanNashii, le Dernier est parti à l’aventure. D’abord, dans la zone de jeu Fisher-Price pour les tout-petits. Et alors qu’il ne cotoie pas beaucoup d’autres petits bébés de son âge au quotidien, je trouve que Petit Dernier s’est plutôt bien comporté avec les autres. Il faut croire que la compagnie, voire l’envahissement et la brutalité, de ses frères lui sont profitables !

Une petite virée dans la piscine à balles histoire de s’éclater encore un peu. Les cris du Petit Dernier a chaque fois qu’il faut sortir d’un jeu pouvent qu’il s’amuse vraiment beaucoup! Un petit tour sur le parcours de gym mais il commence à fatiguer. Ensuite, pause repas dans l’espace dédié – super confortable : sièges gonflables, chaises hautes, micro-onde…Et pour finir, changement de couche dans l’espace Pampers – qui, après quelques heures, aurai peut être mérité une bonne ventilation…

Voilà, après 1h30 à l’intérieur dont 1h à s’amuser, Petit Dernier et moi sommes repartis bien claqués. Y’a pas à dire, le sport, ca fatigue.

J’attends l’année prochaine avec impatience car P’tit Dernier sera pile du bon âge !

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Il aura fallu un peu plus de temps, un peu plus de soutien, d’encouragement que pour ses frères mais l’envolée vers la liberté a eu lieu. Le 17 juin dernier, à 11 mois exactement, P’tit Dernier s’est lancé vers le vide pour faire un pas. Le lendemain, ce fut deux pas.

Et un pas en entrainant un autre, P’tit Dernier peut maintenant en faire 5 à 6, sans fléchir et sans tomber. Il va donc facilement de meuble en meuble mais il ne se lance pas encore dans la rue…

Il essaie également de se lever sans appui et peut rester de longues minutes debout, parfois avec un baton dans la main pour taper sur tout ce qui passe à sa portée !

C’est le début d’une autre aventure.

En attendant, nous allons profiter du week end pour nous entraîner encore et faire un peu de sport au Stade des Bébés !

Parmi les nombreuses activités proposées, j’ai très envie de tester « l’équitation » et la « natation »

Il y a encore beaucoup d’autres activités, même manuelles ou musicales. Et pour parfaire le tout, les grands n’auront même pas le temps de s’ennuyer grâce aux animations qui leur sont dédiées. J’y serai samedi. Et vous ca vous tente?

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Ce titre est assez nullissime, j’en conviens.

Il y a toujours deux camps : tétine ou pas tétine? Doudou ou pas doudou?

D’abord Grand Bonhomme : il avait toujours refusé la tétine et s’était « rabattu » sur la patte de son doudou. Sur le moment, nous n’avions pas cherché à lutter. Peut être même qu’on l’avait un peu encouragé car la tétouille nous assurait le silence pour la nuit.

Il s’est écoulé plusieurs années pendant lesquelles il a machouillé et sucé la patte de ce lapin. Dès fois, c’était limite immonde. Et pourtant on alternait entre 4 lapins pour en garder toujours un propre…

Et puis, il y a eu Petit Bonhomme, qui, lui, avait accepté la tétine. Tétine qu’il fallait régulièrement retrouver – par terre / dans le sac / dans la voiture / cachée dans la couverture – et remettre en bouche sous peine de hurlements noctures. Cette même tétine que nous avons fermement supprimé à la lecture de Marie Thirion. Depuis, il s’endort sans tétine, en carressant doucement l’un de ses doudous, sans préférence. Perfection.

Maintenant, il y a Le Dernier. Lui, on a bien essayé de lui enfourner une tétine mais il n’en voulait pas, la recrachant à un mètre du lit. Ensuite, il a attrapé son pouce. Ca, nous n’en voulions pas. Il a donc dormi fort longtemps avec les mains rentrées dans les manches. Et puis le hasard a fait qu’il a commencé à machouiller des morceaux de doudou, un peu comme son frère. D’autant que, en souvenir du « Lapin Chocolat », j’ai craqué sur ces doudous là :

 

J’ai eu comme une impression de déjà vu. J’ai repensé aux moufles… aux menaces… aux pleurs… à la peine…. Et alors même qu’à 9 mois, Le Dernier dort plutôt correctement, s’endort très vite en machouillant la patte du machin et ne se réveille que pour manger le matin, nous avons décidé de supprimer les doudous. Il faut croire que nous aimons les difficultés. A moins que nous ne soyons un peu sadiques et tortionnaires. Au choix.

Les premiers soirs ont été difficiles : pleurs, larmes… Il était prêt à tout prendre dans sa bouche.
Plusieurs jours plus tard, le sommeil commençait à être meilleur.

Aujourd’hui, après 1 mois environ, il s’endort en pleurant un peu (ce qu’il ne faisait pas avant mais bon…), mais n’appelle jamais la nuit. Sauf quand on est en vacances et qu’il n’est pas dans son lit. Là, on voit nettement la nuance car au lieu de s’endormir vite et bien, il hurle à mort… Mais bon, globalement, je crois qu’on ne s’en tire pas trop mal.

Maintenant, je vais tenter une réintroduction progressive des doudous car ce serait bien qu’il ait une peluche à caliner quand même. On n’est peut être pas si horrible que çà, en fait !

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