Quand j’ai commencé à réfléchir à mon organisation de rentrée, je savais bien que je ne pourrais pas rentrer à la maison avant 18h ou 18h30. Ou alors très occasionnellement. Il me fallait donc prévoir une baby-sitter pour récupérer les Bonshommes après l’école. C’est en anticipant cela que j’ai positionné une parties des activités extra-scolaires après l’école, missionnant par la même occasion ladite baby-sitter pour trimballer tout le monde à droite et à gauche.

Mes demandes : lundi, mardi, jeudi et vendredi de 16h à 19h.

Je pensais que ce serait facile et qu’il me suffirait d’une annonce sur bébé-nounou, comme je l’avais fait précédemment, pour tout résoudre. Et puis en fait non, car il faut savoir que 16h, c’est un peu tôt pour une baby-sitter. La plupart du temps, les filles ou les garçons (ne soyons pas sectaire!) qui se proposent pour se genre de service, sont des lycéennes (je n’ai pas encore rencontré de lycéen) ou des étudiants. La plupart d”entre eux ne sont pas disponibles avant 17 ou 18h. Voilà pourquoi ces emplois consistent plutôt à sortir les enfants des centres de loisirs pour les raccompagner à la maison en attendant le retour des parents, vers 19 ou 20h.

Mais pas pour moi.

J’ai donc du me tourner vers un agence pour sélectionner la nounou de mes rêves.

Sur la place, on trouve une foultitude d’agences : Family Sphère, O2, Educazen, Kinougarde, Kangouroukids, Kidizen, Yoopala,… surtout sur Paris. J’en ai donc contacté quelques unes pour obtenir des devis. Les tarifs sont très semblables mais peuvent varier d’un euro ou deux. Ca parait peu mais sur 40 heures par moi, ca peut représenter une petite somme. Les différences résident notamment dans les modes de sélection des candidates : parfois sur simple appel, parfois par entretien en direct,…

A ce stade, j’étais encore dans la réflexion quand Yoopala a abattu une carte de taille :  les frais de dossiers offerts en juillet. Vendu ! Parce que si ca n’allait pas, au moins, je n’aurais pas engagé d’argent. Pendant un mois, ils n’ont trouvé personne à me présenter. Et j’étais assez inquiète quand enfin, j’ai reçu une première candidate. Et là… le drame. Non, je te jure, la catastrophe. Une petite jeune, gentille comme tout mais avec le plus gros de tous les défauts : elle ne “percutait” pas. Genre, t’expliques un truc, tu l’écris et elle te fait répéter. Un truc simple, hein, l’horaire du judo par exemple. Le même tous les jours ! Je ne la sentais pas du tout et la seule réponse de l’agence a été  : “on cherche quelqu’un d’autre mais pour l’instant, on ne trouve personne”. En résumé : la nunuche ou rien. Au secours.

J’étais à deux doigts de craquer quand Yoopala m’a contacté pour me proposer quelqu’un d’autre. Le contact téléphonique était parfait, j’étais rassurée. Notre rencontre s’est plutôt bien passée même si elle est très réservée. N’ayant pas vraiment l’embarras du choix, j’ai dit oui, à Mlle T. Fort heureusement, à l’expérience, elle s’est montré aussi compétente qu’espéré. Elle est très gentille avec les enfants, elle les fait beaucoup rire. Tant mieux.

Voilà donc comment nous avons trouvé notre nouvelle nounou, pas encore nommé  Supernounou.

Pour conclure, je vous donne mon petit avis: En comparaison avec l’emploi à domicile, je pense que l’avantage des agences, c’est la non gestion du contrat de l’employé. Pas de problème de signature de contrat, de ce qui est dû ou pas, de la fin de contrat en cas de problème. Mais il faut admettre que le recrutement n’est pas toujours aussi parfait que les publicités le vendent. Surtout quand il n’y a que peu de candidates pour un poste. L’autre défaut que j’y trouve jusqu’à maintenant, est l’obligation d’avancer les frais de paiement avant de pouvoir les déduire des impôts de l’année prochaine. Si Mr Hollande consent à nous maintenir nos déduction, bien entendu.

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