Les petits loulous,

j’étais en train d’écrire un article pour vous faire savoir à quel point mon quotidien est complétement overbooké – entre autres, raison pour laquelle j’ai bien du mal à pondre mes articles – Où est passé le temps où je trouvais que le congé parental ne me laissait le temps de rien…? – quand j’ai trouvé dans mes mails une merveilleuse proposition de Disney, pour vous faire assister – avec moi-même, mais pas que – à l’avant-première du nouveau dessin animé Disney :

Clochette et la Fée Pirate.

Cette avant première aura lieu mardi prochain, 25 mars à partir de 19h, au Gaumont Marignan (27 Avenue des Champs Elysées 75008 Paris), en présence de Lorie (Oserais je vous avouer aujourd’hui que, bien qu’étant née avant les année 90, je suis assez fan…??). Les enfants sont invités à venir déguisé en fées et en pirates car le plus beau déguisement recevra un prix !

Je vous propose donc de gagner (un lot de) 4 places pour faire découvrir à vos petites fées et vos petits pirates ce nouveau Disney.

La première condition est bien évidemment d’être disponible à la date en question. (Je trouverais fort dommage de réserver des places pour quelqu’un qui ne pourrait finalement pas venir…)

La seconde condition est de m’indiquer en commentaire si vous participez et de me donner un adjectif qui, pour vous, qualifie le mieux le fée Clochette.

Voilà, ce sera tout. Vous pouvez relayer si l’envie vous en dit, toutes mes excuses mais il n’y aura pas de participation compte double, je n’ai vraiment pas le temps pour cela dans un délai si court… Juste un tirage au sort lundi 12h !

Et ce sera tout pour ce soir, parce qu’il est quand même minuit, hein – je suis claquée – et on reparle de tout cela lundi !

EDIT :

6 participations, juste ce qu’il faut pour un joli dé, qui roule et roule pour tomber sur le numéro… 3 !! C’est donc Suzie qui aura le plaisir d’assister à l’avant première du film demain soir. Et ca me fait d’autant plus plaisir que Suzie est une “ancienne” de la maison. On aura peut être la chance de se croiser… Suzie, envoie moi vite en mail privé [nashii . maman @ gmail . com] en enlevant les espaces, ton nom, ton prénom et le nombre de personnes qui t’accompagnent !

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J’habite à deux pas de l’école. Ca n’est pas une image, c’est la vérité. Pour y aller, j’ai juste à traverser une rue piétonne.

Et la plupart du temps, les Bonshommes sont heureux d’y aller. Depuis qu’ils sont petits et comme tous les parents, je leur présente l’école comme un lieu merveilleux où on apprend des tonnes de trucs. Un lieu idyllique et génial. Parce que nous, nos petits européens, il faut les convaincre d’aller à l’école. Tout cela est aussi facile d’accès et aussi obligatoire qu’il en devient rasoir pour tous ces enfants peu intéressés ou qui décrochent avec le temps.

Pourtant, ailleurs dans le monde, l’école, l’éducation, ne sont pas des évidences. Pour certains, elles ne sont qu’un doux rêve pour lequel il faut se battre.

Ces enfants, ces parcours, sont présentés dans le merveilleux documentaire de Pascal Plisson : Sur le chemin de l’école.

Ce film présente le chemin, le vrai chemin, que parcourent 4 enfants à travers le monde, tout simplement pour rejoindre leur école. Entre Jackson qui traverse la brousse, avec sa petite sœur, en courant pendant 2 heures pour couvrir les 15 km qui les séparent de son école, et Samuel, handicapé, que ses frères (débordant d’amour ses frères !) poussent dans son fauteuil roulant, tout branlant, sur les 1,5 km de chemin tortueux jusqu’à l’école… je n’ai pas pu m’empêcher d’être touché en plein.

Que vous dire de Zahira, qui traverse pendant 4h, à pied, les montagnes de l’Atlas, alternant marche et auto-stop, à la merci (c’est ainsi que je l’ai perçu) des gens qu’elle rencontre. Je suis d’autant plus touché que c’est une petite fille. Pour être transparente, je me suis revue à 11 ans, c’est à dire en 6ième, parcourant le malheureux kilomètre entre mon école et le bureau de ma maman. Un tout petit kilomètre et pourtant on m’avait rebattu les oreilles à coup de “attention aux étrangers”, “attention aux voitures qui s’arrêtent”, “fait attention que personne ne te suive”.

Aujourd’hui, les enfants rentrent du collègue en bus (de ville ou ramassage scolaire), et je ne connais pas de maman autour de moi, qui ne soit pas un minimum inquiète de ce trajet. La plupart ont d’ailleurs muni leur enfant d’un portable. Au cas où. Qui, aujourd’hui, dans notre monde moderne, envisagerait de laisser son fils marcher seul (sans portable, hein!) pendant 15 km à travers la brousse sur un chemin changeant jour après jour en fonction du passage des animaux? Certainement pas moi.

Ils mettent tous les jours leur vie en danger pour accéder à ce qui lasse tant (trop !) d’enfant chez nous : l’instruction. Dans l’espoir qu’elle changera dans leur vie.

En sortant, je n’avais qu’une envie : présenter ce film à mes enfants pour qu’à leur tour, tout au moins pour le plus grand, ils prennent une fois encore conscience de la chance qu’ils ont. Et si cela peut être une découverte pour les enfants, c’est aussi une très belle leçon de vie pour les parents.

 

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Hier, profitant de mon séjour chez mes parents, je me suis accordée une petite pause cinéma. Aucune envie de film en particulier, mais plutôt l’envie de passer un moment pour moi, loin des enfants…

Le 007, je le garde pour le voir avec Monsieur.

Parmi les films disponibles, j’ai jeté mon dévolu sur un film un peu fun

Synopsis : Vincent et Antoine, deux fans des années 80, dirigent une petite société de spectacle qui fait tourner des sosies dans toute la France. A la veille du dépôt de bilan, ils retrouvent un carton de vieux 45 tours de tubes des années 80. Pourquoi ne pas faire remonter sur scène les vraies Stars des années 80 ? Les deux producteurs partent alors en quête de ces vedettes oubliées pour lancer une tournée de concerts.

Inutile de vous faites patienter : j’ai kiffé ce film !  Qu’on soit bien clair, et je pense que vous vous en doutiez, il ne faut pas aller voir ce film pour son senario. L’affaire est vue d’avance : on sait d’où l’on part et où l’on va, peu de rebondissement en vu.

De plus, 70 ou 80% du film sont composés de chansons, toute plus entrainantes les unes que les autres donc si on n’est pas un peu fan des années 80, on peut vite en être complètement gavé.

Les chanteurs, qui ne sont pas à la base des acteurs, jouent avec plus ou moins de naturel, mais font tous preuve d’une autodérision hilarante. On ressent que certaines scènes ont été tournées avec un plaisir partagé, qui transperce l’écran.

Enfin, les chanson, leurs chanteurs et l’ensemble du film sont blindés de bons sentiments. Voilà le genre de film qui donne la patate et un sacré sourire pour un moment. Je suis repartie avec pleins de chansons dans la tête et une bonne dose d’énergie positive ! Chouette, non?

Un léger regret à propos des trucages réalisés autour de Gilbert Montagné : parfois trop, c’est trop.

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