Comme je vous le disais précédemment, je vais reprendre très officiellement mon activité professionnelle à la fin du mois d’octobre, pendant les vacances de la Toussaint.

Je serais une grosse menteuse si je vous disais que je suis zennitude et tranquillité. En fait, je suis stressée, tendue du bidon mais pour me soigner, j’essaie de m’organiser pour tout soit le plus carré possible, afin de ne pas m’emmêler les pieds dans le tapis dès la ligne de départ.

Les Grands Bonhommes sont rentrés à l’école (je vous ferai un article détaillé), et c’est encore à moi de les déposer le matin et les récupérer les soirs.

Pour commencer, j’ai enfin obtenu une place en crèche pour le Petit Dernier. Pas une journée de temps en temps, non, une vraie à temps complet. Nous avons commencé l’adaptation la semaine dernière et dès le premier jour, le Dernier a prouvé qu’il était très détendu en s’intégrant (facile Emile!) au reste du groupe. Il n’a évidemment pas versé une larme, c’est à peine s’il a sourcillé… La puéricultrice était assez stupéfaite. Cela n’a pas pour autant écourté l’adaptation hyper progressive qui a bien duré toute la semaine. Le dernier jour, il mangeait, dormait, jouait sans marquer la moindre difficulté. Royal ! Je crois qu’après deux ans, cet enfant en a marre de moi.

Bon, ca, c’est fait.

Aujourd’hui, je pars le déposer après avoir emmener les Grands à l’école mais bientôt, il faudra faire l’inverse pour que j’arrive au plus tôt au travail. Et ceci afin de sortir et être à la maison à une heure raisonnable.

Si j’avais été une maman lambda, j’aurais inscrit Grand Bonhomme et Petit Bonhomme à la garderie du soir, jusqu’à mon retour.

Seulement voilà, moi, je suis une super maman (qui oserait dire le contraire?), et j’ai inscrit les enfants à des activités extra-scolaires, le soir, après l’école. D’abord pour alléger leurs mercredis mais aussi et surtout pour alléger mes mercredis. Vous saisissez la nuance?

Cependant, comme il m’est impossible d’être à 16h30 à la sortie de l’école (faut pas pousser mémé-mon-boss quand même…), je suis partie à la recherche d’une nounou pour mes sorties d’école. Une fois ce point résolu (et je vous en parle bientôt), je serai calé dans les startings blocks pour que les quotidiens s’enchainent comme sur des roulettes à partir du mois de novembre !

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Il y a encore quelques semaines, j’avais réussi à dompter mon timing, de sorte que mon petit blog soit alimenté chaque jour. V’la t’y pas comme j’étais fière de moi.

Hélas, depuis la semaine dernière tout part en cacahouètes : Petit Bonhomme est malade.

Je n’ai pas de diplôme de médecine mais fièvre + diarrhées + vomissement, c’est ? … c’est ? … Une gastro !!  Oui ! Bravo, tu as gagné le droit de venir éponger !! Par ici la serpière…

Bref, 5 couches multigarnies, jusqu’au body et au pantalon, quelques hauts le coeurs et vomissements plus tard, nous croyions la vague de front passé. C’était sans compter sur les répliques… dans la nuit de lundi à mardi.

Hier matin, j’ai donc joué les Wonder Woman en courant chez Madame la Pédiatre pour lui présenter mon morveux fièvreux… qui venait de vomir dans la poussette – top classe (J’ai été obligée de quémander des mouchoirs en papier à une brave dame dans la rue, qui, voyant mon désarrois, m’a carrément donné tout son paquet ! )

Verdict : gastro (ouaip, on s’en doutait), bronchite et amygdalite. Ah bah, quand on fait les choses, on ne les fait pas à moitié !

Hier après midi, Super Nounou a ramassé quelques vomito, et, hier soir, m’a rendu… une loque. Ah, il ne faisait pas le fier, le Bonhomme, tout fièvreux, chouinant et grelotant. Je me moque mais moi non plus, je ne rigolais pas. 19h30 allez hop, au dodo !

Et ce matin, ca va mieux. Pour dire, il a mangé à midi ! Hourra, vive les virus hivernaux !

Enfin, histoire de dire « tu n’aura pas lu tout ca pour rien » voici quelques stratagèmes d’urgence pour palier les problèmes de gastro :
contre les vomissements : soluté de réhydratation ( ca calme les vomissements et en plus, Motilium 1/4 h avant le repas)
contre les diarrhées : Smecta ou Lactéol ou Tiorfan. Sans Tiorfan, uniquement sur ordonnance, j’ai donné du Smecta (1/2 sachet le matin, 1/2 sachet le soir).

Tout ca pour dire, et ca n’a rien à voir je sais, que j’hésitais entre un article Beauty et un article Lecture et finalement, l’actualité m’a rattrapée… SuperNanny est décédée.

Oui, SuperNanny. C’est fou, non?

Il est difficile de donner un avis sur la Personne, surtout au travers de l’écran dont on sait qu’il déforme tout, mais l’émission, franchement, sans dire si on aime ou pas, voir des familles pires que la mienne, quelque part ca ma rassurait un peu…

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Maintenant que vous avez toutes les cartes en main (la nounou, la famille, le contrat), on va parler pépettes et gros sous.

D’abord, vous devez faire votre déclaration sur le site de Pajemploi. Vous y indiquerez le nombre d’heures « normales » ainsi que le nombre d’heures supplémentaires majorées à 25 ou 50%. Dans ce cas là, vous devez estimer votre salaire horaire, sinon, sans heure supplémentaire, vous vous contenterez d’indiquer le salaire mensuel total. Il s’agit bien d’un salaire net, c’est à dire ce que vous donnez à votre nourrice.

A partir de cette déclaration, Pajemploi définit le montant des charges totales. La moitié de ces charges est prise en charge par la CAF, sur le reste, une partie est déduite, une autre est reversée à votre nounou (attention, c’est à vous de lui verser ce complément), le reste est à votre charge.

Donc, par mois, vous devez payer le salaire net et les charges (les vôtres + ce que vous reversez à votre nounou)

D’un autre coté, vous récupérez des pépettes grâce à la CAF notamment. D’abord, parce que la CAF prend en charge la moitié des charges patronnales, c’est transparent pour vous mais l’air de rien, c’est important. Ensuite parce qu’après avoir enregistré votre déclaration sur le site de pajemploi, les infos sont transmises à la CAF pour versement de votre complément de libre choix de mode de garde. Le montant de votre allocation dépend de vos ressources et l’âge de votre enfant. Attention, sur ce coup, y’a une arnaque (ouais, j’appelle ca comme ca !) : quand vous avez deux enfants, vous payez plus cher votre nounou et pourtant, vous ne pouvez toucher qu’un seul complément, correspondant au plus avantageux de vos droits. Tant pis pour vous !

En dehors de ca, il est bon de vous renseigner auprès de votre mairie, ou de votre département pour obtenir d’autres compléments encore. Ainsi, si, comme moi, vous avez la chance d’habiter dans le 92 , vous toucherez du conseil général une aide complémentaire de 100€ par mois appelé BBDom. Et tout ca sans rien faire puisque la CAF transmet à son tour toutes les infos à qui de droit. N’est il pas que c’est trop bien fait !

Bref, à ce moment là, vous avez récupéré des sous d’un coté et vous en avez donné pas mal de l’autre. A la fin de l’année, il faut penser à faire le bilan de tout cela pour votre déclaration d’impôt. En effet, vous avez le droit de déduire la moitié de ce que vous avez dépensé pour votre employé directement de vos impots. C’est à dire (Salaire + Charges payées + Reversement de charges à la nounou) – (Complément de la CAF + aides diverses (mairie, BBDom, etc.), le tout divisé par 2. Et dans la limite de 12000€ + 1500€ par enfant, soit 15000€ dans notre cas. Ca fait une belle marge, non? Je vous rassure, on n’en est loin !

Bref, je vous engage à bien regarder tout cela car l’air de rien, le salaire d’une nourrice que vous payez 500 ou 800 euros par mois, vous revient en fait à 150 ou 300 euros par mois. Ca change tout !

Voilà, j’ai tenté d’être la plus claire possible au cours de ces 4 articles. J’espère avoir au moins réussi à vous éclairer sur certains sujets, c’est aussi l’intention de ce blog !

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Après avoir trouvé la nounou de vos rèves, vous devez maintenant signer un contrat en bonne et due forme.

Aussi, je vous rappelle que nous ne sommes pas dans le cadre d’un contrat avec une Assistante Maternelle (qui possède en général son propre contrat). Il s’agit ici de l’emploi à domicile d’une personne à charge d’enfant.

Vous êtes donc soumis à la Convention Collective du Particulier Employeur, que vous pouvez télécharger ici. Vous trouverez également beaucoup d’info et d’aide sur le site de la Fepem.

Ceci étant, le contrat que vous rédigerez devra indiquer :

le nom des deux parties (employeur et employé)

les conditions de l’engagement, le nom de la convention collective, les organismes de retraites (Les institutions compétentes en matière de retraite et de prévoyance sont : Retraite : IRCEM Retraite et Prévoyance : IRCEM Prévoyance).

la date de début du contrat, la durée du contrat et la durée de la période d’essai (en général, 1 mois)

la nature de l’emploi (Employée de maison à charge d’enfants) et le travail demmandé :

  • être à l’écoute permanente des enfants
  • préparer et donner les repas selon les consignes des parents
  • veiller au bien être physique et psychologique des enfants (les changer, les habiller, leur donner le bain, participer à leur éveil, les promener, leur faire faire la sieste, les soigner en cas de besoins
  • veiller à la sécurité des enfants
  • en cas de difficultés ou d’urgence, prévenir en priorité les parents concernés et prendre les mesures nécessaires (SAMU, pompiers, pédiatre, etc.)

le lieu de travail et la répartition du temps de travail dans chacune des deux familles.

les congés payés et jours fériés

les horaires de travail (attention à cette partie car d’elle dépendent les salaires et les congés complémentaires). Il est important de noter que la durée hebdomadaire normal de travail est fixée à 40h, prolongée à 48h en tenant compte du travail effectif dit « non responsable ». Mais le temps de  travail effectif d’une employée ne peut dépasser 48 h par semaine. Si les horaires de travail ne permettent pas de respecter cette limite, les heures supplémentaires seront récupérées de manière régulière afin que la moyenne horaire hebdomadaire ne dépasse pas 48h sur une période de 12 semaines glissantes. Donc, lorsque Super Nounou travaille 52h, elle est déclarée à hauteur de 40h + 8h supplémentaires (augmentées de 25%) + 4h (augmentées de 50%) qu’elle récupère dans les semaines qui suivent et qui lui donnent droit à 1 jour de congé complémentaire toutes les 2 ou 3 semaines (il faut faire le calcul exact…). Croyez moi, lors des déclarations, ca n’est pas simple !

-et la rémunération bien évidemment, ainsi que  l’indication de déclaration des revenus en « base forfaire » ou « salaire réel ». Pour avoir commis l’erreur, je vous indique qu’il est  préférable de faire une déclaration en salaire réel car cela vous donne droit à des réductions de charge en tant qu’employeur et des compléments de converture social pour votre salarée.

Pour celles qui le souhaitent, je peux vous donner quelques conseils ou répondre à des questions, je ne suis pas une vraie spécialiste mais pour avoir épluché les doc en long, en large et en travers, je pourrais peut être vous aider !

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Comme promis ici, voici la suite !

Et voilà, nous avions trouvé une famille qui habitait juste en face de chez nous. Il ne nous restait plus qu’à trouver la merveille !

J’ai commencé à chercher sur internet mais les sites du genre kijiji, n’ont pas donné de résultat probant. Le seul site qui m’ait donné des réponses intéressantes, c’était bebe-annonce.com. Je sais qu’il y a maintenant de nombreux autres sites donc, je ne dis pas que c’est le meilleur actuellement. Simplement, il y a 2 ans, cela me convenait tout à fait. J’ai payé quelque chose comme 15 euros pour 3 mois d’accès, et j’ai même pu mettre une annonce à l’attention des nounous.

La sélection se fait par proximité et il faut ensuite décortiquer les annonces.  Comment m’y suis je pris?

D’abord, j’ai viré toutes les annonces qui n’étaient pas rédigées dans un français correct. C’était pour moi un critère rédibitoire.

Ensuite, j’ai appellé toutes celles dont l’annonce répondait à mes critères d’horaires, de dispo et de salaire.

Au téléphone, pas de question compliquée, le but du jeu est de s’assurer que le travail sera déclaré, et surtout SURTOUT de voir un peu comment se passe le premier contact. Dans un certain nombre de cas, j’ai tout de suite coupé court car je ne comprenais même pas ce que disait la personne au bout du fil (ou l’inverse). Bref, si moi, je ne comprends pas, je ne vois pas comment mes enfants vont la comprendre. Donc non.

Et sur la petite dizaine de candidates restant, j’ai fait passé un entretien à 6 d’entre elles.

Pour vous aider, je vous mets ici la liste des questions posées aux candidates, liste que nous avions déterminée avec notre famille concubine.

Parmi les spécimens recalés, j’en avais une qui disait des gros mots : Des « putains » et des « merdes » à la pelle. Oups. Par ici la sortie.

Une autre était tellement cool et zen, que j’ai eu l’impression de lui prendre la tête avec mes questions. T’endors pas sur le canapé, tu restes pas…

Bref, il me restait une charmante dame, bien dynamique avec un petit accent étranger qui me dérangeait un tout petit peu. Et surtout la première candidate reçue : notre Super Nounou. Au téléphone, elle m’avais déjà beaucoup plus, nous avions plaisanté, le feeling était là. Quand nous l’avons rencontrée, elle nous a tellement plu qu’on s’est retenu fort pour ne pas l’engager tout de suite : dynamique, agréable, souriante, péchue, pleine d’idées. C’est bien simple, il n’y avait rien à redire. Et Monsieur a dit : si t’es sure et que tu risques de la regretter alors fonce ! 3 jours après (quand même !) nous lui disions oui… et elle aussi.  C’était il y a 1 an et demi. YES !

Donc, je ne saurais trop vous dire de vous fier à votre instinct. Le contact est essentiel, il crée la confiance.

 La semaine prochaine, je vous parle du contrat et des déclarations salariales !

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Je vous ai déjà parlé des raisons qui nous ont poussées à choisir une nounou pour garder nos Bonshommes. Il faut que maintenant que je vous raconte un peu comment nous avons trouvé nos perles rares.

Avant l’arrivée de Grand Bonhomme, le sujet de  sa garde nous causait  pas mal d’angoisse. Il faut dire que la rumeur court en Ile-de-France qu’il faut demander une place en crèche presque avant la conception de l’enfant pour être sûr de le voir loger quelque part… Quant aux nounous, il est connu qu’elles sont toutes plus terribles, voleuses, menteuses et profiteuses les unes que les autres. Quel est donc ce monde cruel dans lequel nous entrons !

Mon angoisse terrible était, non pas de trouver une horrible nenette qui larguerait les enfants devant la télé ou dans leur lit jusqu’à mon retour (bof mais finalement sans danger) mais plutôt de tomber sur une monstrueuse mégère qui les taperait et les insulterait, pire que dans les vidéos de Reportages ou 7 à 8 ! Douleur à l’estomac au quotidien : l’horreur !

Aussi quand une de mes collègues de bureau m’a appris qu’elle cherchait une  famille pour une garde partagée tout en ayant déjà une nounou, j’ai tout de suite dit oui, sans trop savoir où je mettais les pieds. L’affaire s’est corsée quand la nounou en question nous  a larguée à 1 mois de la rentrée ! Sa remplaçante? Nous l’avons trouvé miraculeusement par connaissances et sans aucune recherche : nounou d’une famille du voisinage…  Elle était tout douce et toute gentille, de quoi rassurer complètement mes angoisses de future maman. Donc première solution : le bouche à oreille.

Et puis, pour des raisons diverses et variées, Nounou Number One est partie. Nous avons donc recherché une nouvelle famille et une nouvelle Nounou.

Pour la recherche de la famille, j’ai imprimée une petite annonce qui disait « Grand Bonhomme et son futur petit frère recherche un(e) petit(e) copain(copine) pour partager leur journée et leur nounou à partir de … » et j’ai posté l’annonce dans toutes les boîtes à lettre du quartier à 2 rues à la ronde. Dans les 2 semaines qui suivirent, j’ai reçu plusieurs appels téléphoniques qui nous permirent de sélectionner LA famille qu’il nous fallait, celle dont les horaires, l’organisation et les souhaits correspondaient aux nôtres.

Et Super Nounou? Vous la rencontrerez la semaine prochaine !

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J’adore ma nounou. Je crois que je l’ai déjà dis quelque part mais… j’adore ma nounou.

J’entends tellement souvent des gens me dire « Mais pourquoi vous ne les mettez pas en crèche? » que j’ai maintenant envie de répondre « Mais rien ne m’y pousse ! »

D’abord, Nounou fait des supers horaires : 8h15 / 19h. C’est plus que correct puisque je peux partir vers 8h30 et rentrer vers 18h45-19h sans problème. C’est bien puisque je vous rappelle que c’est moi qui assure la permanence le matin ET le soir. Parce que j’ai déjà entendu des : » mais taka demander à ton mari de l’emmener… » Oui, mais encore faudrait il qu’il soit là, mon Monsieur.
Sur ce point là, la crèche est laminée puisqu’elle me propose du 8h/18h30… et c’est trop juste pour moi.

Ensuite, Nounou est super caline. Certaines pourraient être désolées de voir quelqu’un d’autres faire plein de calins à leur Bibou. Moi, ca m’a fait super bizarre au début. Mais finalement, c’est mieux ainsi. Je pense qu’il vaut mieux que mes Bonshommes grandissent entourés d’amour, impact positif pour leur développement psycho-affectif avec une bonne Maman de remplacement plutôt que d’être privé d’amour. C’est juste mon point de vue.

A la crèche, la relation est moins personnalisée puisqu’une puéricultrice a bien plus d’un ou même trois enfants à gérer, mais plutôt 4 ou 5. Et bien que je sois persuadée qu’elles font de leur mieux (enfin, pour la plupart), elles n’ont pas quatre bras !
Enfin, toutes les crèches n’acceptent pas le lait maternel. Voilà qui est très dommageable. Vraiment très négatif. Voir même rédhibitoire pour moi.

Voilà. Tout ceci mélangé et accessoirement le fait que je n’avais pas de place en crèche municipale, font que Grand Bonhomme et Petit Bonhomme ont commencé leur vie dans les bras d’une nounou. Ce qui me convient tout à fait !

Pour conclure, j’ajouterais qu’au delà de toutes ces raisons, je peux ajouter que je bénéficie d’une réduction d’impôts substantiel, pour un montant plus important que ce que j’aurais pu réduire avec la crèche. C’est tout bénéf’!

Et vous, vous avez choisi ou subi votre mode de garde?

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Depuis que je suis en congés maternité, je continue à confier Grand Bonhomme à sa Nounou au moins la moitié du temps, d’abord, très égoïstement pour avoir un peu de temps pour moi – après tout, le congé maternité, c’est pour la maman, non ? – ensuite pour qu’il ne perde pas ses habitudes car, après à peine un week-end de trois jours, il va chez elle en râlant.

Et comme je suis une bonne maman, je l’emmène également régulièrement au parc pour qu’il continue à jouer avec ses copains habituels. De ce fait, je suis souvent entourée des nombreuses nounous du parc. C’est comme un cercle de copines, ca papote de tout et de rien. Bien entendu, les questions fusent concernant Petit Bonhomme : son âge, sa taille, son poids, ses nuits, ses biberons… hein, pas de biberons ? Mais comme vous faites ?
– Il est encore allaité.
– Mais il va falloir préparer le retour au travail.
– Je vais tirer mon lait pour la journée.
– Ola, mais c’est du travail, ca !
– Oui mais ca ne me pose pas de problème.

Et là, j’ai vu dans le regard des nounous toute la perplexité qu’une telle situation engendre. Heureusement pour moi que ma Nounou (la mienne à moi, hein ?), elle, n’a même pas levé un sourcil quand nous avons abordé la question. Elle s’inquiète juste un peu de savoir pourquoi nous n’avons pas déjà essayé le biberon plusieurs fois, pour être sur qu’il le prend. Pour ma part, j’ai essayé une fois et vu qu’il a tout bu (150ml) en 15 min, je pars du principe que tout va bien se passer… Comme je dis souvent : « Nous répondrons à la question, quand la question se posera ! »

Tout ca pour dire qu’une fois encore, l’allaitement est regardé d’un œil étrange, même en s’adressant à une population plus que concernée par le monde de l’enfant : les Nounous ! Mamans-allaitantes-qui-travaillent, ne nous laissons pas décourager, ne laissons pas le doute s’installer. Il n’y a qu’en étant convaincue qu’on peut y arriver.

Au fait, je commence mon adaptation la semaine prochaine par quelques heures avec moi, mercredi, puis quelques heures sans moi, jeudi puis une demi-journée sans moi, vendredi. Ca devrait déjà donner une idée de la suite… et pour l’instant, je n’ai prévu qu’un rendez vous… à la banque pour me récompenser – quel égoïsme, n’est ce pas ?

PS : un deuxième billet en deux jours, j’avoue tout : Monsieur retravaille aujourd’hui… Hi hi hi !!!

 

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Dans le cadre de la recherche de Super Nounou, nous avons établi une série de questions. Je vous les livre ici, en vrac. Charge à chacune d’en faire ce qu’elle veut :

– Pourquoi avoir choisi ce métier?
– Avez vous des enfants? Quel âge? Comment s’organise leur garde?
– Avez vous des diplômes?
– Depuis combien de temps gardez vous des enfants?
– Peut on venir vous voir au parc pendant votre travail (pour juger)?
– Quelle est la conduite à tenir quand un enfant pleure? un enfant désobeit? un enfant refuse de manger?
– Que pensez vous de la fessée?
– Avez vous des recommandations de vos précédents employeurs?
– Comment imaginez vous une journée avec les enfants?
– Comment se passe les promenades?
– Quels jeux d’éveil connaissez vous? A quoi jouez vous?
– Comment vous occupez vous pendant les siestes?
– Acceptez vous de faire du repassage?
– Acceptez vous de remplir un carnet de liaison avec les horaires de repas et les siestes?
– Acceptez vous de gérer les maladies et les médicaments?
– Acceptez vous le lait maternel?
– Acceptez vous de préparer les repas avec des produits frais?
– Avez vous déjà gérer l’acquisition de la propreté chez un enfant?
– Faites vous du babysitting les soirs? les week ends?
– Quels sont les raisons du départ du précédent emploi?
– Comment prenez vous vos vacances?
– Fumez vous?

Bonne chance dans vos recherches !

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