Au secours, pas possible, déjà un mois sans article…

Tout est parti de nos vacances à La Clusaz, ainsi que des jours précédents. Les parents (enfin, surtout moi…) et les enfants étaient très fatigués, dont désagréables et à cran. Je vous reparlerai à l’occasion de la mémorable crise de nerfs que j’ai faite dans la voiture… Mais passons.

Quand les « Petits » sont petits, c’est difficile mais finalement, à part quelques cris, je m’en sors bien.

Quand les « Petits » sont plus grands, cela se complique. Notamment, quand à 7 ans (7 ans 0_0 !!), Grand Bonhomme se comporte comme un ado rebelle, râle pour tout et répond avec une certaine insolence. Là, j’avoue que je suis plus que limite et qu’à part punir à tour de bras, je ne trouve pas de solution. NDLR : Il faut que je vous reparle de le Discipline Positive… quand même.

Et c’est comme çà qu’à l’issue des vacances, les enfants étaient officiellement interdit d’écran pendant 4 semaines. Évidemment, comme toute punition (parce qu’il s’agit bien de cela), lorsqu’elle est à ce point disproportionnée par l’émotion, on réfléchit à la possibilité de la réduite. Mais pas cette fois ci, car, au delà de la punition, j’ai surtout eu envie d’instaurer un grand moment de respiration, une obligation pour chacun de trouver une autre occupation que simplement poser son postérieur devant des pixels. M’épargnant en théorie, dans le même temps, les débats sur les heures autorisées de télévision, le choix du programme, le capacité de chacun à jouer à tel ou tel jeu, les problèmes de sauvegarde de parties, etc… Et puis, lorsque ce n’est qu’une journée ou deux, personne ne s’en rappelle, tout le monde s’en moque. Là, un mois, ça devrait marquer les esprits !

Une fois faite exception la semaine de vacances chez les Grands-Parents, pour assurer la survie mentale de ces derniers, il s’est trouvé que, par un signe étrange du destin, les 4 semaines sans écran ont donc débuté samedi 1er Mars.

Je vous présente donc mon défi du mois de Mars : Occuper les enfants sans écran (tablettes, consoles (portables ou autres), télévision)

Cela en fera rire certains, qui n’ont pas la télévision et qui trouve que cela ne représente pas un défi en soi. Mais, pour nous, ça l’est. Et pour Monsieur peut être plus encore, car il a l’habitude, le matin du week-end, de s’allumer la télévision pour regarder les nouvelles. Et la télé reste allumée ensuite pour… ceux qui la regardent !

La télévision restera donc éteinte pour les enfants comme pour les parents jusqu’à ce que les enfants soient couchés. (Oui, je suis une vilaine maman, je vais quand même regarder des films ou des séries le soir pendant que mes enfants dorment…)

Bilan des 2 premiers jours : Monsieur a investit dans HOTEL Deluxe (Asmodee) !

Popples joue à HOTEL Deluxe

J’essayerai de vous tenir au courant avant la fin du mois !

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Déjà une semaine que l’évènement annuel a commencé. Oui, déjà. Parce que moi qui ne suis pourtant pas une dingue de tennis, le Tournoi de Roland Garros, j’aime bien.

D’abord, ca rappelle pleins de souvenirs. Au collège, on a toutes et tous passés quelques moments de révisions devant Agassi ou Courrier (comme le dit si bien Vincent Delermtexte ici pour les ordis muets), ca sentait la fin de l’année scolaire…

Quelques années plus tard, j’avais gagné des entrées pour les cours annexes et j’avais même réussi à récupérer un billet pour le cours n°1 en demandant aux personnes qui quittaient le cours en fin d’après midi. Heureusement que certains matchs finissent tard.

Plus récemment, en 2006, lorsque l’attente de Grand Bonhomme m’obligeait à rester couchée, c’est encore Roland Garros qui occupait mes journées. 15 jours bien agréablement passés.

Et cette année encore, c’est toujours un plaisir de retrouver cette tradition, même si le temps allant, je connais et reconnais de moins en moins les joueurs. Ah, plus guère le temps ma pauv’ dame…

D’ailleurs, à l’heure où j’écris ces lignes, Nadal, que je finirais presque par apprécier, peine un peu face à… Soderling. Dont je n’avais jamais entendu parler.

Nadal encore, à qui le rose va si bien, comme pour faire de la pub à Marinette


Recommandé par des Influenceurs

Et vous, Roland Garros, fan ou pas ?

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Mardi soir, j’ai osé la Nouvelle Star.

Les premières années, j’étais plutôt assidue. Je trouvais çà plutôt agréable. En plus, j’aimais bien le style Benji.

Les saisons passant, j’étais toujours fidèle à Virginie 1ière du nom mais j’avoue que je commençais à me lasser.

Cette année, je n’ai rien suivi. Vraiment rien. Sauf ce que les blogs veulent bien me dire. Et sans le son et les images, c’est quand même difficile de se faire une idée.

Et mardi, parce que je n’ai rien trouvé de bien à regarder (oui, je sais, j’aurais pu éteindre à cause de çà mais je ne l’ai pas fait !), je me suis dit, tiens, pourquoi pas la Nouvelle Star.

20h50 environ. Générique. Je reconnais les quelques notes qui s’égrainent pour débuter l’émission. Je vois deux boyz qui se trémoussent et l’un deux ouvre la bouche.

Blanc dans ma tête.

AAAAAAARRRRHHHH quel massacre! Mon dieu, n’est pas Jackson qui veut. J’en rigolais tellement j’étais accablée par tant de mauvaises notes et de faux chant. Heureusement pour ces deux (puis trois) bouchers, ils ont été rejoints par les filles puis par le reste de l’équipe, histoire de sauver les meubles.

Bon, soyons honnête, les prestations individuelles étaient moins catastrophiques que l’entrée en matière. Même si certaines voix sont plus dans mon style que d’autres.

Mais je ne peux m’empêcher de donner mon avis, comme çà, hyper spontanément
Dalé : est ce qu’il ne serait pas mimi en plus?
Soan : Non, c’est juste pas possible. Trop, c’est trop. Et pour mes yeux. Et pour mes oreilles.
Damien : Mon boucher du début avec son oeil éteint se rattrape un peu en cours d’émission.

Et pour finir, les mots à retenir pour faire croire qu’on y était :
« tu nous embarques dans ton univers ».
« ton personnage »
« tu nous délivres… »
« tu t’éclates… »
« vachement bien »

Les français moyens connaissent et utilisent environ 3000 mots. Le jury, visiblement, c’est moins.

Bon au moins, j’aurai essayé une fois. Probablement pas deux.

Au fait, Lio, va falloir retravailler les éclairages, t’as l’air d’avoir pris un bon coup de vieux…

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Dimanche dernier, France 3 a diffusé une émission sur les personnes rondes, grosses ou obèses : Le poids de la souffrance. Emission en 2 parties, apparemment déjà diffusée mais que, pour ma part, je n’avais jamais vu.

Je ne saurais pas vous donner avec exactitude le nom des personnes qui ont livré leur témoignage, je n’ai pas vraiment la mémoire des noms. Et puis ca ne parlerait pas à ceux qui n’ont pas vu cette émission.

J’avoue avoir été particulièrement touchée par ces vies. C’est bête, non? Emue jusqu’aux larmes de voir la réussite de chacun, les kilos perdus ou repris. Deux histoires en particulier.

D’abord celle d’un monsieur de 190 kg, incapable de marcher et au bord de la mort par la faute d’un coeur trop fragile. Soutenu, accompagné, opéré par un chirurgien qui avait l’air vraiment génial, attentionné. Une opération difficile mais réussie : Monsieur Sandermont (ben, oui, lui, je me rappelle de son nom), a perdu 34 kg en plusieurs semaines, marche, trotte presque, tout content de retrouver sa mobilité. Pourtant, le chirurgien interpelle sur le sort de toutes les autres personnes totalement en marge, isolées et qui sont dans le même état de souffrance physique et morale, mais complètement inconnues du système médical.

Ensuite celle d’une jeune fille, (22 ans je crois), qui avait pris des kilos au fur et à mesure de son adolescence, qui comprend par une psychothérapeute que le poids est échappatoire, traduction physique de sentiments inexprimés, inavoués.

Bref, des histoires de relations humaines autant que de poids.

Et là, j’ai pensé à moi. Et si c’était ca aussi, mon problème, les relations humaines… les sentiments inexprimés…

Finalement, ca n’est pas si bête que ca de pleurer en pensant à soi.

(Promis, demain, ca ira mieux !)

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