J’adore les arbres. Les vrais dans la nature. Les vivants et les morts. J’aime aussi les arbres artistiques, ceux qui sont sculptés, gravés, soudés. Si vous saviez ce que j’ai comme photos !

Pour notre mariage, notre tante nous a offert un tableau représentant un arbre de vie. Toute une symbolique à mes yeux.

A la naissance du Dernier, BelMôman a pris soin de me dégoter des vêtements remplis d' »arbres de vie ». Encore.

Et l’autre jour, chez Leroy Merlin (encore!), je suis passée devant un arbre. Mon arbre. J’avais trouvé l’arbre de la famille.

Il souhaite maintenant la bienvenue aux arrivants dans l’entrée l’appartement.

– Peinture Luxens Gris galets n°5 pour le cœur, c’est la couleur commune à toutes les chambres.

J’ai partagé les cœurs entre tous les enfants. 15 cœurs en tout.

– 6 cœurs Peinture Luxens Rouge Gourmand n°4 et Bleu Bleu n°4 pour les couleurs de Grand Bonhomme. Les plus petits cœurs mais aussi les plus nombreux.
– 4 cœurs Peinture Luxens Jaune Anis n°5 et Bleu Atoll n°4 pour les couleurs de Petit Bonhomme. Le moins de cœurs mais le plus gros de tous.
– 5 cœurs Peinture Luxens Jaune Anis n°6 et Bleu Atoll n°3 pour les couleurs du Petit Dernier. Un nombre moyen de cœurs de taille moyenne. L’équilibre.

Les deux oiseaux, c’est Monsieur (en Castorama Colours Sherwood) et moi (en Castorama Colours Orange Vif).

Lorsque je l’ai eu fini, j’ai pris le temps d’expliquer toute cette symbolique aux enfants. Je crois qu’ils étaient contents. Petit Bonhomme me dit souvent qu’il est fier d’avoir le plus gros cœur. Et le Dernier s’arrête et me montre les couleurs en désignant à qui elles appartiennent.

Bref, j’en suis à me demander si je ne vais pas partir avec la porte du placard, si nous devons déménager un jour !

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J’adore le bricolage. Le petit et le gros. C’est comme çà, c’est dans ma nature.

Déjà petite, j’adorais quand on rentrait après avoir acheté des meubles car je savais qu’on allait tout déballer et qu’il faudrait trouver la vis B qui va dans l’emplacement (2), etc…

Imaginer mon état quand on revient de chez IKEA !!

En 2012, point de nouveau meuble (enfin, très peu), l’appartement est déjà rempli.

Par contre, il était grand temps de donner un coup de jeunesse et de propreté, ainsi qu’une touche personnelle à notre chez-nous. En effet, hormis les chambres de Grand et Petit Bonhomme qui nous avions faites avant notre arrivée, le reste était resté tout blanc.

Quand le Dernier a eu 1 an, j’étais un peu plus au clair avec mes idées et mon organisation quotidienne, j’ai ressenti le besoin de retrouver une activité même minime.

Voilà comment….:

En juillet, j’ai fait installé 2 nouveaux meubles dans le cuisine, ainsi qu’un nouveau bar pour finir la cuisine « américaine ».

En août, nous avons changé le lave main des WC, monté un placard pour la pharmacie, refait tous les joints de carrelage et repeint le tout.

En septembre, Monsieur a peint 2 pans de murs du salon, et j’ai fait tous les autres, ainsi que le plafond.

En octobre, j’ai repeint le couloir, l’entrée et le coin bureau (plafond, murs et portes !) tout en blanc !

En novembre, j’ai posé le papier peint et repeint la chambre du Dernier.

Quand le Dernier dormait le matin, je posais les protections, quand il dormait l’après midi, je peignais. Il fallait juste finir 10min avant la sortie d’école pour avoir le temps d’une douche. C’est pas que je sois maladroite mais la peinture du plafond donne systématiquement des petites taches mouchetées partout sur le tête et hors de question de venir chercher mes enfants couverte de peinture.

L’appartement s’est transformé progressivement et je trépignais chaque soir quand Monsieur franchissait la porte pour découvrir la « nouveauté : quel mur aujourd’hui?

Maintenant que le Dernier ne dort plus le matin, les choses sont un peu plus compliqués et j’ai du faire une pause dans les travaux. Pourtant, il me reste encore :

– les peintures décoratives de l’entrée
– le remplacement de la porte de la cuisine par une porte coulissante
– les peintures décoratives du bureau
– toute notre chambre : le plus long !

C’est mon programme pour mars, avril et mai !

Et pourquoi je vous en parle aujourd’hui? Parce que j’ai remonté la peinture blanche, les bâches et les rouleaux de la cave : J’y crois fort!

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J’en rèvais depuis que nous sommes installés dans notre nouvel appartement. Avec cette grande terrasse, je ne voyais pas pourquoi je ne me laisserais pas tenter… par un composteur !

J’ai chercher quelques infos et constaté avec dépit que, normalement, un composteur se pose à même la terre. Damned! Je n’ai que des dalles au sol. Qu’à cela ne tienne, je suis une aventurière ! J’ai pris un grand bac en pierre lègué par ma BelMaman et l’ai baptisé « Composteur ». J’y ai jeté jour après jour les mauvaises herbes arrachées dans les pots de fleurs et j’ai attendu. Après quelques temps, je suis allée regardé le résultat et ô miracle, à la place des mauvaises herbes se trouvait de la bonne terre et des petites bestioles qui grouillaient à l’intérieur. Miracle de la nature !

Forte de cette victoire, j’ai décidé de passer à l’étape supérieure en installant un vrai bac à compost, un truc de plus de 5 litres de contenance. Et là, re-dépit, re-damned : ils font tous 100l au minimum ! Pour une terrasse, c’est un peu disproportionné.

Il fallait donc en fabriquer un moi-même. J’ai d’abord mûri le projet dans ma tête, en imaginant les dimensions : 80 cm x 40 cm. Avec un cloisonnement intérieur pour séparer le compost « rapide » du compost « lent ». Deux portes à l’avant pour fermer les bacs et permettre de retirer la terre plus facilement. Et un couvercle. C’était à peu près tout.

Je suis allée chercher au magasin de bricolage le bois en question. Et finalement non. Parce qu’il fallait se trimballer des bois de 2m ou 2,5m… toute seule avec Petit Der. Et aussi parce que les planches ne coutent pas le même prix selon leurs dimensions… Il fallait encore réfléchir à tout ca, pour ne pas acheter pour rien.

L’affaire commençait à traîner en longueur jusqu’à jeudi dernier.

Je suis sortie faire les courses et là, sur le trottoir, se trouvait un tas d’encombrants. J’aime bien regarder les encombrants parce qu’il y a toujours des petites choses à dénicher. Je rapporte d’ailleurs régulièrement des pots de fleurs, des planches de bois, des jouets… Bref, ce jour là, au milieu du tas trônait une vieille bibliothèque, comme Billy, mais en vrai bois. 80cm de large. On aurait dit qu’elle m’attendait. J’ai donc chargé la chose poussièreuse sur la poussette et hop, direction la maison.

J’ai cherché parmi tous les petits morceaux de bois mis de coté pour « le cas où », ceux qui conviendraient. Et un morceau d’escalier par ci, un vieux bout de tasseau par là, un fond de meuble pour compléter. Un recycleur fabriqué en recyclant, j’aime assez l’idée.

J’ai étalé l’ensemble sur la terrasse, pris les mesures et c’est parti.

 

48 clous, 32 vis, 4 équerres, 2 ou 3 petites choses, une sieste et un goûter plus tard, c’était fini.

 

Enfin, presque fini, ca il me manque encore les gonds des portes et du couvercle. Mais il est fonctionnel.

Après un aller retour chez Papa, j’avais complété mon équipement.

Un bac rapide pour les mauvaises herbes, les petites fleurs, les restes de tisanes, les pelures fines.

Un bac lent pour les morceaux de légumes et de fruits un peu plus épais, les pelures de pommes de terre et les plantes épaisses.

Voilà qui devrait me donner de la bonne terre pour mes plantations !

AVANT :

APRES :

Je n’ai pas pu résister à l’envie de le lasurer pour qu’il soit moins moche et plus résistant…

Et je vous ai dit que j’étais fière de moi?

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Aujourd’hui, bricolage simplissime !

Prenez de l’argile autodurcissable et façonner une forme semblable à un galet d’une part et une forme un peu plus pointue d’autre part. Sur la forme pointue qui servira de souris, façonner deux oreilles et coller les sur la tête de la souris. Enfin, insérer un fil de fer dans le derrière de la souris, qui servira à la fois de queue et de support de photo. Vous obtenez ca :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une fois l’argile bien sèche, passer deux couches de la peinture souhaitée,  vert pour la tortue et gris pour la souris. Tout autre couleur est bien entendu recevable !

Pensez à tortiller l’extrémité du fil de fer en spirale pour permettre d’accrocher les photos.

Réaliser ensuite la peinture complémentaires sur le dos des petits animaux (blanc pour la tête, noir pour les yeux, verts foncés pour le dos de la tortue). Une fois le tout bien sec, passez une ou deux couches de vernis. vous pouvez également coller des yeux en plastique si vous préférer leur donner un peu de volume. Le tour est joué !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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J’ai l’âme et la main verte. Les plantes vertes et les plantations, c’est mon truc. J’adore çà. Je ne peux pas passer à coté d’une plante en perdition sans l’emporter avec moi pour la rempoter et lui offrir une seconde vie. La SPPV (la SPA des plantes vertes, quoi !) c’est chez moi… ou à mon bureau. Parce que notre appart n’est pas si grand que ca quand même, alors je délocalise.

Ceci étant, tous les ans, j’ai pour habitude d’aller remplir mon chariot (et vider mon porte monnaie) dans une grand surface du jardinage (comprenez Truffaut, ou Botanic, pour l’essentiel). Sauf y’a 3 ans, parce que Grand Bonhomme, trop agité dans mon ventre menaçait de sortir trop vite. Sauf l’année dernière, parce que Petit Bonhomme devant pointer le bout de son nez au milieu de l’été, je pressentais ne pas pouvoir assumer les fleurs de mon balcon. Et moi, les jardinières à l’abandon, ca me mine. Donc non.

Pourtant, toutes les autres années, je faisais ma fière avec mes bacs remplis de géranium, capucine et autres plantes à pétales. Sauf que les pétales, ca tombe. Et ca colle (surtout les géraniums). Et ca laisse d’horribles traces sur mon balcon. Qu’il faut ensuite récurer avec brosse et détergent. Pas terrible tout ca. Ca m’a un peu (beaucoup) refroidit pour l’année à venir.

Et voilà pourquoi, cette année, le balcon autrefois chatoyant pour les yeux, sera dorénavant un plaisir… pour le nez. He oui, les bacs sont désormais munis de basilic, thym ou ciboulette. C’est peut être moins joli, mais au moins, c’est propre. Et en plus, ca peut servir en cuisine.

Enfin, nouveauté finale, nous avons investi dans un tuyau d’arrosage. Oui, quand on a un balcon de 2 mètres sur 5, ca peut paraître du luxe mais j’avoue que laver le sol ou la table avec un seau et une brosse, c’est long. Très long. Trop long. Vive le jet d’eau et l’arrosage facilité !

Ah, ca y est, on respire.

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La pédagogie Montessori indique que, pour donner son indépendance à l’enfant, il faut lui permettre de monter ou descendre de son lit seul.

Grand Bonhomme a commencé à se mettre debout à 6 mois et à marcher seul à 10 mois. Il était alors dans un petit lit de bébé classique (60 x 120). Nous avons essayé de le mettre sur un matelas directement sur le sol mais 2 problèmes sont apparus : d’abord, Grand Bonhomme pensait que c’était pour jouer et pas pour dormir… et ensuite, lorsqu’on le posait déjà endormi, il tombait du matelas au cours de la nuit. Bref, pas top !

J’ai donc imaginé un lit « intermédiaire ». Réalisation :

J’ai acheté sur un site d’enchère bien connu un petit lit de bébé pour vraiment pas cher : 5 euros. Il faut dire que je ne voulais pas sacrifier le beau lit que nous avions acheté pour sa naissance, voulant également le réutiliser pour Petit Bonhomme…

Il suffit de scier les barreaux à la hauteur souhaitée selon le modèle suivant : pour ma part, je souhaitais un lit de 35 cm de haut : j’ai donc coupé les barreaux à 32 cm du haut du lit, puis le long de la barre du bas.

Il faut ensuite percer un petit trou au niveau de chacun de barreau le long de la barre du bas.

On doit alors assembler les deux parties avec un clou dans chaque trou pour fixer chaque barreau pour le dessous.On obtient ainsi une barrière de 35 cm de haut.

Il ne reste plus qu’à couper la tête et le pied de lit à la bonne hauteur : les fixations supérieures de barrière latérale sont toujours les mêmes, il faut simplement faire des trous pour créer les fixations inférieures de chaque paroi latérale.

Une fois le tout assemblé, vous pouvez fixer le sommier pour ajouter le matelas, ou simplement, faire comme moi : poser le sommier sur le sol et le matelas par dessus.

J’ai finalement peint l’ensemble avec une peinture couleur « biscuit ». Le lit, les clous et la peinture compris, je pense que j’en ai eu pour 30 euros maxi !

Aujourd’hui, Grand Bonhomme a 2 ans, il est toujours dans ce lit qui lui permet de faire ce qu’il veut quand il veut. Enfin, dans quelques mois, Petit Bonhomme pourra utiliser ce lit de « moyen » alors que Grand Bonhomme aura droit à un lit de « grand » !

En fait, je n’ai jamais trouvé ce type de modèle dans le commerce et pourtant, je pense que cela pourrait correspondre à la demande de beaucoup de parents…

A vous de bricoler !

Voici le résultat :

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Comme Grand Bonhomme commence à s’intéresser à l’écriture et la lecture, j’ai pensé qu’il était temps d’aborder les lettres rugueuses.

En recherchant sur internet, j’ai trouvé 2 méthodes : une chez les Petits Pois et l’autre ici : moi, j’ai choisi de faire un mélange des deux.

Le support : une planche de bois de 3mm d’épaisseur, acheté 4 euros en magasin de bricolage. La découpe étant payante, j’ai pris ma scie sauteuse pour faire moi-même des carrés de 15cm de coté (en prenant soin de passer du papier abrasif sur tous les cotés pour éviter les échardes). Le seul défaut : les carrés ne sont pas toujours parfaits. Ben oui, c’est fait main !

La couleur : appliquer de la peinture me semblait un peu long, alors j’ai choisi d’acheter des feuilles plastiques autocollantes de type Vénilia, rouge pour les voyelles et bleu pour les consonnes : 11 euros le rouleau de 45 cm x 2 m. J’y découpe des carrés de 15cm de coté, évidemment 6 carrés rouges et 20 carrés bleus. La fabrication des lettres ne consomme qu’une petite partie du rouleau qui peut être ensuite utilisé par ailleurs.

Les lettres : j’ai acheté du papier abrasif, le moins cher, toujours dans mon magasin de bricolage : 2 euros. J’ai imprimé la page suivante pour avoir la forme des lettres que j’ai reproduite sur le papier abrasif.

Il suffit ensuite de coller le papier autocollant sur les carrés de bois, découper le surplus au cutter, enfin coller au centre une lettre et voici le résultat :

Au fait, je ne sais pas si c’est très « montessori » mais j’ai ajouté un repère en bas à droite de façon à ce que mon Bonhomme, lorsqu’il manipule les lettres seul, sache dans quel sens les « lire ». Il avait tendance à les retourner dans tous les sens, ces symboles ne signifiant aujourd’hui rien pour lui. Cette petit indication est repositionnable et donc supprimable lorsqu’il aura appris les lettres…

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