Déjà plusieurs semaines (et même mois) que je n’ai rien posté. La faute à plein de petites choses qui s’enchainent et dont je n’ai pas très envie de parler ici.
Quand j’ai choisi de commencer à bloguer, il y a maintenant plus de 6 ans (le 25 août 2008, waouh), je ne savais pas trop où je voulais aller mais je savais que j’avais des choses à dire et envie de les partager.
6 ans après, je me dis que, contrairement à ce que je pensais alors, écrire ici c’est assez compliqué.
D’une part, je voudrais parler de ce que je fais, de choses sympas et intéressantes et des gens que je rencontre mais je me demande si tout cela ne serait pas trop superficiel.
D’autre part, je voudrais tout livrer, tout mettre sur la table sans craindre les commentaires, les critiques et les jugements. Je l’ai fait parfois, plus ou moins adroitement. Mais les écrits pourraient vite ressembler à une succession de lamentations car je finirais par vider ici le sac que je porte chaque jour. Au quotidien, quelque soit ce que je ressens, je suis quelqu’un de très positif et très gai. Je pense vraiment apporter du sourire aux gens qui m’entourent et je ne vois pas pourquoi mon blog serait différent.
Et parfois même je me demande ce que je ressentirais si quelqu’un que je connais bien le lisait.
Voilà pourquoi ces derniers temps, je suis restée en retrait. Pas de nouvelles majeures à annoncer, pas de catastrophe non plus, juste un petit coup de mou, comme on dit.
En résumé, le mois d’octobre a été une succession de merdouille, de problème, de maladie, de bobos, de stress… Une entorse qui m’a empêché de courir mon Odyssea qui comptait tant pour moi, un lave vaisselle qui rend l’âme du jour au lendemain, une entaille à la main en remplaçant le-dit lave-vaisselle, des rhumes et des gastro par-ci par-là, une combi angine-sinusite qui m’a clouée au lit 2 jours (ce qui ne m’était pas arrivé depuis une grippe en 2001 !), des heures et des heures d’attente dans des salles d’attentes bondées de médecins plus ou moins généralistes et divers, un Monsieur absent plusieurs jours et le froid qui s’installe…
J’entame donc le mois de décembre particulièrement fatiguée, laissant la porte ouverte à tous les virus du moment. Rebelotte le rhume, les verrues qui ne partent pas, le bouton de fièvre assez systématique…
Voilà voilà.
Mais je pense pouvoir faire le tri, et essayer à l’avenir de donner une tournure un peu moins négative à ce que je raconte.
Je ne dis pas que tout sera toujours parfait dans le meilleur de monde car, puisque je cache beaucoup mes sentiments aux gens qui m’entourent, il arrive que parfois tout déborde.
Dans tous les cas, je ferai de mon mieux.
NB : ce mail a été écrit après une soirée bien arrosée d’alcool et de larmes (de rire, de tristesse et d’émotion)… Pardon pour le style.
J’attends de te lire avec impatience !
Bises !
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