En juin dernier, mes Bonshommes, Monsieur et moi avant eu la chance de tester en avant première le nouveau jeu vidéo Disney Infinity. Évidemment, ce petit aperçu n’a pas été suffisant pour les enfants, il en fallait plus ! Pendant les semaines qui ont suivi, je n’ai cessé d’entendre “quand est ce qu’il sort, le jeu?” “Quand est ce qu’on l’aura?” etc… La patience n’est vraiment pas leur point fort.

Lorsque le facteur nous a remis la boîte, la soirée ne fut que “Hiii!!!”, “Hoo!!!” et “Haaa!!!”.

Déballage : En plus du Pack de Démarrage qui se compose du jeu, d’un plateau pour connecter les figurines au jeu, du trophée des 3 aventures et de 3 figurines que sont Sully, Jack Sparrow et Mr Indestructible, nous disposions par ailleurs de Violette, Flèche et de Barbossa. Les figurines sont vraiment très jolies et les personnages fidèlement représentés. Hélas pour elle, Violette a perdu la tête dès le premier jour après que le Dernier lui ai fait faire une cascade du haut de la table basse. Fort heureusement, cela n’empêche pas la figurine de fonctionner. Je n’ai juste pas réussi à la recoller.

Démarrage : sur ce point là, on a un peu galéré parce qu’à l’époque, il fallait connecter le jeu PS3 au réseau et comme le site n’était pas prêt, le jeu plantait et on redemarait… et belote… et rebelote. Jusqu’à ce qu’internet nous dise de couper la connexion réseau avant de démarrer le jeu et là, oh miracle, nous avons pu jouer. Mais pas en réseau, ce qui n’est pas préjudiciable pour mes Bonshommes qui restent en mode “local”.

2 modes de jeu s’offrent à vous :
D’abord, la ToyBox, univers virtuel que le joueur organise à sa manière pour y jouer librement. Là, toutes les figurines et les mondes se mêlent. C’est le concept majeur d’Infinity : créer et jouer à l’infini sans contrainte de monde préformaté ou de personnages prédéfinis.
Ensuite, les aventures, qui se font dans un monde en particulier, et qui ne se jouent qu’avec les personnages du monde en question. Avec le pack démarrage, vous avez 3 aventures et une figurine de chaque aventure. C’est ce dernier mode que mes enfants ont préféré et qu’ils ont découvert ensemble. Avec nos éléments ils pouvaient donc attaquer les aventures “Pirates” et “Indestructibles” à deux.

Évidemment Monsieur n’a pas résisté très longtemps à l’appel de Disney Infinity et est revenu 2 jours après, muni du Pack Aventure Cars, composé du Trophée aventure et des figurines de Flash McQueen et Holly Shiftwell. Sans compter quelques Power Discs qui apportent des pouvoirs ou des options dans le jeu.

A l’écran, les dessins sont magnifiques et les personnages très naturels. Les mouvements, notamment les mouvements spéciaux liés au super pouvoir des Indestructibles par exemple, ainsi que leur façon de se battre, reproduisent très fidèlement les mouvements du film. On a l’impression de manipuler le vrai personnage et pas seulement un “pion”. C’est vraiment génial de voir Flèche se battre !

A l’usage, je peux vous assurer que les Bonshommes s’amusent beaucoup avec.

Grand Bonhomme (7 ans), qui ne jouait pas souvent avec la PS3, plus habitué à la Wii, a très vite intégré le maniement des personnages. La maniabilité est aisée, les personnages peuvent faire énormément de mouvements pour ce type de jeu et il existe également des mouvements combinés. Ceci étant, bien que les Bonshommes s’éclatent en se portant virtuellement, le jeu étant prévu pour être joué seul, les mouvements à deux n’apportent pas de bonus supplémentaires ou de niveaux spéciaux.

Pour Petit Bonhomme (5 ans), la prise en main a été un peu plus longue mais je dois reconnaitre qu’il m’étonne tout de même lorsqu’il joue : il s’en sort plutôt bien ! Parmi les points qui le gênent, il y a le fait que les personnages peuvent “chuter”. En comparaison avec le jeu concurrent, dans lequel les bestioles ne peuvent pas tomber des plates formes, ici, Mr Industructible s’est vautré du haut des immeuble un nombre de fois incalculable ! C’est frustrant pour un “Petit” qui a déjà lutté pour monter en haut de l’immeuble… et qui doit tout refaire. Par ailleurs, lors du jeu à deux, l’écran est scindé verticalement, ce qui limite la visibilité alentours. Et comme, de plus, les deux personnages en jeu ne sont pas “liés”, il est possible de s’éloigner énormément de son compagnon, ou bien d’être juste à coté sans s’en rendre compte. Petit Bonhomme qui est toujours collé comme une ventouse à son frère était souvent en panique en criant “attends moi !”.

Une fois compris le principe de la recherche des missions et de leur exécution, le jeu est assez facile. Mais je reconnais que, à certain moment, je n’ai moi-même pas réussi à débloquer les Bonshommes lorsqu’ils étaient bloqués dans une mission : Monsieur, ce gamer de compet’, est venu à notre secours en deux temps trois mouvements. Ceci signifie surtout que Disney Infinity, s’il semble de prime abord destiné à un public jeune, est en fait tout à fait calibré pour un public adulte amateur, comme moi !

Sachez donc que Disney Infinity a pris une place de choix dans notre gamethèque (est ce que ca se dit?) et que les Bonshommes y jouent avec tellement de plaisir que j’ai beaucoup de difficultés pour leur voler les manettes !

Et juste après sur le blog, un petit concours pour que vous aussi, vous partagiez notre plaisir Infini(ty)…

Jeu offert par la Marque. Merci Disney !

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Quand j’étais petite, je me rongeais les ongles. Et pas qu’un peu. Et ceci, d’aussi loin que je m’en rappelle.

De cette époque pas si lointaine (si, j’ai le droit d’y croire !), j’ai gardé la manie de mettre mes doigts à ma bouche dès que je suis stressée et les ongles mous.

Mais mous, vraiment mous. Du genre que tu plies en appuyant juste un peu dessus et que tu déchires dès qu’ils accrochent n’importe quoi. Et dédoublés, avec çà : la totale ! Pourtant, j’ai essayé des tas de “trucs” et surtout les fameux sérums et autres vernis durcisseurs. En vain.

Jusqu’à ce que je tombe sur un article je ne sais plus trop où, qui parlait de Mavala Scientifique et de Hérôme. J’ai donc décidé de tester les deux.

D’abord Hérôme, sur les conseils de mon esthéticienne.

Il faut appliquer une première couche le premier jour, une deuxième couche le deuxième jour, tout retirer le troisième jour et recommencer ainsi de suite. Et moi, ce truc de compter les jours, ça m’a pris un peu la tête. J’oubliais d’en mettre un jour sur deux et oubliais de retirer régulièrement. Ce qui fait qu’après plusieurs jours, j’avais obtenu le résultat tout opposé, à savoir des ongles tout cassants et pourris. Bref, ça n’était pas du tout une réussite.

Ensuite Mavala Scientifique.

Le produit s’applique quand on veut, ce qui rend la chose plus facile. Il pénètre complètement l’ongle au lieu de laisser une couche en surface comme du vernis et ça, j’aime bien. Conformément aux instructions, il faut faire attention à ne pas toucher la peau, ni les bords de l’ongle, sinon la peau et les cuticules risque de durcir. Quelques jours ont suffi pour que je vois une amélioration. Si j’en mets un jour sur deux, sur trois, pas de problème. Quand je pose du vernis, je n’en mets pas pendant plus d’une semaine et ça ne pose pas de soucis non plus. Je continue à en mettre de temps en temps et mes ongles sont nettement beaucoup plus beaux, durs, solides. Plus de dédoublement.
En résumé, je suis très contente.

Bien évidemment, je suis une très mauvaise testeuse, je n’ai absolument pas regardé la composition du produit, mais certaines le font vraiment mieux que moi. Donc, oui, il contient beaucoup d’horreurs. Notez bien, que, pour ma part, hormis l’odeur un peu bizarre, je ne ressens aucune douleur. Et je suis bien d’accord pour dire qu’il est hors de question de s’appliquer un produit si c’est pour souffrir, même si c’est pour être belle ! Bon, pour une fois, je ferme les yeux sur les mochetés de composition, parce que je trouve que le résultat obtenu est vraiment plus que correct. Par contre, j’ai probablement intérêt à arrêter de me coller les doigts dans la bouche sous peine de boulotter des cancérigènes en direct !

Enfin, une conséquence inattendue à cette réussite : je n’arrête pas de me griffer !

Et la prochaine fois, je vous parle de ma petite collection vernis !

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Bouquet

Le 1er juin dernier, ma copine S. s’est mariée. Et c’était magnifique.La mariée était rayonnante – mais quelle mariée ne l’est pas?

Une belle cérémonie à base de “je t’aime”, de baisers, de “pour la vie”, de larmes, de “pour le meilleur et pour le pire”, d’accolades…. Tout ce qui fait un mariage comme on en rêve. En plus, après des semaines de météo automnales, le soleil était là ! J’ai même croisé des enfants magiques, qui sont restés assis pendant toute la cérémonie. Si, ça existe, je vous jure. Heureusement qu’on n’avait pas emmené les nôtres !

Bien évidemment, ils étaient tous les deux très sincères et c’était beau comme tout.

Bien entendu, de mon coté, 10 ans de mariage m’ont fait parcourir suffisamment de chemin pour avoir croisé quelques désillusions. Mais on a juré “pour la vie”…

Le jour J, nous aussi, on était beaux comme des camions. Enfin, surtout moi. Pourtant, ça n’avait pas été une simple affaire.

Pour celles (et ceux?) qui me suivent sur Twitter, j’avais d’abord mis plusieurs jours pour trouver une robe à mettre car les quelques kilos qui perdurent sur mes hanches (et mon ventre…), ne me permettent pas de porter tout et n’importe quoi. Une dizaine de magasins et une trentaine de robes plus tard, j’avais réussi à dégoter chez Etam deux robes dignes de ce nom. V’là comme j’étais fière.

Je tiens d’ailleurs à signaler ici que je crois, je suis sure, que les marques ont modifié leurs critères de taille. Parce que, alors même que je ne rentre toujours pas dans mes anciennes robes taille 38, voire 40 (qui prennent la poussière dans mon placard), il se trouve que je fais maintenant du 40 facile, voire du 38 selon les marques. Inimaginable.

Bon, là, c’est moi ! … comment ça, tu n’y crois pas? Etam (39,95€)

Il faudra ajouter deux jours et 10 magasins de chaussures pour une paire de chaussures cohérentes. Et ma Maman de s’offusquer “Avec toutes les paires de chaussures que tu as déjà, il t’en faut vraiment une autre?”. Évidemment ! Eram (69,90€)

Et avec çà, je vous mets quoi? Ben, un vernis à ongle, tiens! Pile de la couleur de la robe. Avec un effet néon, absolument génial en lumière noire pendant la soirée.

 Sephora Nails Inc. Portobello (14€)

Pieds

Mes pieds…

Nail.Inc.Portobello

… et mes mains.

Et quelques fleurs pour mes cheveux, dégotées chez Naf-Naf et chez Etam…

chignon

Il aura fallu des jours et des jours pour que je rassemble tout cela. Mais pendant tous ces moments, je n’ai pensé qu’à moi, qu’à mon physique et à ma petite personne. Bien sur, je dois avouer que les débuts ont été difficiles : me regarder de nouveau dans la glace, m’accepter dans ce corps autre, me découvrir dans de nouveaux vêtements… et j’ai fini par apprécier ces moments là. Ca faisait chaud à mon cœur, ça mettait des pansements sur mes plaies intérieures…

Le jour J, j’avais fait la totale : robe, chaussures, manucure, maquillage… J’ai même réussi à faire un beau chignon banane. Je crois que je n’avais jamais été aussi apprêtée depuis des années. Grand Bonhomme m’a accueilli par un “Waouh, t’es belle, j’t’avais pas reconnu !”.

Il faut être lucide pourtant. Sur les photos de groupe, entourée de mes amis plus sublimes et minces les unes que les autres, j’avais l’air d’un sac à patate dans ma robe corail mais qu’importe, le plus dur était passé : j’avais pris du temps pour moi et j’avais fini par (re)prendre du plaisir à m’occuper de moi.

Depuis, je me suis racheté une robe et des hauts un peu classes et légers que mes T-shirts habituels. Je me suis même refait des chignons parce que, finalement, ce n’est pas si compliqué.

Sans le savoir, S. m’a offert avec son mariage le plus jolie des thérapies.

Soleil

Le soleil était là…

La Mariée était jolie…

Table

Fleurs

enfantsmariage

Les enfants magiques sont aussi bien coiffés…

Enfantsmariage4

Les enfants magiques savent jouer sans se salir…

On a bien mangé…

… et bien bu!

 N.B : Les “dragées” étaient en fait des M&M’s personnalisables que vous trouverez sur My M&M’s, très sympa pour ce genre d’occasion, mais aussi pour un anniversaire par exemple.

 

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Pendant les dernières vacances, Monsieur nous a rejoint et, confiant touuuuus mes enfants à leurs grands-parents, nous sommes partis pour une journée et une soirée en amoureux dans les Vosges, en prenant soin de réserver notre diner à l’Auberge de l’Ill. Il faut dire que nous fêtions notre 9ième anniversaire de mariage.

Comme je ne rentre toujours pas dans mes vêtements “classe”, je ne me suis cette fois ci, pas posé de question et j’ai enfilé mon jeans. Avec une jolie paire de talons et une veste, ça le faisait.

Le restaurant est très classe et feutré mais j’ai trouvé la décoration un peu “dépassée”, avec un petit coté 70’s… Même si, de toutes façons, on n’était pas venu pour la déco !

Le service est sympathique et présent comme il le faut (et porte à merveille une cravate estampillée du logo de la maison dans des couleurs de plus ou moins bon goût…).

Nous sommes installés à une table d’amoureux, entourés d’un groupe d’amis, un repas d’affaire, un père et ses filles, ainsi qu’une famille: la clientèle est variée.

Voici le Menu Dégustation Haeberlin (Vous allez m’en vouloir mais j’ai oublié de prendre de photos !)

Quand le homard est arrivé, je l’ai boulotté avec avidité parce que j’avais un peu les crocs. N’empêche, il était délicieux, ainsi que la salade d’ananas et quinoa. L’asperge croustillante était savoureuse à souhait. C’est probablement le plat qui m’a le plus plu.

Le filet de sandre qui a suivi, était cuit à la perfection et j’ai beaucoup aimé l’émulsion à l’anguille fumée.

La noix de ris de veau qui a suivi m’a paru un peu grasse mais les morilles étaient excellentes. Je n’ai par contre pas trop adhéré aux petits pois.

Au stade du suprême de pigeon, mon estomac commençait à être un peu rempli. Le plat était pourtant superbe mais le fleischshnaka (sur le coup, on s’est demandé ce que c’était…) rendait le plat un peu dense.

Heureusement, c’était la pause… fromage ! Le chariot était rempli à souhait et certains fromages étaient bien corsés, exactement comme j’aime.

A ce moment là, j’ai réalisé qu’il fallait que je prenne des photos. Mieux vaut tard que jamais.

Parfait glacé au nougat

Riz au lait mousseux

Les desserts étaient fort heureusement assez légers et frais car nous commencions à arriver à saturation.

 A l’arrivée des mignardises, on se demande comment ca rentre enrore. Sans compter les petites chocolats pour conclure. Moi, je me sentais sur le point d’exploser !

Pour information, nous avons choisi d’accompagner notre repas avec un Riesling Hugel Jubilée (mince, j’ai oublié l’année…) et un Bordeaux Château Haut Marbuzet 2004 (notre année!). A vrai dire, j’aurais bien aimé avoir un vin différent et adapté à chaque plat. Je pense qu’il aurait suffit de demander mais nous n’y avons pas pensé et cette possibilité n’est pas proposée sur la carte.

A la sortie, nous étions satisfaits quoiqu’un peu gavés. La prochaine fois (ah ah ah), je choisirai à la carte :
– L’oeuf poché croustillant servi dans un velouté de petits pois à la française , parfumé à l’anguille fumée,
– Le carré de cochon de lait en croûte  de bretzel, couennes laquées croustillantes et ragoût de fèves à la sarriette,
– La saumon soufflé “Auberge de l’Ill”

Nous avons alors pu “rouler” jusqu’à notre chambre, situé de l’autre coté de la rue. Le restaurant est accolé à un magnifique hôtel mais pour des raisons bassement pécunières, nous avons choisi l’Hôtel Les Hirondelles 3 étoiles situé un peu plus loin dans la rue (Chambre correcte et propre, environnement tranquille, salle de bain un peu décevante).

A vous de voir si vous passez par là !

L’Auberge de l’Ill
68970 Illhaeusern

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Il y a quelques semaines, puisque les Bonshommes étaient gardés par leurs grands-parents, nous nous sommes accordés une petite soirée resto en tête à tête. C’est Monsieur qui s’est chargé de dénicher le lieu et connaissant mon gout pour la cuisine japonaise, il a choisi le Momoka.

C’est un (tout) petit restaurant de 15 ou 20 couverts, qui se remarque surtout pour sa simplicité : une minuscule cuisine et aucune déco superflue. Une nouvelle version de ce restaurant s’est ouverte quelques mètres plus haut dans la rue, la salle y est plus spacieuse et c’est là qu’officie désormais Masayo. Les légumes sont ensuite “transportés” dans le restaurant historique dans des boîtes tupperware, ce qui est pour le moins déconcertant quand on ne s’y attend pas. Pour notre part, nous avons choisi le Menu Découverte – menu unique pour la table-, sans connaître son contenu, qui varie d’ailleurs selon l’humeur de la Chef.

La serveuse parlant assez mal français (elle échangeait d’ailleurs en japonais avec le chef en cuisine), nous n’avons pas toujours compris ce que nous dégustions. Je peux par contre vous assurer que c’était délicieux !

Entre la mise en bouche, l’entrée, les deux services de plats et le dessert, nous nous sommes régalés.

Mentions spéciales pour l’aubergine confite – une tuerie -, les sardines et le poisson en sashimi – fondants!- et le tiramisu.

Il faut y entrer sans idée préconçue et sans exigence quant aux choix proposés. Inutile également d’espérer vous gonfler la panse de riz et de sushis tassés. Nous sommes repartis rassasiés mais sans avoir le ventre débordant. Je trouve que c’est une des qualités d’un bon restaurant : savoir ajuster les quantités pour sortir de table sans avoir faim mais sans avoir le sentiment d’avoir trop manger.

Petit bémol : le prix. Il faut compter 49 € pour le menu Découverte, sans les boissons. Ce n’est pas donné mais la qualité, l’originalité et l’authenticité ont un prix.

Et en parlant de boisson, j’ai choisi le jus de yuzu et Monsieur le jus de yuzu au saké. Je ne connaissais pas le jus de yuzu (Pour moi, le yuzu, c’est un gel douche Ushuaïa !) et j’ai trouvé çà très bon et rafraichissant. Ça m’a rappelé le jus de calamansi qu’on buvait aux Philippines. Et en goûtant la version alcoolisé de Monsieur, j’ai regretté ma sagesse !

Momoka
5 Rue Jean Baptiste Pigalle
75009 PARIS

NB : Ces assiettes vides sont la preuve que tout était absolument divin !!

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J’ai toujours adoré les chaussures. C’est un peu mon péché mignon. Avec les sacs.

Sauf que je suis une fille raisonnable et que, même quand je craque, je prends sur moi pour ne pas craquer… Voyez un peu comme c’est compliqué.

Mais comme dirait l’autre, tout çà, c’était avant. Avant d’avoir des mouflets.

Parce que depuis que je suis constamment entourée de mes Bonshommes, allez dans un magasin, essayer une paire de chaussures et réussir à la payer relève de l’exploit.

Et c’est là que le dieu du commerce et des comptes en banque vides en fin de mois a mis sur ma route le site internet de Zalando.

Quel plaisir de pouvoir surfer à la recherche de la chaussure parfaite au calme alors que tout le monde dort.

Quelle facilité de pouvoir payer sans tenir un bébé par la main, un sac à main dans l’autre, un enfant dans la suivante et la poussette dans la dernière. Ah bah non, on n’a que 2 mains.

Quel confort de pouvoir essayer ses chaussures sans s’emmêler les pieds dans les boites ou les chaussures des autres, sans surveiller d’un oeil qu’il n’en manque pas un des Trois, sans crier sur l’un d’entre eux qui justement a disparu.

Evidemment la livraison ET le retour sont gratuit. Quelles que soient vos raisons, vous pouvez renvoyer les chaussures sans aucune explication.

C’est comme çà que j’ai pu dernièrement me concentrer sur l’achat d’une paire de chaussures noires. Pour faire l’hiver au parc avec mes lardons. Un truc simple, pas trop cher.

Monsieur a même déjà commandé des chaussures en plusieurs tailles parce qu’il n’est jamais bien sur de celle qui lui convient. La seule limite, évidemment, c’est qu’il faut avancer l’argent pour recevoir les chaussures avant de se faire rembourser des chaussures retournées.

Moi, j’en ai profité pour choisir une nouvelle paire de chaussures pour le Dernier qui va bientôt passer du 20 au 21. Et franchement, elles sont toutes plus craquante les unes que les autres :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bon, au final, les chaussures que j’avais choisies pour moi ne m’allaient pas du tout et je les ai donc renvoyées : c’était si simple !

Par contre, le Dernier a gardé ses shoes, il les adore !

Et merci à Zalando d’avoir participé à l’achat des nouvelles chaussures de mon Dernier.

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Enfant, j’ai toujours été nulle en orthographe et en grammaire. Il m’a fallu beaucoup de temps pour progresser et j’avoue avoir franchi un cap important en travaillant sur word car la correction orthographique souligne instantanément les erreurs et indique aussi vite les corrections.

Malgré cela et tous mes efforts, je sais que je frappe encore avec des fautes (qu’il ne faut d’ailleurs pas hésiter à me faire constater !). Je suis loin d’être parfaite.

Les journalistes, la télévision et la radio écorchent régulièrement mes oreilles. Mais finalement, à l’oral, ce qui est dit, est dit.

Sur l’écrit, je suis un peu plus exigeante, d’autant que, dans certains cas, c’est assez incroyable…

Oui, ceci est un pyjama. Avec un lapin.

 Oui, on peut zoomer sur le lapin.

Je lis “mon p’tit doudou lapin aime le trèfle”

Il a un “oeil coquin”… voilà qui est bien…

et également des…

JOLIS OREILLES !!

Sans déconner, c’est énorme !!

Au fait, c’est Orchestra qui fait çà.

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Il y a quelques temps, je passais commande chez MamaNANA et vous racontais mes déboires en matière de soutien-gorge. Et quelle ne fut pas ma surprise de découvrir dans les commentaires, un petit mot de Ségolène, en personne, m’invitant à demander des conseils et me proposant une réponse personnelle. Oui, parce que Ségolène, c’est le genre de fille qui ne lâche pas le morceau. Elle voit une fille pas satisfaite de son site et hop, elle s’empresse d’aller chercher une solution. Le service, quoi !

Initialement, j’avais pris mes mesures et commandé 3 soutien-gorges, en 90C et 95C. Et puis rien n’allait. J’avais presque un pied chez Aubert.

Suite à ma conversation téléphonique avec Ségolène, les 90C étaient rendus au profit de 85D et 85E, le 95C devenait un 90D voire un 90E.

Après les denières essayages, j’ai rendu les 85D et gardé le 90E et le 85E (quoiqu’un peu sérré…).

Voilà, je fais un 90E. Maintenant, c’est sur.

Et je suis tellement sure de moi que je vais m’en recommander un autre !

Mais cette fois ci, j’ai demandé un nouveau conseil personnalisé, pour bien choisir le modèle et la taille…

Pour finir, bon à savoir, à propos de l’un de mes deux nouveaux soutien-gorge qui se ferme avec un aimant.
D’un, le petit aimant s’est décollé. Ce qui n’est ABSOLUMENT pas normal, d’après Ségolène. Elle était prête à me le reprendre pour le faire réparer. Mais je me suis contenté de le recoller perso et ca a l’air de tenir.
De deux, le problème du petit aimant, c’est que, le matin, avec les seins bien remplis de lait, il n’aimante plus grand chose…

A moins que je ne fasse une 90F….?

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Je ne l’ai pas précisé, mais c’est presque une évidence :  j’allaite.

Je vous parlerai un peu plus en détail de cette troisième aventure laitière. Aujourd’hui, je vous raconte un court instant mes déboires vestimentaires.

Pour mon premier allaitement, j’avais refusé d’inverstir, car 1) je pensais arrêter un peu plus tôt que ce qu’il n’en fut dans la réalité et 2) tout le monde m’annonçait pour bientôt le passage en lactation automatique, qui n’est en fait intervenue que vers les 9 mois ou 1 an de Grand Bonhomme… voire même un peu jamais, en fait. Je me suis donc contenté des Anita de base. Blanc moche.

Pour mon deuxième allaitement, j’ai repris mes vieilles rognes agrémentées des SG que ma Soeurette avait acheté et finalement peu amortis au vu de son allaitement foiré.

Pour ce troisième allaitement, je n’ai pas encore trouvé le temps d’en acheter de nouveaux. Je me trimballe mes horreurs sans forme, trop petits, trop grands, jaunâtres, défraichis. Je le clame haut et fort : JE HAIS mes soutien-gorge d’allaitement. C’est bien simple, j’ai envie d’y mettre le feu. Hélas et jusqu’à ce que je fasse chauffer la carte bleue, impossible de passer à l’acte car je ne peux pas m’en passer.

Après mûre réflexion, j’ai décidé de sauter le pas et commander sur Mamanana. Emballée que j’étais. Enthousiaste même. Je me voyais déjà fanfaronnant en sous vétement dans la chambre parentale.

Le colis est arrivé et je me suis jeté dessus. Hélas pour moi, mon désarroi et ma déception ont été à la hauteur de mon empressement et de mes attentes.

Alors soit je suis difficile, soit je suis mal proportionnée, soit y’a un problème dans les mensurations. Mais le fait est qu’en suivant les instructions de prise de mesure à la lettre, je me suis retrouvée avec des seins débordants, version 4 morceaux. Tristesse, ruine, larmes et infâmie. Même mes seins ne peuvent plus rien pour moi !

Résultat, j’ai renvoyée la commande et je m’apprête aujourd’hui à faire une virée chez Aubert pour essayer avant d’acheter un basic SG Anita. L’histoire est un éternel recommencement…

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Ca fait plusieurs jours que je veux vous en parler mais les vacances (les vraies, hein, les vacances scolaires!) ont sur moins un effet pervers… je m’occupe, je range, je fais le ménage, je rempote, je cuisine… Mais pas plus de deux heures par jour, je suis sérieuse quand même. Mais donc, j’ai de la lecture et des articles en retard. Enfin, passons.

Depuis quelques temps, nous cherchions un petit abri ou une petite maison pour nos lutins mais les maisons “plastique” ne correspondent pas au style de la copro. Il fallait donc chercher dans les maisons en bois. Coup de chance, nous sommes tombés sur un promo chez Leroy Merlin. Malheureusement, pour une raison que j’ignore, cette promo n’est plus visible sur leur site mais d’après le dépliant papier, elle est toujours d’actualité. Enfin, au moins jusqu’au 25 avril.

Dans tous les cas, j’ai trouvé un lien chez Castorama et je suis sure qu’on peut la trouver ailleurs.

Aussi, il y a 2 semaines, nous avons investis 150 malheureux euros dans l’achat d’une petite Maisonnette Coccinelle (quel jeu de couleurs!) pour nos Bonshommes. La maison est facile à construire mais il faut quand même compter 3 heures environ de montage. Peut être que ca aurait pris moins de temps si j’avais eu le droit d’y participer ! Au départ, la finition du bois n’est pas exceptionnelle, le bois brut est assez moche et pas toujours très lisse. Nous avons passé une première couche de lasure de protection et il me reste maintenant à poncer très légèrement et repasser une deuxième couche de lasure pour parfaire la maisonette. Franchement, le résultat est plus que correct. Nous pouvons mettre à l’intérieur les vélos et les trottinettes des Bonshommes et ils adorent s’y cacher pour jouer avec la malette de docteur ou la petite cuisinière. Très bon investissement !

Au fait, aujourd’hui, je suis à 6 mois de grossesse : Yihaaaaa!

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