Comme je vous l’indiquais précédemment, j’ai, depuis septembre, décidé de mettre au point un petit rituel qui consiste à sortir un soir par mois entre Monsieur et moi, histoire de nous retrouver un peu à deux et pas toujours à cinq. Je ne suis pas critique et je ne trouve pas toujours les mots justes mais je tenais à vous en dire quelques mots. Maintenant à vous de faire votre choix :

FRANGLAISESweb

Octobre : Les Franglaises – Spectacle Musical

Voilà une troupe de chanteurs-euses / acteurs-trices qui présente des chansons anglaises traduites littéralement en français, avec toutes les incongruités que cela sous-entend. Le thème est bon car on ne se rend pas toujours compte des stupidités que l’on chante dans un anglais yahourté. Dès le lancement, le ton est immédiatement drôle, le jeu fin et pertinent, le meneur de jeu accroche les spectateurs avec dextérité et la troupe dépense une énergie folle sur scène. J’ai aimé chercher les traductions, chanter les textes traduits, me laisser entrainer par des rythmes endiablés… J’ai donc passé une très bonne soirée ! Les Tistics sont actuellement en tournée et se retrouveront à partir du 10 février à Bobino.

Theatre amis

Novembre : Je préfère qu’on reste amis – Théâtre comique

de Laurent Ruquier, avec Michel Bernier et Frédéric Diefenthal

Claudine est bien décidé ce soir à déclarer sa flamme à celui qui était jusqu’alors son meilleur ami, Valentin. Malheureusement pour elle, le beau brun ne le voit pas de cet œil et lui propose de “rester amis”. Dès lors la relation déraille et les masques se fissurent, les révélations se succèdent, le ton monte et le rire du spectateur en même temps. Evidemment, l’histoire est cousue de fil blanc et la fin attendue de tous. Il n’empêche qu’on passe un bon moment. Nous l’avons vu dans le magnifique théâtre Antoine à Paris mais la pièce est actuellement en tournée en province.

Et maintenant 2015 !

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J’habite à deux pas de l’école. Ca n’est pas une image, c’est la vérité. Pour y aller, j’ai juste à traverser une rue piétonne.

Et la plupart du temps, les Bonshommes sont heureux d’y aller. Depuis qu’ils sont petits et comme tous les parents, je leur présente l’école comme un lieu merveilleux où on apprend des tonnes de trucs. Un lieu idyllique et génial. Parce que nous, nos petits européens, il faut les convaincre d’aller à l’école. Tout cela est aussi facile d’accès et aussi obligatoire qu’il en devient rasoir pour tous ces enfants peu intéressés ou qui décrochent avec le temps.

Pourtant, ailleurs dans le monde, l’école, l’éducation, ne sont pas des évidences. Pour certains, elles ne sont qu’un doux rêve pour lequel il faut se battre.

Ces enfants, ces parcours, sont présentés dans le merveilleux documentaire de Pascal Plisson : Sur le chemin de l’école.

Ce film présente le chemin, le vrai chemin, que parcourent 4 enfants à travers le monde, tout simplement pour rejoindre leur école. Entre Jackson qui traverse la brousse, avec sa petite sœur, en courant pendant 2 heures pour couvrir les 15 km qui les séparent de son école, et Samuel, handicapé, que ses frères (débordant d’amour ses frères !) poussent dans son fauteuil roulant, tout branlant, sur les 1,5 km de chemin tortueux jusqu’à l’école… je n’ai pas pu m’empêcher d’être touché en plein.

Que vous dire de Zahira, qui traverse pendant 4h, à pied, les montagnes de l’Atlas, alternant marche et auto-stop, à la merci (c’est ainsi que je l’ai perçu) des gens qu’elle rencontre. Je suis d’autant plus touché que c’est une petite fille. Pour être transparente, je me suis revue à 11 ans, c’est à dire en 6ième, parcourant le malheureux kilomètre entre mon école et le bureau de ma maman. Un tout petit kilomètre et pourtant on m’avait rebattu les oreilles à coup de “attention aux étrangers”, “attention aux voitures qui s’arrêtent”, “fait attention que personne ne te suive”.

Aujourd’hui, les enfants rentrent du collègue en bus (de ville ou ramassage scolaire), et je ne connais pas de maman autour de moi, qui ne soit pas un minimum inquiète de ce trajet. La plupart ont d’ailleurs muni leur enfant d’un portable. Au cas où. Qui, aujourd’hui, dans notre monde moderne, envisagerait de laisser son fils marcher seul (sans portable, hein!) pendant 15 km à travers la brousse sur un chemin changeant jour après jour en fonction du passage des animaux? Certainement pas moi.

Ils mettent tous les jours leur vie en danger pour accéder à ce qui lasse tant (trop !) d’enfant chez nous : l’instruction. Dans l’espoir qu’elle changera dans leur vie.

En sortant, je n’avais qu’une envie : présenter ce film à mes enfants pour qu’à leur tour, tout au moins pour le plus grand, ils prennent une fois encore conscience de la chance qu’ils ont. Et si cela peut être une découverte pour les enfants, c’est aussi une très belle leçon de vie pour les parents.

 

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Toujours plongée dans l’Hygiène Naturelle Infantile, je vous propose dans la foulée le deuxième bouquin que j’ai acheté sur le sujet, en plus de Sans couches, c’est la liberté de Ingrid Bauer.

C’est un petit livre, peu cher et qui se lit très rapidement.

En lisant ce livre, j’ai eu une impression assez nette de redite du livre d’Ingrid Bauer. Les plans sont très semblables et je n’y ai pas appris grand chose de plus. Je vous dirais donc que l’intérêt majeur de ce livre est d’y trouver un résumé des grandes idées du livre – référence en la matière.

Voilà, c’était court et efficace.

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J’ai acheté ce livre il y a presque 2 ans, lorsque je me suis lancée dans l’application de l’hygiène naturelle infantile pour mon P’tit Dernier. J’avais commencé sans appui et, l’internet mondial ayant désigné ce livre comme la référence du sujet, je m’étais décidé à l’acheter.

Je vous en livre ici un résumé succinct et forcément subjectif :

1er partie / Chapitre 1 à 6 : Principes et fondements.

Dans cette partie, l’auteure nous parle de son cheminement personnel et des fondamentaux de l’HNI. On comprend bien que ce sont la connaissance d’autres cultures et son désir d’un maternage poussé qui ont conduit Ingrid Bauer à appliquer l’hygiène naturelle infantile. La vie sans couche est arrivée comme une évidence lorsqu’elle a souhaité rester en phase avec son bébé, tout en respectant ses souhaits profonds : portage en peau à peau, cododo, etc… Un chapitre entier est consacré à “La remise en cause des mythes contemporains sur la propreté”, démontrant que les préceptes qui nous sont enseignés aujourd’hui, sont en fait une extension abusive (à but commercial?) de ce que les médecins et psychologues avaient indiqués dans le but de protéger les enfants des méthodes dites “coercitives”.

Je pense que cette partie prend bien sa place pour convaincre les plus hésitants et expliquer les origines et surtout les intentions de cette relation parent-enfant. Cela permet notamment de sortir de l’image de “dressage” que certains en ont.

2ième partie / Chapitre 7 à 16 : La pratique

” Rappelez-vous : Vous n’avez pas à être totalement connecté à votre bébé pour commencer. Vous avez juste à être ouvert de désireux d’apprendre. […] Vous n’avez pas besoin d’être un expert pour commencer ; vous avez juste besoin du simple désir d’essayer.”

Cette partie vous donne les “clés” de la pratique : Quand commencer? Comment commencer? Comment s’y prendre? Que faire dans quelle situation? Bref, cela donne des points de repères pour se lancer et avancer. Cela m’a permis également de ne pas être découragée quand, par exemple, le Dernier pleurait sur le pot, quand je me trompais dans l’interprétation de ses messages, quand, à certaines périodes, je “ratais” beaucoup de pipi…

Par ailleurs, Ingrid Bauer a la bonne idée de ne pas culpabiliser les parents qui choisissent de faire les choses “à moitié”, c’est à dire uniquement à la maison, ou de jour, ou le matin… Bref, faire un peu, c’est mieux que de rien faire du tout.
Je cite : “Alors que signifie être “sans couches” ? Est-ce que cela veut dire ne jamais utiliser de couches? Pour moi, être sans couches signifie que nous nous sommes détaché de la dépendance que nous avions vis-à-vis d’elles, d’être libre de choisir, […]. Dans l’Hygiène Naturelle du Bébé, nous pouvons voir la valeur d’être sans couches, et nous pouvons aussi voir quand les couches sont utiles. Dans l’absolu, les couches ne sont pas utiles bien entendu. Mais dans des situations de stress, il est important que les mères se sentent libres d’utiliser des couches selon leurs besoins. Si le fait de ne pas utiliser de couches crée des tensions affectant la sérénité des parents et la relation parents-enfant, alors il vaut mieux en utiliser.”

Enfin, un dernier passage est j’arrête de vous saouler :  “Mon souhait est que le manque d’informations et l’incompréhension que suscitent l’Hygiène Naturelle du Bébé disparaissent. Aucun parent ne peut choisir de faire quelque chose s’il n’est même pas conscient que ça existe, ou s’il n’a eu que des informations vagues, insuffisantes ou erronées.” Cela m’a fait pensé à La Poule Pondeuse qui milite pour que les mères et les parents en général aient la possibilité de faire leurs choix de manière éclairée. Et bien voilà, c’est ma façon à moi de militer et de vous éclairer !

DernierIci, le Dernier a 3 mois et nous sommes assis ensemble, moi, par terre, lui, sur le pot.

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Tous les mardi, c’est Mentalist. Parce que bon, quand même, ce Mentalist, je l’aime bien.

Et juste après Mentalist, c’est Baby-Boom, une émission qui présente sous forme de télé-réalité, la vie et évidemment, les accouchements de la maternité de Poissy.

Je suis toujours amusée de voir les mères, les parents arriver, tantôt stressés, tantôt cool, tantôt pressés, en avance, ou en retard. Çà nous ramène à nos propres accouchements – et je dis “nos” car je regarde avec Monsieur, assez fan lui aussi.

La variété des cas présentée fait qu’on ne s’ennuie jamais. Certaines mamans nous font rire, d’autres nous émeuvent. C’est prenant. On a presque envie de pousser avec elles. Et choix judicieux du montage, tous les accouchements se terminent dans la joie et les larmes. Plus d’une fois, j’ai dû retenir les miennes pour éviter de me faire traiter de “petite nature”. Mais que voulez vous, je suis bon public.

Ces bébés sont tous magnifiques. Spécial dédicace à Esteban, qui ressemblait tellement à mon Petit Bonhomme.

En revoyant tout cela, on aurait presque envie d’en refaire un… Heu… Bon, passons.

En attendant, on peut reprendre un peu de rabe sur le site Pampers, qui propose des vidéos complémentaires spécialement  “Coté Papa, Coté Maman”

Et cette semaine, exceptionnellement, un épisode en exclusivité pour les P’tites Pousses, pour le plaisir :

 

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La semaine dernière, j’avais prévu d’emmener les enfants au cinéma voir l’Age de Glace 4. Mais les deux P’tits Cons m’ont tellement pris la tête que j’ai pris mes affaires et je suis partie. Seule.

“Comment? Tu vas au cinéma toute seule?”

Ca t’en bouche un coin, hein, le nain? Maman a une vie en dehors de toi ! Oui, ok, c’est juste un ciné, toute seule sans personne mais bon, c’est toujours bien de faire passer le message, ca suffit quoi !

Et voilà comment, au pied du grand escalier qui monte aux salles, j’ai fait le tour des affiches sans rien connaitre des films proposés. J’ai éliminé les dessins animés, le(s) film(s) que je pourrais aller voir avec Monsieur, et j’ai tilté sur cette petite comédie romantique. Un truc de fille quoi !

Un bonheur n’arrive jamais seul.

Sacha (Gad Elmaleh) vit la vie comme elle vient, le jour, musicien dans la pub, la nuit, pianiste dans un club de jazz, entre ses copains, l’alcool et les filles. Jusqu’au jour où il rencontre Charlotte (Sophie Marceau). Là, c’est le coup de foudre. Sauf que Charlotte a une vie plutôt rangée et est déjà maman. 3 fois. L’amour faisant son chemin, leurs vies vont s’en trouver toutes bouleversées.

Sophie Marceau est toujours pétillante dans les comédies romantiques (De l’autre coté du lit, LOL,…). Certaines scènes tiennent du clownesque et j’ai ri aux éclats, même si l’ensemble est très convenu. La fin n’est par bonheur pas une surprise, mais vous vous en doutiez ! En résumé, j’ai passé un très bon moment.

Je n’avais pas regardé la bande annonce avant le film et j’ai envie de dire “fort heureusement!” car une bonne partie de l’intrige et plusieurs moments amusant y sont dévoilés, intrige qui n’est déjà pas très étoffée… Donc abstenez vous!

Enfin, Sophie, si tu me lis (on a le droit de réver ! ), laisse moi te dire que je suis ressortie complètement dépitée à propos d’un point en particulier. Dis moi donc : comment fais tu pour afficher ce corps magnifique et surtout SURTOUT ce ventre plat et parfait après 2 grossesses et bientôt 46 ans !?!? Nous sommes (moi, mon ventre, ma graisse et mes vergetures) vertes de jalousie. Voilà, c’est dit.

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Grâce à la fabuleuse VOD (Video On Demand pour les ignares), j’ai pu voir il y a quelques mois Into The Wild de Sean Penn, film qui retrace l’aventure et le vie de Christopher McCandless, jusqu’alors inconnu à mes yeux.

En résumé rapide (et forcément mal fait), Christopher est un enfant de bonne famille, entouré de ses parents et de sa soeur, il mène une vie en apparence tout à fait normale. Quoiqu’en opposition avec son père sur de nombreux points, il poursuit ses études jusqu’à l’obtention de son diplôme. Il part ensuite sur les routes, en vacances, d’après ce qu’en pense ses proches. En réalité, il a dans l’idée d’aller expérimenter la vie solitaire, en Alaska. Il n’envisageait pas de rentrer chez ses parents, change de nom et ne donne plus aucune nouvelle. Le film relate ce départ, son cheminement jusqu’en Alaska, ses rencontres, sa philosophie de vie, sa vie en solitaire et enfin sa mort.

Je ne saurais vous dire à quel point j’ai été touchée par cette histoire. Je trouve incroyable d’oser partir si loin, à pied, dans une espèce de confiance absolue dans l’avenir, les gens, le monde, la nature et sans obligation sinon celle qu’il s’était lui même fixer d’aller jusqu’en Alaska.

La situation de la famille est également très touchante. Comment vivre une disparition volontaire, une fugue presque adulte… pour le retrouver mort, isolé. D’autant plus que sa mort est présenté comme la conséquence tragique d’une banale erreur.

intothewildlivreJ’ai repensé à ce film de nombreuses fois et me suis décidée à acheter le livre éponyme de Jon Krakauer.

L’intérêt du livre est que l’histoire y est beaucoup plus détaillée et forcément moins romancée que dans le film. Le cheminement et les intentions de McCandless, ses relations avec autrui, y sont mieux expliquées, même si l’auteur y mèle une partie de son histoire personnelle. Les possibles conditions de sa mort font l’objet d’hyposthèses et d’enquêtes plus poussées.

De nombreuses polémiques sont nées après la découverte de son corps. L’événement a été beaucoup plus retentissant outre-Atlantique que chez nous. Les avis sont partagés à propos du personnage : était il fou? inconscient? immature? mal préparé? Le film et le livre apportent leurs éclairages et leurs propres réponses mais je vous laisse vous faire votre propre opinion.

 

Pour ma part, je reste admirative devant cette vie, cette quête intérieure, phylosophique, cette aventure humaine mais je suis également bien triste devant une fin si solitaire. Sur les dernières photos qu’il a pris de lui-même, il a l’air fatigué mais tout de même très heureux et en paix.

Mon avis : Un film a voir absolument. Un livre à lire pour aller plus loin.

Quelques liens encore pour finir.

Wiki mon ami
Into the Wild
Christopher McCandless

Happiness only real when shared – Le bonheur n’est réel que lorsqu’il est partagé – Tolstoï – Le bonheur conjugal

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Alors là, les choupinettes, vous constaterez que je me suis attaquée à du lourd. J’avais entendu parler de ces bouquins depuis longtemps et fort heureusement, comme mes temps de loisirs se réduisent à néant, je n’avais pas vu le film, la découverte était donc totale.

Bon, j’avais bien conscience en reluquant le petit minois des bôgosses en tête d’affiche que Meyer, c’était pas du Zola. Mais quand même…

Le bouquin doit bien faire 500 pages et il a fallu presque 200 pages pour qu’enfin, il se passe quelque chose. 200 pages de langueur, de longueur, de “mais qu’il est beau”, de “je vais défaillir tellement il est beau”, de “mais c’est pas possible qu’un mec aussi beau existe”… pffff… c’est plus de mon âge.

Après 200 pages (enfin !), ils commencent à s’agiter un peu du croupion et de la canine. C’est pas que, mais j’ai failli attendre.

Ah, mais Miss Meyer s’est plutôt bien débrouillée puisqu’à la fin on ne sait pas trop ce qu’il advient de notre collégienne et que, du coup, je ne suis pas encore certaine de vouloir, ou pas, lire la suite…

J’ai laissé les tomes suivants chez mon bon ami qui m’a prêté le premier volume. Je voulais tout prendre et Monsieur a dit “Si tu veux lire la suite, t’auras qu’à t’acheter les bouquins”. Sauf que j’ai mauvaise conscience d’acheter une telle niaiserie et en même temps, j’ai quand même envie de savoir la suite. Je savais bien que j’aurais pas du l’écouter !

Bref, si c’est juste pour lire le Tome 1, je pense que c’est trop juste. En même temps, si vous avez le temps de lire 2000 pages, c’est peut être pas à Meyer qu’il faut s’attaquer… ca ne vous aide pas, hein?

Si certaines ont un avis sur la question, je prends…

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Ce livre là, je suis sure que vous en avez déjà entendu parler. Pensez donc, un Dan Brown, vous n’avez pas pu passer à coté ! Après Anges & Démons et le DaVinci code, voici le troisième volet des aventures de Robert Langdon.

Si je devais donner mon avis sur les deux premiers, je dirais brièvement du Da Vinci Code que j’ai plutôt bien aimé, même si un peu emberlificoté. A propos d’Anges & Démons, je suis un peu plus négative car j’ai trouvé que les aventures étaient un peu trop surréalistes, incroyables et délirantes. Trop tout. Mais j’était quand même restée en haleine car le rhythme est bien soutenu.

Dans le cas présent, je ne peux que vous avouer ma déception. Effectivement, Robert Langdon redescend un peu plus sur terre et l’aventure gagne en crédibilité. Hélas, mille fois hélas, je n’ai pas été tenu en haleine. Pas de grande surprise pour moi. Mon esprit serait il devenu plus aiguisé avec le temps? Qui sait. Toujours est il que j’avais anticipé une bonne partie des rebondissements. Quel dommage.

Aussi, si vous aimé Dan Brown, je pense que vous aimerez le Symbole perdu, peut être même que vous ne verrez pas le méchant venir. Ca reste une lecture agréable et distrayante. Par contre, pour le suspens, mon petit Dan, tu  repasseras !

Quatrième de couverture : oups… je n’ai pas le livre sous la main car je suis partie de vacances en l’oubliant ! Ben, c’est pas grave. Si vous lisez cet article, vous n’aurez pas trop de mal à trouver un résumé sur internet ou ailleurs.

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Il n’y a rien qui m’ennuie autant que de retourner travailler le lundi (la phrase pourrait s’arrêter là…) en ayant le sentiment d’avoir laissé passer le week end sans rien faire. Et ce lundi, je ne suis vraiment pas déçue, parce qu’on a carburé !

Vendredi : Salon du livre avec Grand Bonhomme – Merci Isabelle !

Ah quel bonheur ! Des livres partout partout ! Mais pour ne rien vous cacher, il est évident que les escales ont plutôt eu lieu sur les stands avec rayon “jeunesse”… Grand Bonhomme oblige. Pas grave, j’ai quand même trouvé mon bonheur.

Pour Grand Bonhomme :

Chuggington – Pauvre Wilson (n°1) – Editions Albin Michel. Grand Bonhomme est devenu fan de cette série de livre alors même qu’il n’a jamais vu la série télé. Des histoires assez courtes de train… je ne suis pas plus fan que ca mais les goûts et les couleurs, ca ne se discute pas et Grand Bonhomme possède son libre arbitre et sa liberté de choix.

 Les Pompiers – Collection Les p’tits juniors – Editions Piccolia. Cette collection, je vous l’ai déjà recommandée ici et je confirme ! Les thèmes sont toujours bien expliqués. Grand Bonhomme, presque 4 ans, est pile dans la cible. Il me réclame maintenant l’Aéroport…
 
Tchoupi au zoo – Editions Nathan. Un grand classique des livres pour enfants, la collection des Tchoupi est vraiment très bien faite, surtout pour aborder le quotidien des loulous de 3 ans environ. La série “Une histoire à deux voix” permet à l’enfant de participer à la lecture car certains mots sont remplacés par des dessins.

 

 Pour Petit B onhomme :

Mon tout premier livre des formes et Mon tout premier livre d’éveil – Editions Nathan. La collection complète “mon tout premier livre…” est très sympa pour les petits loulous. Tout en couleurs, en animation, en toucher, en textures… Les illustrations de Fiona Land sont à la fois douces et gaies, dynamiques. J’aime beaucoup ! Un tout petit y appréciera les textures, un plus grand commencera à y apprendre les couleurs : tout le monde y trouve son compte.

Dis-moi bonjour ! Editions Piccolia. Un grand jeu de couleurs et toujours de textures. J’aime toujours autant et c’est une bonne façon d’aborder les animaux “classiques” de manière très sympatique.

 Qu’y a-t-il dans ta couche? Editions Albin Michel Jeunesse. Un petit dernier franchement différent. Une façon tout mimi de parler du caca, des couches et du pot. Petit plus : les petits rabats qui plaisent toujours aux enfants.

Pour moi :

Charlotte rigolotes ! Editions Toquades de First Editions. Oui, encore un livre de recettes. Mais au moins, je m’en sers… et puis là, les charlottes, elles m’ont vraiment tapé dans l’oeil. Et encore, quand j’ai regardé la collection, je me félicite de n’avoir acheté qu’un seul bouquin, j’aurais tout aussi bien pu craquer sur Ultra fondant, Prenez en de la graine ! ou So crumble !

Bref, j’ai résisté. je suis forte.

Ah si, j’ai juste pris Au bon pain 100 % machine à pain mais c’est pour Soeurette Chérie. Ca compte pas. Si?

Enfin, après avoir survévu 3 h dans les allées du salon, et englouti 2 macarons Paul (Dukan, tout fout le camp!), Grand Bonhomme commençait à râler, nous sommes rentrés à la maison.

La suite de nos aventures du week end… la prochaine fois !

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