Déjà une semaine que l’évènement annuel a commencé. Oui, déjà. Parce que moi qui ne suis pourtant pas une dingue de tennis, le Tournoi de Roland Garros, j’aime bien.

D’abord, ca rappelle pleins de souvenirs. Au collège, on a toutes et tous passés quelques moments de révisions devant Agassi ou Courrier (comme le dit si bien Vincent Delermtexte ici pour les ordis muets), ca sentait la fin de l’année scolaire…

Quelques années plus tard, j’avais gagné des entrées pour les cours annexes et j’avais même réussi à récupérer un billet pour le cours n°1 en demandant aux personnes qui quittaient le cours en fin d’après midi. Heureusement que certains matchs finissent tard.

Plus récemment, en 2006, lorsque l’attente de Grand Bonhomme m’obligeait à rester couchée, c’est encore Roland Garros qui occupait mes journées. 15 jours bien agréablement passés.

Et cette année encore, c’est toujours un plaisir de retrouver cette tradition, même si le temps allant, je connais et reconnais de moins en moins les joueurs. Ah, plus guère le temps ma pauv’ dame…

D’ailleurs, à l’heure où j’écris ces lignes, Nadal, que je finirais presque par apprécier, peine un peu face à… Soderling. Dont je n’avais jamais entendu parler.

Nadal encore, à qui le rose va si bien, comme pour faire de la pub à Marinette


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Et vous, Roland Garros, fan ou pas ?

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Chaque midi, je mange à la “cantine”. Je devrais dire “restaurant d’entreprise”, ca fait plus classe. Sauf qu’en disant “cantine” tout le monde comprend bien de quoi je parle.

Et dans ma cantine, il y a régulièrement des animations. Bon, je passerai sous silence les journées chinoises ou ivoiriennes dont vous n’avez que faire, mais puisque la dernière animation a été l’occasion d’une découverte, je vous en parle. Nous avons gouté les micro-végétaux de Koppert Cress.

“Koppert Cress est spécialisé dans les micro-végétaux, pousses d’herbes aromatiques venant des quatre coins du monde. [La] collection comprend plus de 14 variétés et s’élargit chaque année d’au moins une nouveauté. Cet assortiment est regroupé sous le terme d’Architecture Aromatique. “

Présentées en petites barquettes, un peu comme des graines germées, il s’agit de toutes petites pousses végétales dont le goût (et non l’aspect) se rapporte à des aliments connus. L’idée est d’apporter à la Cuisine une touche inventive et surtout des mélanges de goûts, jusqu’ici inexploités.

Personnellement, j’ai gouté le Daikon Cress (excellent goût de radis), le Rock Chives (fort goût ail ou ciboulette) et le Borage Cress (j’ai reconnu l’iode mais pas vraiment le concombre…). J’ai trouvé ca à la fois original et bon. Ben oui, l’idée c’est que ce soit bon, sinon, c’est pas la peine. J’ai d’ailleurs regretté de ne pouvoir en emporter à la maison pour les mettre en pratique.

Bref, voilà d’excellentes idées pour les amatrices de cuisine novatrice et moderne. Mais peut être qu’il faut passer par un grossiste pour en commander.

Les micro végétaux, est ce que vous connaissiez?

(Billet non sponsorisé. Ni par mon restaurant d’entreprise. Ni par Koppert Cress. Pffff…)

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Mardi soir, j’ai osé la Nouvelle Star.

Les premières années, j’étais plutôt assidue. Je trouvais çà plutôt agréable. En plus, j’aimais bien le style Benji.

Les saisons passant, j’étais toujours fidèle à Virginie 1ière du nom mais j’avoue que je commençais à me lasser.

Cette année, je n’ai rien suivi. Vraiment rien. Sauf ce que les blogs veulent bien me dire. Et sans le son et les images, c’est quand même difficile de se faire une idée.

Et mardi, parce que je n’ai rien trouvé de bien à regarder (oui, je sais, j’aurais pu éteindre à cause de çà mais je ne l’ai pas fait !), je me suis dit, tiens, pourquoi pas la Nouvelle Star.

20h50 environ. Générique. Je reconnais les quelques notes qui s’égrainent pour débuter l’émission. Je vois deux boyz qui se trémoussent et l’un deux ouvre la bouche.

Blanc dans ma tête.

AAAAAAARRRRHHHH quel massacre! Mon dieu, n’est pas Jackson qui veut. J’en rigolais tellement j’étais accablée par tant de mauvaises notes et de faux chant. Heureusement pour ces deux (puis trois) bouchers, ils ont été rejoints par les filles puis par le reste de l’équipe, histoire de sauver les meubles.

Bon, soyons honnête, les prestations individuelles étaient moins catastrophiques que l’entrée en matière. Même si certaines voix sont plus dans mon style que d’autres.

Mais je ne peux m’empêcher de donner mon avis, comme çà, hyper spontanément
Dalé : est ce qu’il ne serait pas mimi en plus?
Soan : Non, c’est juste pas possible. Trop, c’est trop. Et pour mes yeux. Et pour mes oreilles.
Damien : Mon boucher du début avec son oeil éteint se rattrape un peu en cours d’émission.

Et pour finir, les mots à retenir pour faire croire qu’on y était :
“tu nous embarques dans ton univers”.
“ton personnage”
“tu nous délivres…”
“tu t’éclates…”
“vachement bien”

Les français moyens connaissent et utilisent environ 3000 mots. Le jury, visiblement, c’est moins.

Bon au moins, j’aurai essayé une fois. Probablement pas deux.

Au fait, Lio, va falloir retravailler les éclairages, t’as l’air d’avoir pris un bon coup de vieux…

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Comme je l’ai déjà mentionné, je m’intéresse à la méthode de communication “Signe avec moi”. Grand Bonhomme ayant parlé relativement vite et relativement bien, je n’ai pas vraiment ressenti de manque, sinon lors des crises et des pleurs “inexpliqués”. Mais je me suis toujours demandé si cela ne m’aurait pas aidé à mieux comprendre ses demandes…

Aussi, dès que Monsieur m’a offert le livre, je me suis précipité pour le dévorer – ravie, par ailleurs, de constater cette nouvelle ouverture d’esprit que je ne lui connaissais pas. D’abord le collier d’ambre, un peu d’homéopathie, maintenant le langage des signes. Allez, avec un troisième enfant, on passe aux couches lavables ! – Fermons la parenthèse.

Le livre est présenté en deux parties. D’abord des généralités sur le langage des signes, son intérêt dans la communication avec l’enfant, sa pratique, etc. Ensuite toute une série de signes à apprendre pour mettre en application.

L’ensemble se lit très vite mais il s’agit d’avantage d’une méthode d’apprentissage d’une langue que d’une étude ou une thèse sur le sujet. Aussi, une fois la première partie avalée et acquise la conviction de pratiquer régulièrement pour obtenir l’effet escompté, il vaut mieux ne pas poser le livre à plus d’un mètre de soi. Car, comme pour tout langage, il nécessite un minimum de temps d’apprentissage. Et on passe son temps à se demander “comment on signe ce mot, déjà?”.

Ainsi, si la méthode vous intéresse, je vous propose d’abord d’aller visiter des sites plus généralistes (ici ou , ) et de garder ce guide pour la pratique. Alors, vous ne le quitterez plus. Son format réduit aide à l’avoir toujours sous la main. Peut être même qu’il aurait pu être encore plus petit car j’adorerais pouvoir l’amener dans mon sac à main.

Un regret cependant, la limite de la photo “unique”, pour décrire un mouvement. Cela n’est pas toujours facile de comprendre et d’imaginer le geste. Aussi, je vous invite à vous référez également à des sites internet avec images et vidéos : ici ou .

Demain, je vous parle de la pratique.

En attendant, la méthode, vous en pensez quoi?

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Cet après midi sur France 5, j’ai regardé l’émission Allo docteur? Le sujet me tenait à cœur : l’allaitement.

Il faut dire que les rares fois où France 5 – France Télévision, parle de l’allaitement, c’est dans l’émission Les Maternelles, et il faut bien avouer que les questions et remarques nunuches de Karine Le Marchand, ont plutôt tendance à m’énerver tant cela peut finir de convaincre toute maman hésitante de … ne pas allaiter !

Mais ici, enfin une émission médicale, complète et intelligente ! C’est un plaisir d’entendre parler Marie Thirion dont j’ai déjà parlé ici et . Pas d’apriori ni de remarque non fondée. Bref, si vous cherchez des informations factuelles et concrètes sur l’allaitement, je vous conseille de la regarder. C’est que ca se passe (Emission du 17 mars).

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Ce week end, Monsieur est revenu avec une série de DVD dont Wall-e.

Faites la connaissance de WALL-E (prononcez “Walli”) : WALL-E est le dernier être sur Terre et s’avère être un… petit robot ! 700 ans plus tôt, l’humanité a déserté notre planète laissant à cette incroyable petite machine le soin de nettoyer la Terre. Mais au bout de ces longues années, WALL-E a développé un petit défaut technique : une forte personnalité. Extrêmement curieux, très indiscret, il est surtout un peu trop seul…
Cependant, sa vie s’apprête à être bouleversée avec l’arrivée d’une petite “robote”, bien carénée et prénommée EVE. Tombant instantanément et éperdument amoureux d’elle, WALL-E va tout mettre en oeuvre pour la séduire. Et lorsqu’EVE est rappelée dans l’espace pour y terminer sa mission, WALL-E n’hésite pas un seul instant : il se lance à sa poursuite… Hors de question pour lui de laisser passer le seul amour de sa vie… Pour être à ses côtés, il est prêt à aller au bout de l’univers et vivre la plus fantastique des aventures!

Nous avons proposé ce film à Grand Bonhomme. Il ne veut jamais regarder autre chose que Cars car il a peur… d’avoir peur. L’est pas très courageux, mon Grand Bonhomme.

Alors, on a regardé çà en famille et lui a expliqué ce qu’il se passait. En fait, c’est un film un peu compliqué pour les petits. D’abord parce qu’il n’y a pas de paroles pendant la première partie du film. Ensuite parce que c’est plein (plein plein) de sentiments, bon ou mauvais, de tendresse, de mélancolie, d’amour… bref, des trucs qui ne parlent pas de trop aux moins de 4 ans.

De mon coté, j’ai trouvé ca super tristoune. Il ne faut pas trop regarder ca quand on a un peu mal au coeur parce que sinon, vous pourriez bien finir avec la larme à l’oeil.
Comment ca, je suis un grande sensible ?? Peut être.

Et vous, Wall-e, vous connaissez?

J’en profite pour vous faire une critique ciné rapide des films vus par Monsieur cette semaine :
Envoyés très spéciaux : bien mais sans plus.
King Guillaume : nul. Il est même parti avant la fin, c’est pour dire.

 

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Mail recu tout à l’heure de Monsieur : “Ce soir, il y a la nouvelle saison de Dexter sur Canal+”.

Comment? Ce soir? et dire que j’ai failli rater çà ! C’est pourquoi dès à présent, je billette (ca se dit?) sur le sujet afin d’informer tout un chacun et qu’il réserve sa soirée ou programme son enregistrement.

Certaines peut être me diront : “mais késako?”. Parce que effectivement, en notamment parce que ca n’est diffusé que sur Canal+, cette série n’est pas connue de tout le monde.

Nous (Monsieur et Moi-même) avons tenté la Saison 1 après avoir lu quelques commentaires élogieux. Et nous ne fûmes pas déçus. En résumé très simpliste mais qui éclaire un peu le sujet, il s’agit de la double vie d’un homme, à la fois flic et tueur en série. Dans la saison 1, il mène une enquète sur un autre tueur en série, qui sème un peu partout des indices à son intention, et dont on apprendra plus tard qu’il est en fait… Chuuuuut !

Les épisodes sont bien menés et les rebondissements sont nombreux. Le tout est bien ficelé dans une ambiance grrrr. Bref, on est loin des baroudeurs de Lost ou du romantisme de Grey’s Anatomy et c’est justement ca, ce décalage, cette ambiguité qui nous rend un peu accro. Tout çà pour dire que la Saison 1, j’avais, nous avions (Monsieur et Moi-même), super bien accroché.

D’où ma joie, mon enthousiasme (j’en fait peut être un peu trop, non?) pour ce tout petit évènement qui, dans le contexte cité mardi, me redonne le sourire. Raah, je cours partout (je fais ma saucisse comme dirait Miss Brownie)!

Allez, hop, les mioches, ce soir, tout le monde au lit à 20h30 !

Et vous, Dexter, ca vous parle?

Bon, à une autre occasion, je vous parlerai de mon accro-attitude pour Grey’s Anatomy et autres séries américaines mais là, vraiment, j’ai trop pas le temps !

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Aujourd’hui, un livre spécial maman, qui m’a été offert par Soeurette, certainement convaincue de la nécessité d’alerter la “Super Maman qui gère tout à 100% et 24h/24” que je suis, des dangers vers lesquels je me précipite :

La fatigue émotionnelle et physique des mères – Le Burn-out maternel par Violaine Guéritault.

Ce livre traite notamment des conséquences de la fatigue et du stress répété sur l’état phsychique des mères. Je vous cite notamment quelques causes de stress (parmi beaucoup d’autres) conduisant au burn-out :

– surcharge de travail (comme préparer à manger et faire le ménage et lancer la lessive et lire une histoire et passer à la pharmacie…),
– absence de reconnaissance pour le travail accompli (ben oui, c’est normal, c’est vous la maman ! ),
– contrôle limité des situations (vous ne pouvez effectivement pas toujours ligoter votre Bonhomme sur sa chaise, ni garder vos deux yeux pointés dans sa direction ! )
– …

 

On y apprends que le “burn-out” progresse en trois étapes :

– on constate tout d’abord un épuisement émotionnel et physique : comme son nom l’indique, cette étape correspond au moment où la fatigue prend le dessus sur tout. La maman ne se sent plus le courage de rien, n’a plus d’énergie. Elle est usée et “n’en peut plus”.

– vient ensuite la depersonnalisation ou distanciation : La maman prend de la distance par rapport aux évènements pour éviter d’en subir les conséquences directes. C’est par exemple à ce stade qu’on laisse un bébé pleure tout en s’occupant à autre chose, ou qu’on laisse deux ados se battrent sans chercher à les séparer. On baisse les bras.

– arrive enfin le stade final : le reniement des accomplissements passés, présents et futurs. Ici, la maman s’approche de la dépression et a bien souvent l’impression de ne rien faire de bien et de ne servir à rien. La maman minimise ses compétences, ses capacités et la mesure de ce qu’elle fait.

Cet état ultime est bien souvent nommé “dépression post-partum”. Les conséquences ultimes peuvent être extrêmes, comme les violances envers les enfants ou même les enfanticides. L’auteur reprend alors le cas d’Andrea Yates (dont nous parlait La poule pondeuse hier) pour illustrer les causes pouvant conduire à cet étape ultime.

Il est important de noter que l’entourage bienveillant et le soutien physique, dont peut bénéficier une maman, quelque soit le poids de sa charge, est essentiel à son bon équilibre psychologique.

Tout ceci est vraiment bien expliqué et détaillé dans le livre. Il y a même un chapitre destiné aux papas.

Mon avis : un bon livre, qui éclaire nos vies de maman avec un regard assez juste et qui propose des explications à nos comportements. C’est un bon moyen d’ouvrir les yeux sur ses propres actes pour savoir si l’on entre, ou non, dans la progression du burn-out. Pourtant, je trouve l’ensemble assez redondant, les mêmes idées sont expliquées plusieurs fois et je pense que le livre est un peu long pour ce qu’on en retire.

Donc, à lire, si vous vous sentez plûtôt sur la mauvaise pente, ou si vous vous sentez souvent débordée et dépassée par les évènements.

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Aujourd’hui, c’est la Saint Nicolas.

C’est l’occasion pour moi de vous parler d’une fête que je connais depuis ma plus tendre enfance. Suivant la région dont vous êtes originaire, vous connaissez peut être un peu, beaucoup ou pas du tout ce personnage, fêté le 6 décembre de chaque année.

En effet, en Lorraine, Saint Nicolas est célébré tous les ans, puisqu’il est le saint patron de cette région. Plusieurs légendes lui sont associées dont la plus connue, celle des trois petits enfants.

Lorsque j’étais petite, tous les ans, Saint Nicolas et le Père Fouettard venaient nous rendre visite à l’école. Nous recevions à cette occasion un pain d’épice. J’ai le souvenir d’un gâteau assez sec mais il est possible qu’à l’époque, je n’ai pas été très objective. Par contre, il y avait toujours une belle image collée dessus, celle là :

Pour nous, la Saint Nicolas, c’était aussi l’occasion de recevoir des cadeaux et surtout des chocolats. Contrairement à certaines familles lorraines, nous célébrons toujours Noel. En fait, nous célébrons les deux fêtes !

Aujourd’hui j’ai grandi et pourtant, mes parents m’offrent encore des chocolats tous les ans. C’est une tradition de grande importance (mmmm…) et maintenant, mes Bonshommes sont également gâtés, au moins autant, sinon plus que moi !C’est pour cela notamment que le sapin doit être prêt pour cette date. Comme nous sommes un petit peu en retard, c’est aujourd’hui que nous irons acheter notre sapin pour qu’enfin commence l’avant Noel.

Pour le plaisir, je vous colle les paroles de la chanson de Saint Nicolas, liée à sa légende, apprise étant enfant : Il étaient trois petits enfants…

Refrain : Il étaient trois petits enfants qui s’en allaient glaner aux champs:

1- Tant sont allés, tant sont venus, Que sur le soir se sont perdus.
Ils sont allés chez le boucher, Boucher, voudrais tu nous loger?

2 – Ils n’étaient pas sitôt entrés Que le boucher les a tués
Les a coupés en p’tits morceaux, Mis au saloir comme pourceaux

3 – Saint Nicolas au bout d’sept ans, Vint à passer dedans ce champ
Alla frapper chez le boucher, Boucher, voudrais tu me loger?

4 – Entrez, entrez Saint Nicolas, Il y a d’la place, il n’en manque pas.
Il n’était pas sitôt entré, qu’il a demandé à souper.

5 – Du p’tit salé, je veux avoir Qu’il y a sept ans qu’est dans l’saloir.
Quand le boucher entendit ça, Hors de la porte il s’enfuya.

6 – Boucher, boucher, ne t’enfuis pas. Repens toi, Dieu te pardonn’ra.
Saint Nicolas alla s’asseoir Dessus le bord de ce saloir

7 – Petits enfants qui dormez là, Je suis le grand Saint Nicolas
Et le Saint étendant trois doigts, les petits se lèvent tous les trois.

8 – Le premier dit : “J’ai bien dormi”, Le second dit : “et moi aussi”
Et le troisième répondit : “Je me croyais au paradis”.

 

Enfin, comme tous les week-ends, il y a une nouvelle recette, peut être que je vais tenter celle-là pour marquer l’événement.

Et vous, est ce que vous fêtez la Saint Nicolas?

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Comme beaucoup de parents découragés dignes de ce nom, nous n’allons plus beaucoup au cinéma depuis l’arrivée de Grand Bonhomme et même plus du tout depuis l’arrivée du Petit. Aussi, je bénis chaque jour, ou tout au moins, régulièrement, la VOD – Vidéo On Demande – et surtout celle de Canal +. Grâce à cela, j’ai toujours un petit dessin animé pour mon Bonhomme et accessoirement quelques bons films sous le coude pour nos soirées en amoureux.

Gràce à cette merveille de technologie, j’ai pu visionner Persepolis de Marjane Satrapi. Je vous cite Wiki-mon-ami :
Téhéran, 1978
: Marjane, huit ans, songe à l’avenir et se rêve en prophète sauvant le monde. Choyée par des parents modernes et cultivés, particulièrement liée à sa grand-mère, elle suit avec exaltation les événements qui vont mener à la révolution et provoquer la chute du régime du Chah. Avec l’instauration de la « République islamique » débute le temps des « commissaires de la révolution » qui contrôlent tenues et comportements. Marjane, qui doit porter le voile, se rêve désormais en révolutionnaire.
Bientôt, la guerre contre l’Irak entraîne bombardements, privations, et disparitions de proches. La répression intérieure devient chaque jour plus sévère.
Dans un contexte de plus en plus pénible, sa langue bien pendue et ses positions rebelles deviennent problématiques. Ses parents décident alors de l’envoyer en Autriche pour la protéger.
À Vienne, Marjane vit à quatorze ans sa deuxième révolution : l’adolescence, la liberté, les vertiges de l’amour mais aussi l’exil, la solitude et la différence.

Mon avis : J’ai vraiment adoré. Je me suis laissée emporter par l’humour et la sincérité de ce film. Je ne m’attendais pas à ce que tant de gaïeté (c’est en tout cas le sentiment que j’ai eu) et de couleur émanent de ces (ses) dessins animés pourtant en noir et blanc. A voir aussi pour une petite histoire dans la grande Histoire.

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