Je rumine ce billet dans ma tête depuis plusieurs jours et je ne sais même pas comment le commencer.

Dernièrement, je vous ai parlé de mes premiers rendez-vous avec le Dr Z. A l’époque, je n’avais pas perdu un gramme. La théorie était très claire et je sais qu’elle fonctionne, pour peu qu’on s’y applique.

Lorsque j’ai commencé la « thérapie », j’ai clairement expliqué au Dr Z que je n’avais pas la volonté, le courage, la force de caractère de faire un vrai régime, dont je sais pourtant qu’il fonctionne. C’est pour cela que je venais chercher de l’aide et une autre solution, quelque chose de moins contraignant et plus facile à vivre.

Mais tout le problème est là.

Alors que Dr Z me dit de manger dans le calme et la concentration, c’est à dire sans les enfants le soir, je dois avouer que je n’y arrive pas. Il faudrait que je mange avant eux, par exemple pendant que je prépare le repas, ou que je mange après, ce que font bien d’autres parents, mais qui m’oblige à amputer ma soirée et mon temps libre. Cela complique mon quotidien. Résultat, j’ai laissé tombé.

J’ai des exercices de pleine conscience à faire avant les repas, c’est à dire entre le moment où mes collègues me disent « on va manger » et le repas en question. Autant dire que c’est complètement impossible. Non, c’est faux, peux être que je (me) mens, je m’invente des excuses, si je prenais vraiment le temps, j’y arriverais mais compte tenu du temps que cela me demande, ça aussi, j’ai laissé tombé.

Il fallait aussi que je prenne le temps de faire des comparaisons alimentaires pour développer ou réveiller mes sensations gustatives. Je n’ai pas réussi, je n’ai pas enclenché le processus.

La première fois, j’ai annulé mon rendez vous sans me poser de question. La seconde fois, j’ai annulé un peu honteuse. La troisième fois, j’ai annulé tous mes rendez vous d’un coup. Parce que oui, voilà, finalement, cette thérapie si prometteuse me demande autant de volonté qu’un régime dit « classique ».

Alors j’avoue mon échec et je range mes ambitions au placard. Avec tout les autres régimes que je n’arrive absolument pas à suivre.

Pour vous faire sourire, je vais reprendre les questions qui me servent de point de repère depuis plusieurs mois

1) combien de kilo ai je pris en 13 ans? La dernière fois, j’avais écrit 6, je pense que j’avais fumé car en fait, c’était 16 !! Et le mois dernier quand j’ai annulé tous mes rendez vous, la réponse était 15. Oui, il me reste 15kg sur les fesses, les cuisses et les bras.

2) combien de kilo ai je à perdre afin de retrouver mon sourire? Si je veux être honnête, plus aucun car j’ai retrouvé mon sourire depuis longtemps et que si je pleure, ça n’est pas plus à cause de mon poids.

3) combien de kilo ai je à perdre afin de retrouver un poids qui me permette de ranger (définitivement?) mes pantalons de grossesse? Ils sont rangés définitivement depuis longtemps, et c’est toujours vrai.

4) combien de kilo ai je à perdre afin de me trouver enfin jolie? Je ne sais pas car certains jours, je me trouve jolie. si, si, vraiment.

Il y a un mois, en annulant mes rendez vous, j’ai rangé ma balance dans la salle de bain. Avant, je l’éloignais mais j’éprouvais chaque matin l’envie quasi-irrépressible de savoir. Tout en étant persuadée que la réponse ne me satisferait jamais. Aujourd’hui, je l’ai vraiment rangé. Elle ne m’intéresse plus.

Je vous reparlerai plus tard du sport mais aujourd’hui, je m’arrête au poids.

Mon poids n’a pas changé depuis plusieurs mois mais bizarrement, quand je me regarde dans le miroir, je ne me lamente plus. J’ai acheté plusieurs robes et j’ai réussi à les porter pour aller au bureau (c’est un vrai miracle, croyez moi). Le regard que je porte sur moi est peut être biaisé par le temps qui passe, par l’habitude de me voir avec mes rondeurs, par la conviction que je mets à essayer de m’aimer ainsi, mais au final, je crois que j’arrive à me plaire.

Oh, évidemment, sur certaines photos, je trouve qu’on voit trop mes gros bras et mes enfants me le font remarquer avec toute la délicatesse et le tact dont peuvent faire preuve des enfants de 6 et 8 ans. Mais dans l’ensemble, j’ai beaucoup moins envie d’abandonner mon corps, qu’il y a quelques temps.

Quelque part au fond de moi, je garde l’espoir de perdre tous les kilos superflus, parce que mon égo en souffre un peu, parce que je sais que je m’aimerais encore plus sans, parce que je ne peux admettre l’échec, ça n’est pas dans ma nature. Je ne sais juste pas quand j’aurais retrouvé l’envie et la motivation suffisante pour faire un vrai régime et vous écrire une belle page de victoire.

Edit : Un même propos peut être interprété de différentes façons. C’est vrai pour ce que j’écris, c’est vrai pour ce que je lis. Aussi, quelques éléments de ce billet ont été supprimés par respect pour les personnes qu’elles visaient. Je ne souhaitais blesser personne et j’ai été (une fois de plus, une fois de trop), maladroite dans mes propos. 2 mois pour pondre un billet, et finalement…

 

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Là où nous sommes, nous avons la chance d’avoir 5 pièces qui donnent à nos enfants une chambre chacun (mais nous sommes de l’autre coté du périph !). Bon la dernière chambre a été réalisée en annexant une partie du salon mais au moins, chacun est dans son domaine.

Et puis, dernièrement, je ne sais pas trop ce qui m’a pris, peut être le fait de ranger constamment trois chambres distinctes, remplies de playmobil, légo, train et autres jouets, j’ai décidé que nous pourrions tenté de réunir Petit Bonhomme et le Dernier dans une chambre pour convertir l’autre en salle de jeux.

Sur le plan, l’idée est bonne.

Nous avons donc demandé à plusieurs reprises à chacun des deux s’il voulait bien partager sa chambre avec l’autre : ce furent des « oui » enthousiastes jour après jour. Si bien qu’à la veille des dernières vacances, nous avons procédé au « déménagement ». Le petit lit du Dernier a été installé sous le lit de Petit Bonhomme, les bibliothèques fusionnées en une, les vêtements rapatriés au bon endroit et hop, une chambre pour deux. Les bac de lego, de playmo, de Brio, de voitures, de tout le reste ont fusionné également pour investir ce qui devint le graal : la salle de jeu. Pour aller jusqu’au bout dans la démarche, je leur ai même accordé le droit de NE PAS ranger la salle de jeu, à condition que les chambres soient nickels : c’était la fête !

Evidemment, comme le Dernier est encore petit (bah oui, quand même), nous lui avions précisé que cette installation ne serait possible que s’il se retenait de crier à la moindre contrariété, surtout la nuit. Et comme de bien entendu, il était parfaitement d’accord. Mais oui mais oui.

J’allais vous en parler sur le ton de la jovialité, jubilant de ma réussite car pendant 15 jours, nous n’avons rien trouvé à redire : Petit Bonhomme qui dort d’un sommeil de plomb n’était pas le moins du monde incommodé par les quelques râleries nocturnes du Dernier et tout aurait pu continuer ainsi si la situation ne s’était pas soudainement dégradé. Soir après soir, j’ai eu l’impression que le Dernier se couchait de plus en plus « à reculons ». Tout était bon pour se relever, allant parfois jusqu’à la crise et les hurlements… Quand ce genre de situation s’était présenté pour Grand Bonhomme, nous le laissions un peu pleurer dans sa chambre jusqu’à ce qu’il retrouve son calme et que l’on puisse « discuter ». Mais là, nous ne pouvions pas, la plupart du temps, le laisser dans ses cris au pied du lit de Petit Bonhomme qui faisait ce qu’il pouvait pour dormir. Que de problèmes ! Que de conflits !

Les jours passaient et je commençais à regretter mon choix.

Jusqu’à hier.

A 21h, il pleurait car il ne voulait pas éteindre la lumière. A 21h, il hurlait car il voulait un pansement (!) alors même qu’il ne saignait pas. A 2h, il râlait car il ne trouvait pas sa gourde. A 5h30, il braillait car il voulait (déjà!) allumer la lumière… Les gouttes d’eau qui firent déborder le vase.

Voilà pourquoi ce soir, avec Monsieur, nous avons re-déménager le petit lit du Dernier dans son ex-chambre-ex-salle de jeu. Bien entendu, il n’était pas du tout content, et pleurait toutes les larmes de son corps, essayait de trainer son lit dans le couloir pour le rapporter en dessous du lit de Petit Bonhomme. Il n’arrivait pas à accepter la séparation et me promettait de ne plus jamais crier et d’être très sage ! J’ai pris sur moi et je n’ai pas cédé. Pour être honnête, je dois dire que je le vis un peu comme un échec car j’aimais beaucoup l’idée de la salle de jeu, libre de droit, mais finalement, peut être que le Dernier n’était pas prêt. Evidemment, si nous n’avions pas eu le choix, la question ne se serait pas posée mais si la quiétude de chacun en dépend, je suis prête à m’assoir sur mes grandes aspirations et redescendre un peu sur terre !

La conclusion, dans quelques jours !

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Il y a quelques temps, je vous ai parlé de la Discipline Positive et de ce que j’avais mis en place pour progresser en ce sens (Réunion de famille, Temps de rapprochement,…) et j’étais persuadée- mais vraiment persuadée – que je vous avais parlé des tâches ménagères. Et puis en fait, je ne retrouve pas l’article alors je m’y colle.

Au tout début de notre vie à deux, à Monsieur, fils unique à sa Môman-mère-au-foyer-qui-faisait-tout, et moi-même, psychorigide du contrôle absolu et fille d’une Maman qui faisait tout, la répartition des tâches s’est faite d’elle-même et dans une entente parfaite : je faisais tout, il ne faisait rien. – Note à moi-même : Je crois que c’est là que j’ai merdé. – C’était il y a 12 ans, autant dire une éternité.

Grand Bonhomme est arrivé et l’air de rien, j’ai continué à tout prendre en charge. D’autant que cette période a coïncidé avec une zone de travail intense pour Monsieur, qui sautait de job en job comme sur un trampoline pour aller plus haut (allez plus haut, se rapprocher de l’avenir. Bref)

Petit Bonhomme s’est pointé juste derrière et c’est à peu près à ce moment-là que j’ai commencé à en avoir un peu marre et à vouloir partager (un peu?) les tâches. Mais le mal était fait et des habitudes de 6 ans ne s’effacent pas d’un revers de manche.

Je pense d’ailleurs, pour en avoir discuté avec des copines, que nombreux sont les couples qui dévient sur cette tendance sans jamais remettre les pendules à l’heure. Ce qui devient un des points de conflit passé sous silence pour ne pas avoir l’air de râler tout le temps… Mais sortons de cette aparté.

Quand le Dernier est arrivé et que j’ai pris un congé parental, il m’a semblé normal (si si j’insiste) que, n’ayant que cela à faire, j’utilise mon temps en journée pour réaliser toutes les tâches ménagères de la maison. Je n’ai donc rien demandé à qui que ce soit car il me semblait bien naturel de faire « ma part du contrat ».

C’est pourquoi, lors de ma reprise d’activité, j’ai tout aussi naturellement remis le sujet sur la table pour établir ce qui devait être, à l’évidence, un semblant d’équité dans mon couple et dans ma famille.

Pour faire concret, je n’ai pas râlé à chaque fois que le lave-vaisselle n’était pas vidé (alors que ca ne prend que 3 min !! ), je n’ai pas appliqué la consigne du « tu n’as qu’à me dire ce que je dois faire ! », j’ai fait une liste. Oui, une liste : La liste immense et exhaustive de tout ce qu’il y a à faire à la maison. Des poubelles à descendre au balai qu’on passe après chaque repas, de la lessive à lancer tous les jours aux fenêtres qu’on ne lave que tous les mois. Et croyez-moi, c’était long.

Une fois cette liste faite, je l’ai soumise lors d’une réunion de famille, pour expliquer à tout le monde mon problème : je ne voyais pas du tout au nom de quoi je devrais faire 100% des tâches alors même que nous étions 5 à la maison. Bon ok, 4 car le petit n’a pas grand-chose à faire. Avoir la liste sous les yeux a rendu les choses beaucoup plus concrètes pour tout le monde d’autant que les enfants ne se rendent absolument pas compte de tout ce qu’on fait pour eux.

Dans cette liste, j’ai considéré – je suis mansuétude – qu’il fallait tenir compte de l’âge des participants et du temps de présence de chacun à la maison (car Monsieur rentre effectivement plus tard à la maison et rapporte également du travail).

J’ai donc demandé à Grand Bonhomme (7 ans) de prendre deux tâches hebdomadaires à sa charge – Petit Bonhomme (5 ans) une tache hebdomadaire et Monsieur, de prendre plusieurs choses hebdomadaires et mensuels, n’importe quoi, parce que « Merde, faut pas déconner !! »

Il a fallu plusieurs semaines pendant lesquels ils ont changé d’avis, trouvait leur tâche trop difficile, trop longue, voulait en tester une autre, … et maintenant, ils se sont fixés. Entre temps, j’ai aussi réussi à trouver une femme de ménage qui prend donc une partie des tâches à sa charge, ce qui me soulage grandement.

Au final, Grand Bonhomme a donc choisi (et c’est bien dans « choisi » que réside le pivot de cette entente) le tri du linge propre et vider le lave-vaisselle le mercredi. Petit Bonhomme a choisi le nettoyage des portes du couloir (parce que mes enfants courent dans le couloir avec les mains pleines de chocolat ! ) et d’aider son frère à trier le linge propre. Le Dernier, lui, fait ce qu’il peut.

Monsieur s’occupe désormais des repas du dimanche, du rangement et nettoyage de la cuisine après petit-déjeuner tous les jours et des courses toutes les semaines.

Pour ma part, je prends en charge toute l’intendance du soir (repas et rangement) et tout le traitement du linge (hormis le fameux tri de linge propre mais ça, je vous reparlerai dès que possible).

Ca parait très rigide comme cela mais cela nous a permis de définir un cadre où chacun peut bouger, tout en me permettant de souffler un peu. J’ai enfin le sentiment que les choses se font comme elles le devraient.

Bien entendu, cette répartition est susceptible de changer dès lors qu’un participant le demande.

Enfin, lorsque l’un de membres décrète qu’il ne fera pas sa tâche au prétexte que, je cite, « j’ai pas envie », je fais, moi-aussi grève parce que, à bien y réfléchir, moi non plus je n’ai pas très envie de faire à manger tous les soirs… Ce qui signifie, pas de repas. En général, vers 20h, bizarrement, la motivation revient !

Voilà, je voulais vous expliquer notre façon de faire. Evidemment certain(e)s me diront que les choses ne devraient pas être aussi rigoureuses, que chacun fait le travail à faire quand il l’a devant lui. Mais ca n’a jamais fonctionné comme cela chez nous. Voilà pourquoi avant que les choses ne deviennent naturelles, il faut les inscrire dans le marbre. La plupart de nos reflexes sont de vieilles habitudes.

Et cette implication de chacun dans la vie quotidienne est à mes yeux d’une importance cruciale. De par l’image que je renvoie à mon entourage et mes enfants, et de l’image de la vie à deux qu’elle leur donne.

Je mène à mon échelle, une révolution lente et précieuse, qui conduira les femmes de demain à gagner en liberté et en pouvoir. Pour se faire, elles auront à leur coté des hommes respectueux de l’espace de chacun, comprenant la nécessité de fonctionner ensemble sur un même pied d’égalité, dégourdis et capables d’assumer aussi bien qu’une femme les tâches quotidiennes : mes garçons.

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Cela fait un moment déjà que je ne vous parle plus de ma coupe menstruelle. Et pous cause, elle a tellement intégré mon quotidien que je ne la perçois plus comme une bizarrerie.
Après 4 ans d’utilisation, je peux vous confirmer que, pour rien au monde, je ne retournerais en arrière : elle est discrète, elle est plus que confortable, elle m’apporte un sentiment d’hygiène et de propreté que je n’avais pas avec les serviettes. Et quel plaisir de l’oublier : vider le matin sous la douche et le soir avant d’aller me coucher, le minimum syndical !
Bien entendu, je fais tout avec. A une seule exception près (Ah bah si quand même) : quand je cours en compétition. Je mets un tel point d’honneur à ce que tout soit parfait et que rien ne vienne perturber mon rythme que je n’envisage pas de prendre le risque d’être préoccupé par une chute de coupe. Déjà qu’en fin de course mon périnée me lache un peu… Mais ceci est une autre histoire dont nous reparlerons bientôt.
A cette occasion, ainsi qu’à la toute fin des règles, quand la coupe n’est plus très utile, j’utilise toujours des serviettes périodique. Enfin, je devrais dire : j’utilisAIS jusqu’à ce que Plim me fasse parvenir un de leur protège slip.
De prime abord, j’ai été très surprise : le tissu est extremement coloré, ca donne un coté « fun » auquel je ne m’attendais pas.
La fixation se fait par un bouton pression, sur deux positions possibles. Je craignais que la protection ne tienne pas bien en place, puisque j’avais en référence les protège slip jetable qui sont collés et qui malgré cela bougent, mais au contraire, le protège slip ne bouge pas d’un pouce. Cette même fixation pression permet de refermer la protection sur elle-même quand elle est sale, en attendant le lavage.
De plus, le protège slip est très confortable et le tissu est très doux. Par contre, il faut noter que la couleur du tissu a tendance à souffrir, non pas des lavages mais du ph acide des pertes.
Pour ce qui est de l’absorbtion, je dois avouer que j’ai du mal de juger car un protège slip n’est pas là pour absorber mais bien pour protéger. Je ne peux donc pas vous donner d’avis sur les protections absorbantes qu’on utiliserait pour un flux normal.
Plim propose plusieurs types de protection, du protège slip à l’absorbtion EXTRA, que l’on peut renforcer avec un insert absorbant (comme une couche lavable pour femme…) Chacune y trouvera son bonheur ! (Protège slip : 15 euros – Serviette : 17 à 22 euros)
Pour ma part, je pense acquérir une serviette périodique « normale » lavable pour les « cas où » (course à pied par exemple), ainsi qu’un protège slip supplémentaire car une fois le mien sali, je dois m’en passer donc je me limite pour ne l’utiliser qu’à la toute fin.
Si d’autres connaissent ou ont déjà testé, qu’elles se manifestent, plusieurs avis valent mieux qu’un !
Merci à la marque Plim de m’avoir donné l’occasion d’essayer leur protection, et merci également pour leur patience pour tout le temps qu’il ma fallu pour mettre en ligne cet article !
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Nous sortons tout juste de deux semaines de congés et je me lance dans un petit point « ma vie ».

Afin d’économiser mes congés pour les vacances d’été et le traditionnel Center Parc d’octobre, je n’ai pas pris de vacances aux cours des deux semaines de vacances scolaires. J’avais l’option de laisser mes enfants au Centre de Loisirs, mais j’ai préféré les laisser à leurs grands-parents afin qu’ils en profitent respectivement.

Comme Grand Bonhomme avait, ces derniers temps, quelques difficultés (et je minimise) à supporter ses frères, j’ai décidé d’opter pour une tactique 2+1, au lieu du traditionnel 3, ou même 2 + 0 lorsque le Dernier restait à la maison avec sa bonne Môman (ie moi-même).

J’ai donc accompagné Grand Bonhomme chez MonPapa et MaMaman, et Petit Bonhomme et le Dernier chez BôPapa et BelMaman.

Notez au passage que 1h30 de train avec un seul enfant, qui plus est de plus de 7 ans, c’est juste génial !

La première semaine en couple a été plutôt sympa et nous nous sommes accordés soirées resto et cinéma, bien agréables. Jusque là, tout va bien.

Tous les bambins sont revenus pour le week end de Pâques afin de récupérer les chocolats que quelques grosses cloches (ha ha ha) avaient laissé tomber sur la terrasse. Accompagnés de ma Soeurette, son cher et tendre, Neveu chéri et Nièce adorée.

Deuxième semaine : inversion des troupes, changement de grands-parents, je suis l’équité même. Lundi, tout le monde est reparti.

Et là, drame. A peine avais laissé les enfants pour cette deuxième période que la déprime, que dis-je, la dépression s’est emparée de moi. Un immense vide, un gouffre sans fin. C’est l’âme en peine que je suis allée travailler mardi, entre râleries et soupirs. Mercredi, j’aurais pu en profiter pleinement et bien non, je suis restée à me morfondre tout en rangeant mes papiers administratifs. Bonjour l’ambiance. On est con, hein? Je les envoie en voyage pour « profiter » et je suis malheureuse comme les pierres. Que ce soit dit :  on ne m’y reprendra plus ! La prochaine fois, ils ne partiront pas deux semaines de suite… (faible je suis)

Par contre, jeudi, je me suis rattrapée et pas qu’un peu. D’une part, il ne restait qu’une nuit d’attente avant de retrouver mes affreux envahisseurs, ensuite, je fêtais (même si ca n’était vraiment pas drôle), le départ d’un collègue. Je me suis retrouvée dans un bar virant à la boîte de nuit et j’ai passé la meilleure soirée de fête depuis…une éternité. Mon dieu, je suis vieille.

Comme je l’ai glorieusement instragramer, je n’avais pas bu d’alcool en feu depuis mon école et ca m’a fait bizarre. J’ai chanté jusqu’à m’en casser la voix. J’ai ri et dansé comme si j’avais rajeuni de 10 ans. Et même comme à mes 22 ans, j’ai servi de chaperon (je suis une personne sérieuse et serviable, si si) pour raccompagner mes copines (et accessoirement lointaine collègue) jusqu’à leur domicile (en taxi bien entendu). A 2h du matin quand même. Deux jours après, je n’avais toujours pas retrouvé ma voix et j’avais mal aux abdo de mes fou-rires… Et c’était juste génial. La différence, c’est qu’à 22 ans, je n’étais pas obligé de me lever le lendemain à 6h30 pour aller en réunion avec mon chef. Voilà voila.

Le dernier week end des vacances a donc été un grand moment de retrouvailles avec mes enfants et ils ont pu faire toute ce qu’ils voulaient, je n’ai pas râlé une fois, c’était juste trop bon de les avoir à  nouveau avec nous !

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Quand j’étais petite, en élémentaire, je n’ai jamais participé à des classes découvertes / de mer / de neige / environnement / verte, etc… (à vous de voir!). Mon premier long voyage a dû avoir lieu en 5ième et je n’en garde pas un super souvenir, souvenez vous…( J’ai bon espoir de finir par vous faire pleurer, ca se voit?)

Alors, l’année dernière, vers décembre, quand nous avons appris que mon tout petit Grand Bonhomme, en CP, allait partir en classe « environnement » pendant 5 jours, j’ai fait « outch ». Pour une première fois, j’ai trouvé que ca faisait beaucoup mais il était tellement entousiasthe que j’ai serré les dents  et j’ai sorti mon plus grand sourire. Heureusement, ce n’était qu’à 1h30 de Paris et au premier signe d’alerte, j’étais prête à partir le chercher.

Nous avons préparé la valise bien comme il faut, en respectant la liste qui nous était donnée – tous les vêtements étiquetés, si si, même les chaussettes (j’ai une excuse, j’étais en congé parental). J’ai bien entendu ajouté deux ou trois choses : la gourde pour la nuit, la montre pour avoir l’heure, 2 petits livres, 2 photos de nous en famille et deux doudous – quand même.

La maitresse nous avait demandé un courrier pour la semaine. Personnellement, j’ai écrit tous les jours. Je suis comme çà moi. Même que pour être sure que les courriers arrivent, j’en avais postés avant le départ…

Le lundi, à 9h, le bus partait avec mon Grand Bonhomme tout sourire à l’intérieur. Il avait quand même eux une belle salve de bisous avant de monter.

Le vendredi à 19h30, il revenait parfaitement ravi de son séjour.

Alors cette année, quand la maitresse a annoncé que, rebelotte, les CE1 CE2 partaient en classe découverte, on était relax dans nos pantoufles. La valise, on maitrisait – J’ai même réinversi dans un sac à roulette (25 € chez Auchan s’il te plait), le trousseau était déjà complet, les vêtements tous étiquetés. Cette fois ci, Grand Bonhomme a fait le fier : « pas de doudou ! j’en n’ai pas besoin ! « . Oui oui oui. Mais je suis une mauvaise mère, j’ai quand même insisté pour qu’un doudou au moins parte. Et j’ai bien fait car le jour du départ, à 6h du matin quand même (5h dans ma tête avec ce fichu changement d’heure ! ), tous les petits gars du CE1 avec leur doudou dans les bras…

Ils sont donc partis avec entrain et sont revenus tout aussi heureux vendredi soir.

Les activités ont été rapidement survolés – on n’arrive jamais à avoir des explications détaillées ! – mais au final, je crois qu’il a fait du train, du bateau, du bus, qu’il a été nettoyer une plage, dans un moulin et sur des marais salants. C’était donc un chouette voyage de classe.

Si il a de la chance, l’année prochaine, il repartira !

Pour info, vous pouvez penser à : une gourde ou une bouteille d’eau pour la nuit, si votre enfant à l’habitude, un petit livre pour s’occuper si besoin, un doudou bien évidemment, une série de photo (dans une enveloppe ou sous forme d’album) si votre enfant est d’accord (Faudrait pas que ca le fasse pleurer – Le notre a avoué les avoir regardées une fois et qu’après « ca allait mieux ».)

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Mes enfants sont probablement comme tous les enfants – enfin j’espère – ils s’aiment et se détestent tout à la fois. Je ne saurais dire à quel point cette situation m’énerve mais les voir se battre, se chamailler et se jalouser à longueur de temps est absolument épuisant. Surtout quand ils comptent le nombre de chips qu’a pris l’un au dépend de l’autre…

Aussi, après avoir discuté avec Mme E, notre psychologue préférée, j’ai eu l’idée d’accorder à chaque enfant un peu de temps, un temps rien qu’à lui. En plus, c’est complètement raccord avec la discipline positive, ca tombe bien !

Concrètement, ca donne quoi.

Ca donne un mercredi, pour lequel j’ai confié Petit Bonhomme à une amie et le Dernier à la crèche : partir seule avec Grand Bonhomme vers le centre commercial, appeler Monsieur pour qu’il mange avec nous, laisser Grand Bonhomme choisir le restaurant, le laisser choisir la suite de la journée, rentrer à la maison, jouer ensemble à la maison, regarder un film, partager un moment à nous…

Ce donne un mercredi, pour lequel Grand Bonhomme n’était pas là et le Dernier à la crèche : partir seule avec Petit Bonhomme vers le centre commercial, appeler Monsieur pour qu’il mange avec nous, laisser Petit Bonhomme choisir le restaurant, lui proposer une sortie à deux vers Paris, aller acheter des petites voitures, poursuivre par le Jardin d’Acclimatation, faire des tours de manège avec lui seul, beaucoup rire ensemble, le voir s’endormir dans le bus du retour, partager un moment à nous…

J’ai toujours des scrupules à laisser l’un ou les autres pour passer des moments privilégiés avec mes Bonshommes mais que c’est bon de n’en avoir qu’un seul. Un seul à surveiller, un seul à s’occuper, un seul à accompagner, un seul à qui donner la main, un seul à qui faire des calins, un seul à qui donner de l’attention…

C’est comme les laisser pour partir en vacances, qu’il est dur de partir sans eux mais qu’il est bon d’arriver.

Evidemment, au retour il y a encore des jalousies, des « mais tu n’as pas fait ca avec moi ! » pourtant, je crois que c’est important pour nous. Au point qu’il faudrait probablement même les planifier dans l’agenda familial pour être sur de n’en rater aucun.

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Au début, il y a leurs petits petons emballés dans de mignonnes petites chaussures. C’est adorable et au final, je les ai toutes gardées, ces premières paires, pour le souvenir.

On passe ensuite aux petits chaussures, à scratch car c’est plus simple à enfiler. Aujourd’hui, le Dernier à la crèche est très fier de mettre ses petites baskets tout seul.

Quand ils grandissent, les chaussures sont moins choupies mais les Bonshommes sont toujours très contents quand on leur en achète une nouvelle paire. Ce qui arrive de plus en plus souvent car je dois avouer que les garçons ont un capacité incroyable à détruire leurs godasses. La durée de vie d’une paire est donc d’environ 4 ou 5 mois. Certaines ont tenus toute une saison et d’autres à peine 2 mois. J’ai choisi des qualités moyennes, des qualités moindres mais jamais des chaussures de bonne qualité. Autant dire que lorsque Monsieur est rentré avec des chaussures Timberland qu’il avait eu en solde, d’abord pour Grand Bonhomme puis, quelques mois plus tard, pour les deux derniers, j’ai fait une drôle de tête. Car même en solde, Timberland, c’est quand même plus cher que ce que j’achète d’habitude. Je ne donnais pas cher (c’est le cas de le dire !) de leur peau de cuir. Et pourtant…

 

Le Dernier, version Moonwalk… Chaussures en bon état !

Le Dernier a ces chaussures depuis le début de l’hiver et bien qu’elles soient à lacet, donc impossible à enfiler seul, il les aime beaucoup et je trouve qu’il a bien fier allure avec ces petites montantes au pied.

Petit Bonhomme, décontracté, pieds en canard… Chaussures qui commencent à souffrir.

Petit Bonhomme a donc lui aussi ces chaussures depuis le début de l’hiver et étonnement, alors qu’il est probablement le plus brutal avec ses affaires, elles sont toujours en très bon état et j’ai bon espoir qu’elles tiennent jusqu’à l’été.

Grand Bonhomme, blogueur mode, pied en dedans… Chaussures complètement mortes…

Grand Bonhomme pour sa part a ses chaussures depuis l’hiver dernier, autant dire que 2 hivers avec les mêmes chaussures, cela tient juste du miracle. Alors est ce le fait qu’il grandisse ou bien la qualité des chaussures ? Mais le résultat est là, les timberland ont survécu un temps incroyable avant de finir, évidemment, complètement dégommées et la semelle arrachée, comme toutes les chaussures des moins d’1,50m de la famille.

Et je trouve qu’elles ont vraiment « de la gueule », ce qui ne gâche rien.

L’air de rien, je suis à deux doigt de m’en offrir une paire tellement je suis convaincue !

N.B. :  Ceci n’est pas un article sponsorisé, au cas où la question se poserait.

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Cela fait maintenant plusieurs mois que je ne vous ai pas parlé de régime mais ca n’est pas pour autant que je n’y pense pas tous les jours, hein?

J’ai commencé par patienter mais ca n’a pas suffit.
J’ai pensé à refaire un régime mais je n’en avais pas ni la force, ni l’envie.
J’ai acheté le livre du Dr Zermati et j’ai essayé de suivre ses recommandations. Mais sans grand succès.

A ce moment là, je me suis rappelé d’un petit commentaire glissé lors d’un précédent article (je l’ai recherché ce commentaire et, excellente coïncidence, c’était Suzie!) qui me disait « au moins, tu n’es pas très loin du Dr Zermati » – ou quelque chose comme çà. Mais, il y a deux ans, quand le sujet était sur la table, je n’avais pas le temps et pas les moyens.

Depuis, les enfants ont grandi, j’ai repris mon travail, j’ai plus de temps, j’ai plus d’argent aussi (cause – conséquence, blabla…).

Aux alentours de Noel dernier, j’avais toujours du mal à accepter mon corps et j’étais dans un état mental et physique proche de la dépression, j’ai un peu pété les plombs et je me suis dit qu’il fallait que les choses changent. « Cela ne peut pas continuer comme ca » était la seule chose qui tournait en boucle dans ma tête. En parlant de mon corps comme du reste de ma vie. Mais il fallait commencer quelque part.

A tout hasard, j’ai cherché sur internet le localisation du cabinet du Dr Zermati et là, miracle, j’ai découvert qu’il se trouve à 2 pas parisiens de mon travail. Ce fut le déclencheur. Le 2 janvier au matin, je commençais à harceler le secrétariat du docteur. Il me fallait un contact rapidement, j’avais peur que ma motivation disparaisse. Evidemment, il n’était pas possible d’obtenir un rendez vous immédiatement mais trois petites semaines ont suffi pour en obtenir un.

Ce premier rendez vous a été l’occasion de faire un bilan. Depuis mes premiers problèmes de poids, les soucis de confiance en soi, les premiers régimes, le élan d’anorexie, les grossesses, etc… chiffres à l’appui. Dr Z. a noté pleins de trucs mais je ne sais pas ce qu’il en a déduit. J’ai juste adhéré à la première conclusion : je suis entière et perfectionniste. Voilà voilà.

Je suis repartie avec mes petits devoirs : noter sur une feuille ce que je mange, quand, avec qui, comment…

Lors du second rendez vous, après avoir relu tout ca, nous avons constaté, Dr Z. et moi, que je ne mange pas des quantités trop importantes de nourriture bien que je grignote (trop?), surtout le soir. J’ai tout aussi justement adhéré à la seconde conclusion, à laquelle j’avais déjà songé : je n’ai pas de gros besoins, je peux manger très peu et donner tout autant d’énergie.

Je suis repartie encore avec des petits devoirs : supprimer le petit déjeuner pour savoir quand le faim vient, afin de mieux l’identifier… Et c’est là que les choses se sont un peu compliquées. Comme convenu, j’ai supprimé le petit déjeuner plusieurs jours de suite, et j’ai attendu. La première faim arrive en fin de matinée mais si je la laisse passer, elle s’en va et parfois… elle ne revient plus. C’est vraiment un sentiment très étrange de se dire que la faim n’est plus là. Un soir, je me suis retrouvé en train de manger à 23h pour dire que je mangeais quelque chose avant la nuit mais l’appétit n’était même pas là.

Lors de notre troisième rendez vous, le Dr Z. et moi avons discuté de tout cela et la troisième conclusion qui s’impose comme un évidence est que je ne m’écoute pas assez. Je me lève, je me lance dans ma journée, je fais tout ce qu’il y a à faire, je cours, je n’arrête pas, sauf à partir de 22h quand je pose mes fesses sur le canapé… C’est histoire me dit quelque chose.

La solution à tester :  commencer les exercices de pleine conscience, prendre le temps de m’écouter régulièrement dans la journée pour mieux appréhender ma faim, me poser à chaque fois que je veux manger, manger au calme après les enfants pour ne pas « surconsommer »…

Voilà, ce sont les débuts de ma « rééducation alimentaire ». Pour l’instant, je n’ai pas perdu un gramme mais patience et longueur de temps… n’est ce pas?

 

 

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6h30 : Le réveil sonne. Je le repousse et j’allume la lumière. (Note à moi même : Il me faut un simulateur d’aube) (Note aux lecteurs : Mais que quelqu’un m’offre un simulateur d’aube !!).

6h40 : Le réveil re-sonne. Je me lève et me jette dans la douche.

7h: Lavée, habillée et pas toujours (bien) maquillée, j’attaque le préparation de la lessive du jour.

7h15 : La lessive est programmée pour la nuit suivante. Je tire Petit Bonhomme et le Dernier de leurs lits. Grand Bonhomme qui lit déjà depuis 15 min se précipite à table.

7h30 : Tout le monde se bat dévore ses céréales, ses BN / Pépito / tartines avec avidité. Pendant ce temps, je prépare les goûters pour le soir. Penser aux bouteilles d’eau, aux sacs de judo, aux sacs de piscine, à le monnaie pour le pain, et mettre le tout dans le sac de la nounou. Grand Bonhomme est déjà parti se préparer.

7h40 : J’ejecte tout le monde vers la salle de bain pour un lavage mains-bouche-dents. Je nettoie la table et passe le balai pendant que Monsieur prérare le Dernier. Un dernier coup d’œil sur le calendrier de la famille pour penser aux rendez vous à venir.

7h50 : Je suis prête à partir, le Dernier n’a encore pas choisi son T-shirt parce que « Je veux Mickey »… « Ah non Cars »… « Ah non Mickey »…

8h : La poussette et tous les sacs sont sur le vélo. Il faut en penser à prendre les doudous, le change, le badge, les clés, et rappeler aux Bonhommes qu’ils doivent mettre leur tenue de sport, préciser s’il y a cantine ou centre de loisirs. Enfin, départ pour la Crèche.

8h10 : Je dépose le petit et la poussette à la crèche. Il est ravi, je suis ravie.

8h20 : Le vélo est plus léger. C’est parti pour 35 min de pédalage.

8h50 : Arrivée au travail, c’est parti pour une matinée non stop.

12h : Déjeuner avec les collègues : Vrai moment de détente de la journée.

13h : Un café plus tard, retour à mon bureau. Je pense qu’il faut prendre rendez vous chez le médecin pour le Petit.

17h, si j’ai rendez vous pour les Bonshommes chez le docteur ou 18h30 ou 19h ou 19h30 si j’ai du travail : J’enfourche mon vélo pour le retour.

19h : Arrivée à la maison, les enfants sont douchés. Je vérifie les devoirs de Grand Bonhomme tout en me demandant ce que je vais faire à manger. Je signe les cahiers, fait les chèques ou les enveloppes de circonstances.

19h15 : J’ouvre le frigo en me demandant encore ce que je vais faire à manger.

19h30 : J’ai trouvé quoi faire à manger (Crudités – ratatouille – jambon), tout le monde passe à table. Le repas se passe dans le calme les cris et l’énervement. Ils sont fatigués, je suis fatiguée.

20h10 : J’ejecte tout le monde vers la salle de bain pour un lavage mains-bouche-dents. Si Monsieur est là, je nettoie la table et passe le balai, pendant qu’il gère le débarbouillage. Sinon, c’est moi qui m’y colle.

20h30 : Petit Bonhomme et le Dernier râle à qui mieux mieux pour avoir une histoire. Je finis par céder malgré l’heure qui s’écoule (Respect des règles de discipline positive…). Tout le monde au lit. Je pense à vérifier les gourdes d’eau, ca m’évitera de me relever la nuit. Quoique.

20h40 : Le Dernier qui a trop siesté à la crèche, n’a pas sommeil et me rappelle pour la millième fois.

20h50 : Le Dernier finit par se coucher en pleurant.

20h55 : Le Dernier me rappelle pour un calin et faire le paix.

21h : Je me pose sur le canapé et j’ouvre l’ordinateur. Monsieur propose une série ou un film en VOD.

21h15 : Dimanche ou lundi, c’est repassage. Un autre jour, c’est le tri des papiers. 2 jours sur 7, c’est Excel pour le travail, 3 jours sur 7, c’est le tri des mails et Candy Crush…

22h : Je sens que je vais bientôt fermer les yeux. Je saute 2 ou 3 lignes d’Excel… demain, ce sera surement faux. Je me reproche de ne pas avoir pris le temps de faire un article sur le blog.

22h30 : Je sombre sur le canapé ou dans mon lit si j’ai eu le courage de m’y lover.

23h30 / 2h30 / 3h30 / 5h : Le Dernier m’appelle. Suivant l’état de mon cerveau ou les soucis du moment, je me rendors plus ou moins vite.

6h30 : Le réveil sonne….

A bien y réfléchir, j’ai trouvé mon épitaphe : « Elle pensait à tout, tout le temps, pour tout le monde. Mais pas souvent à elle. »

NB : Et je vous rappelle que vous avez encore des places pour Clochette et la Fée Pirate à gagner ici !

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