Le week-end dernier, les enfants et moi même avons été invités à découvrir en avant première le nouveau Disney Pixar Vice Versa.

Avant de vous parler du film lui-même, laisser moi faire un aparté : Tout d’abord, ce dimanche était le jour de la Fête des Mères et en dehors du fait que j’avais reçu un triade de petits cadeaux mimi-charmants, j’avais décidé que la journée serait belle. J’aime à croire que parfois, il suffit de vouloir.

Malgré une attente un peu difficile avec des Bonshommes un poil surexcités, nous sommes rentrés rapidement pour être incroyablement bien placés. C’est quand j’ai vu les places « réservées » que j’ai compris que nous étions à l’avant-première, la vraie ! Quand Louane est passée à coté de nous dans l’allée et j’ai eu l’idée de lancer aux miens « He! mais c’est pas Louane?? », l’excitation des Bonshommes est passée au cran supérieur et je les ai retenu de courir lui chanter « J’espère que tu vas souffrir… ». D’autant qu’ils chantent affreusement faux (mais je les aime quand même !). Bref.

Pour ma part, j’étais à deux pas de quelques peoples et il n’en fallait pas plus pour me faire mousser auprès de Monsieur resté dehors à nous attendre. Je suis peu de chose.

Et la film alors? (Oui, parce que quand même…)

Le Pitch : Joie, Tristesse, Colère, Peur et Dégoût sont les Emotions qui dirigent la vie de Riley, une petite fille de 11 ans. Tout se passe pour le mieux sous la direction de Joie jusqu’à ce que la famille de Riley déménage. Cet évènement provoque un peu d’agitation au sein du Quartier Général des Emotions dans le cerveau de Riley, tant et si bien qu’un jour de confrontation entre Joie et Tristesse, elles se trouvent toutes les deux, ainsi que les souvenirs fondamentaux du caractère de Riley, projetées dans le vidage mémoire. Dès lors, la situation se dégrade petit à petit, la Personnalité de Riley s’effrite pendant que Joie et Tristesse se démènent pour rentrer…

Comme l’a si joliment dit Marilou Berry : « Un Disney Pixar, c’est vendu d’avance, on sait que ca va être un super film » (peut être pas au mot prêt). Voilà tout est dit : Elle a parfaitement raison !

L’idée principale est originale et très bien exploitée. Les graphismes sont lumineux, pleins de couleurs et pétillants. Les personnages sont attachants et les voix de Joie et Tristesse collent parfaitement aux Emotions. Les enfants ont très vite accrochés, même Le Dernier (pas tout à fait 4 ans). Plusieurs passages sont riches en émotions (c’est le cas de le dire!), et Petit Bonhomme, en grand sensible, a versé quelques grosses larmes mais l’essentiel est surtout très drôle ! En outre, il y a évidemment plusieurs niveaux de lecture et tout un tas de clin d’œil, si bien trouvés, à destination des parents !

En résumé, ce film est vraiment super et je vous le conseille vivement.

Sortie sur les écrans le 17 juin prochain !

 

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Les petits loulous,

j’étais en train d’écrire un article pour vous faire savoir à quel point mon quotidien est complétement overbooké – entre autres, raison pour laquelle j’ai bien du mal à pondre mes articles – Où est passé le temps où je trouvais que le congé parental ne me laissait le temps de rien…? – quand j’ai trouvé dans mes mails une merveilleuse proposition de Disney, pour vous faire assister – avec moi-même, mais pas que – à l’avant-première du nouveau dessin animé Disney :

Clochette et la Fée Pirate.

Cette avant première aura lieu mardi prochain, 25 mars à partir de 19h, au Gaumont Marignan (27 Avenue des Champs Elysées 75008 Paris), en présence de Lorie (Oserais je vous avouer aujourd’hui que, bien qu’étant née avant les année 90, je suis assez fan…??). Les enfants sont invités à venir déguisé en fées et en pirates car le plus beau déguisement recevra un prix !

Je vous propose donc de gagner (un lot de) 4 places pour faire découvrir à vos petites fées et vos petits pirates ce nouveau Disney.

La première condition est bien évidemment d’être disponible à la date en question. (Je trouverais fort dommage de réserver des places pour quelqu’un qui ne pourrait finalement pas venir…)

La seconde condition est de m’indiquer en commentaire si vous participez et de me donner un adjectif qui, pour vous, qualifie le mieux le fée Clochette.

Voilà, ce sera tout. Vous pouvez relayer si l’envie vous en dit, toutes mes excuses mais il n’y aura pas de participation compte double, je n’ai vraiment pas le temps pour cela dans un délai si court… Juste un tirage au sort lundi 12h !

Et ce sera tout pour ce soir, parce qu’il est quand même minuit, hein – je suis claquée – et on reparle de tout cela lundi !

EDIT :

6 participations, juste ce qu’il faut pour un joli dé, qui roule et roule pour tomber sur le numéro… 3 !! C’est donc Suzie qui aura le plaisir d’assister à l’avant première du film demain soir. Et ca me fait d’autant plus plaisir que Suzie est une « ancienne » de la maison. On aura peut être la chance de se croiser… Suzie, envoie moi vite en mail privé [nashii . maman @ gmail . com] en enlevant les espaces, ton nom, ton prénom et le nombre de personnes qui t’accompagnent !

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coccinelle minuscule
 
Cette petite coccinelle, vous la connaissez?
 
Pour dire vrai, jusqu’à mercredi dernier, moi, je ne la connaissais pas. Cette adorable petite bête, c’est l’héroïne de Minuscule.
 
Minuscule, c’est une série de petits (presque) dessins animés, qui nous plonge au cœur de la vie des insectes, sur un ton à la fois poétique et comique. Son succès est tel que FuturIkon en a fait un film. Que j’ai donc découvert mercredi.
 
Minuscule La Vallée des Fourmis Perdues raconte l’histoire d’une petite coccinelle, qui, après s’est perdue et blessée, rencontre et se lie d’amitié avec une troupe de fourmis noires, rapportant un trésor : du sucre ! Elle les suivra sur le chemin de la fourmilière, affrontant mille danger jusqu’à livrer une guerre contre les terribles fourmis rouges.
 
Les images sont composés de dessin animés absolument craquant, intégrés dans des images réelles, tournées au sein des Parcs Nationaux du Mercantour et des Ecrins. La Nature avec un immense N.
 
Le film n’est pourvu d’aucun dialogue, et tout se dit par les gestes et les regards des « acteurs ».
 
L’ensemble est très touchant et poétique mais il s’agit bien d’une aventure, pleine d’émotions et de rebondissements.
 
Pour preuve, Grand Bonhomme a beaucoup pleuré quand la coccinelle est toute seule loin de sa famille et Petit Bonhomme a juste hurlé au moment le plus prenant du film, tourné à la façon d’un film d’angoisse – vous le reconnaitrez quand vous le verrez.
 
Si on devine rapidement la fin de l’histoire- sans rire, c’est un film pour ENFANTS! – mes loulous se sont donc laissés prendre au jeu et se sont appropriées les émotions des petites bestioles pour palpiter au rythme de leurs péripéties. Bref, un bon film pour les petits ! Pour peu que les scènes de solitude et d’inquiétude ne les affectent pas trop…
 
Bien entendu, vous pouvez retrouvez les héros du monde de Minuscule en peluche ou porte clé dans la magasin Nature & Découvertes qui s’associent au film. Personnellement, j’adore l’araignée… trop chouuuu.
 

En salle dès le mercredi 29 janvier 2014. La bande annonce, c’est par ici.

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Comme vous le savez déjà, je suis une inconditionnelle de Disney. A quelques exceptions près, – Rebelle et la Princesse et le Grenouille ne m’ont pas franchement enchantée – , je connais beaucoup des chansons par cœur ((Il a un rèèèève, il a un rèèèèève… ok laisse tomber), au grand plaisir de mes enfants que je fais danser dans le salon.
 
Bon, passons.
 
Lors de l’avant première de Planes (ok là, y’a pas de princesse…), nous avons vu quelques extraits du futur grand film Disney : La Reine des Neiges. Et soyons clair : j’avais adoré !! J’ai chanté encore et encore la mélodie de Let it Go jusqu’à l’oublier parce que, bon, quand même, on ne fait pas de miracle en ne l’entendant qu’une fois.
 
Bref, j’étais terriblement impatiente de voir le film en entier. La date était marquée en gras souligné trois fois dans l’agenda de la famille !!
 
C’est chose faite donc depuis 2 semaines environ : je suis rentrée à la maison à l’arrache après le travail, pour reprendre le train dans le froid avec mes deux Bonshommes et rejoindre Monsieur devant le Grand Rex. Evidemment, nous n’étions pas les seuls : la salle était pleine à craquer. (D’ailleurs, le deuxième balcon du Grand Rex est vraiment très haut. Vertiiiiiige)
 
Avant la projection du film, nous avons assisté au spectacle La Féérie des Eaux. Une animation sons, lumières et jets d’eau, aussi décalée, entrainante qu’éblouissante (dans tous les sens du terme, j’ai perdu un œil avec un laser vert ou orange…). Les Bonhommes sautillaient sur leur siège au rythme de la musique et voir les princesses danser le Gangnam Style, c’était top !
 
 
Le petit court métrage qui précède le film est un hommage au Mickey historique en noir et blanc, et joue sur le thème du passage du noir et blanc à la couleur. Evidemment, culbutes et chutes s’enchainent, clownesque à souhait !
 
Enfin est arrivée la merveille : La Reine des Neiges !
 
 
L’histoire, pour ceux qui n’auraient pas suivi, est celle de Elsa et Anna, deux princesses d’un pays scandinave. Elsa est dotée de pouvoirs magiques contrôlant le gel. Après avoir blessé accidentellement Anna, elle prend conscience de leur danger et peinant à les contrôler, elle s’isole dans une solitude pesante, jusqu’au jour de son couronnement, où elle « craque » et s’enfuit en laissant le royaume plongé dans un hiver éternel. Anna va donc partir à sa recherche pour faire revenir l’été…
 
Les personnages sont très denses et les sentiments sont parfois si complexes qu’ils peuvent perdre un peu les plus petits mais les personnages secondaires sont exactement ce qu’il faut : Olaf le bonhomme de neige dans le rôle du petit clown naïf, et Swen, le renne de compagnie.
 
Les dessins, les paysages, les personnages et surtout les princesses sont superbes.
 
 
Ajoutez à cela que les chansons sont absolument magnifiques !! Y’a rien à dire de plus, tellement elles sont belles, ajustées, entrainantes et vibrantes, même si évidemment, les traductions ne tombent pas aussi « pile poil » que la VO.
 
Je ne vous cache pas que la salle entière du Grand Rex applaudissant à tout rompre m’a sorti un petit larme : je ne suis qu’une grosse guimauve.
 
Bref, c’était du grand spectacle ! Mes enfants (et MOI ! ) avons passé une merveilleuse soirée. N’hésitez pas, courez y !!
A découvrir en avant première, notamment au Grand Rex, à partir du 20 novembre, et partout ailleurs à partir du 4 décembre.
 
Les premières images, c’est par .
 
Et je vous mets celui là qui me fait rire à chaque fois :
 

 
 
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J’habite à deux pas de l’école. Ca n’est pas une image, c’est la vérité. Pour y aller, j’ai juste à traverser une rue piétonne.

Et la plupart du temps, les Bonshommes sont heureux d’y aller. Depuis qu’ils sont petits et comme tous les parents, je leur présente l’école comme un lieu merveilleux où on apprend des tonnes de trucs. Un lieu idyllique et génial. Parce que nous, nos petits européens, il faut les convaincre d’aller à l’école. Tout cela est aussi facile d’accès et aussi obligatoire qu’il en devient rasoir pour tous ces enfants peu intéressés ou qui décrochent avec le temps.

Pourtant, ailleurs dans le monde, l’école, l’éducation, ne sont pas des évidences. Pour certains, elles ne sont qu’un doux rêve pour lequel il faut se battre.

Ces enfants, ces parcours, sont présentés dans le merveilleux documentaire de Pascal Plisson : Sur le chemin de l’école.

Ce film présente le chemin, le vrai chemin, que parcourent 4 enfants à travers le monde, tout simplement pour rejoindre leur école. Entre Jackson qui traverse la brousse, avec sa petite sœur, en courant pendant 2 heures pour couvrir les 15 km qui les séparent de son école, et Samuel, handicapé, que ses frères (débordant d’amour ses frères !) poussent dans son fauteuil roulant, tout branlant, sur les 1,5 km de chemin tortueux jusqu’à l’école… je n’ai pas pu m’empêcher d’être touché en plein.

Que vous dire de Zahira, qui traverse pendant 4h, à pied, les montagnes de l’Atlas, alternant marche et auto-stop, à la merci (c’est ainsi que je l’ai perçu) des gens qu’elle rencontre. Je suis d’autant plus touché que c’est une petite fille. Pour être transparente, je me suis revue à 11 ans, c’est à dire en 6ième, parcourant le malheureux kilomètre entre mon école et le bureau de ma maman. Un tout petit kilomètre et pourtant on m’avait rebattu les oreilles à coup de « attention aux étrangers », « attention aux voitures qui s’arrêtent », « fait attention que personne ne te suive ».

Aujourd’hui, les enfants rentrent du collègue en bus (de ville ou ramassage scolaire), et je ne connais pas de maman autour de moi, qui ne soit pas un minimum inquiète de ce trajet. La plupart ont d’ailleurs muni leur enfant d’un portable. Au cas où. Qui, aujourd’hui, dans notre monde moderne, envisagerait de laisser son fils marcher seul (sans portable, hein!) pendant 15 km à travers la brousse sur un chemin changeant jour après jour en fonction du passage des animaux? Certainement pas moi.

Ils mettent tous les jours leur vie en danger pour accéder à ce qui lasse tant (trop !) d’enfant chez nous : l’instruction. Dans l’espoir qu’elle changera dans leur vie.

En sortant, je n’avais qu’une envie : présenter ce film à mes enfants pour qu’à leur tour, tout au moins pour le plus grand, ils prennent une fois encore conscience de la chance qu’ils ont. Et si cela peut être une découverte pour les enfants, c’est aussi une très belle leçon de vie pour les parents.

 

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Hier, profitant de mon séjour chez mes parents, je me suis accordée une petite pause cinéma. Aucune envie de film en particulier, mais plutôt l’envie de passer un moment pour moi, loin des enfants…

Le 007, je le garde pour le voir avec Monsieur.

Parmi les films disponibles, j’ai jeté mon dévolu sur un film un peu fun

Synopsis : Vincent et Antoine, deux fans des années 80, dirigent une petite société de spectacle qui fait tourner des sosies dans toute la France. A la veille du dépôt de bilan, ils retrouvent un carton de vieux 45 tours de tubes des années 80. Pourquoi ne pas faire remonter sur scène les vraies Stars des années 80 ? Les deux producteurs partent alors en quête de ces vedettes oubliées pour lancer une tournée de concerts.

Inutile de vous faites patienter : j’ai kiffé ce film !  Qu’on soit bien clair, et je pense que vous vous en doutiez, il ne faut pas aller voir ce film pour son senario. L’affaire est vue d’avance : on sait d’où l’on part et où l’on va, peu de rebondissement en vu.

De plus, 70 ou 80% du film sont composés de chansons, toute plus entrainantes les unes que les autres donc si on n’est pas un peu fan des années 80, on peut vite en être complètement gavé.

Les chanteurs, qui ne sont pas à la base des acteurs, jouent avec plus ou moins de naturel, mais font tous preuve d’une autodérision hilarante. On ressent que certaines scènes ont été tournées avec un plaisir partagé, qui transperce l’écran.

Enfin, les chanson, leurs chanteurs et l’ensemble du film sont blindés de bons sentiments. Voilà le genre de film qui donne la patate et un sacré sourire pour un moment. Je suis repartie avec pleins de chansons dans la tête et une bonne dose d’énergie positive ! Chouette, non?

Un léger regret à propos des trucages réalisés autour de Gilbert Montagné : parfois trop, c’est trop.

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La semaine dernière, j’avais prévu d’emmener les enfants au cinéma voir l’Age de Glace 4. Mais les deux P’tits Cons m’ont tellement pris la tête que j’ai pris mes affaires et je suis partie. Seule.

« Comment? Tu vas au cinéma toute seule? »

Ca t’en bouche un coin, hein, le nain? Maman a une vie en dehors de toi ! Oui, ok, c’est juste un ciné, toute seule sans personne mais bon, c’est toujours bien de faire passer le message, ca suffit quoi !

Et voilà comment, au pied du grand escalier qui monte aux salles, j’ai fait le tour des affiches sans rien connaitre des films proposés. J’ai éliminé les dessins animés, le(s) film(s) que je pourrais aller voir avec Monsieur, et j’ai tilté sur cette petite comédie romantique. Un truc de fille quoi !

Un bonheur n’arrive jamais seul.

Sacha (Gad Elmaleh) vit la vie comme elle vient, le jour, musicien dans la pub, la nuit, pianiste dans un club de jazz, entre ses copains, l’alcool et les filles. Jusqu’au jour où il rencontre Charlotte (Sophie Marceau). Là, c’est le coup de foudre. Sauf que Charlotte a une vie plutôt rangée et est déjà maman. 3 fois. L’amour faisant son chemin, leurs vies vont s’en trouver toutes bouleversées.

Sophie Marceau est toujours pétillante dans les comédies romantiques (De l’autre coté du lit, LOL,…). Certaines scènes tiennent du clownesque et j’ai ri aux éclats, même si l’ensemble est très convenu. La fin n’est par bonheur pas une surprise, mais vous vous en doutiez ! En résumé, j’ai passé un très bon moment.

Je n’avais pas regardé la bande annonce avant le film et j’ai envie de dire « fort heureusement! » car une bonne partie de l’intrige et plusieurs moments amusant y sont dévoilés, intrige qui n’est déjà pas très étoffée… Donc abstenez vous!

Enfin, Sophie, si tu me lis (on a le droit de réver ! ), laisse moi te dire que je suis ressortie complètement dépitée à propos d’un point en particulier. Dis moi donc : comment fais tu pour afficher ce corps magnifique et surtout SURTOUT ce ventre plat et parfait après 2 grossesses et bientôt 46 ans !?!? Nous sommes (moi, mon ventre, ma graisse et mes vergetures) vertes de jalousie. Voilà, c’est dit.

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Ce week end, Monsieur est revenu avec une série de DVD dont Wall-e.

Faites la connaissance de WALL-E (prononcez « Walli ») : WALL-E est le dernier être sur Terre et s’avère être un… petit robot ! 700 ans plus tôt, l’humanité a déserté notre planète laissant à cette incroyable petite machine le soin de nettoyer la Terre. Mais au bout de ces longues années, WALL-E a développé un petit défaut technique : une forte personnalité. Extrêmement curieux, très indiscret, il est surtout un peu trop seul…
Cependant, sa vie s’apprête à être bouleversée avec l’arrivée d’une petite « robote », bien carénée et prénommée EVE. Tombant instantanément et éperdument amoureux d’elle, WALL-E va tout mettre en oeuvre pour la séduire. Et lorsqu’EVE est rappelée dans l’espace pour y terminer sa mission, WALL-E n’hésite pas un seul instant : il se lance à sa poursuite… Hors de question pour lui de laisser passer le seul amour de sa vie… Pour être à ses côtés, il est prêt à aller au bout de l’univers et vivre la plus fantastique des aventures!

Nous avons proposé ce film à Grand Bonhomme. Il ne veut jamais regarder autre chose que Cars car il a peur… d’avoir peur. L’est pas très courageux, mon Grand Bonhomme.

Alors, on a regardé çà en famille et lui a expliqué ce qu’il se passait. En fait, c’est un film un peu compliqué pour les petits. D’abord parce qu’il n’y a pas de paroles pendant la première partie du film. Ensuite parce que c’est plein (plein plein) de sentiments, bon ou mauvais, de tendresse, de mélancolie, d’amour… bref, des trucs qui ne parlent pas de trop aux moins de 4 ans.

De mon coté, j’ai trouvé ca super tristoune. Il ne faut pas trop regarder ca quand on a un peu mal au coeur parce que sinon, vous pourriez bien finir avec la larme à l’oeil.
Comment ca, je suis un grande sensible ?? Peut être.

Et vous, Wall-e, vous connaissez?

J’en profite pour vous faire une critique ciné rapide des films vus par Monsieur cette semaine :
Envoyés très spéciaux : bien mais sans plus.
King Guillaume : nul. Il est même parti avant la fin, c’est pour dire.

 

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